Reconnaissance de cette journée
À l’occasion de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, nous pouvons en apprendre davantage et réfléchir à la signification de cette journée en assistant à un événement, en lisant le rapport sur la vérité et la réconciliation, en écoutant les Aînés ou en prenant un moment de réflexion personnelle. La réconciliation est une responsabilité partagée par tous les Canadiens et Canadiennes et exige que l’on agisse non seulement en cette journée, mais également tous les jours.
Voici quelques activités auxquelles vous pouvez participer pour approfondir votre apprentissage et souligner cette journée :
En reconnaissance de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, les drapeaux de l’hôtel de ville, y compris celui des survivants, et les drapeaux de toutes les installations de la Ville, seront mis en berne à partir du lever du soleil le vendredi 30 septembre jusqu’au lever du soleil le samedi 1er octobre. En outre, les bâtiments suivants seront éclairés en orange :
- La place Marion-Dewar, du coucher du soleil le jeudi 29 septembre au lever du soleil le samedi 1er octobre
- L’édifice historique, du coucher du soleil le vendredi 30 septembre au lever du soleil le samedi 1er octobre
- L’enseigne OTTAWA située au marché By, du coucher du soleil le vendredi 30 septembre au lever du soleil le samedi 1er octobre
Porter la couleur orange : symbole de commémoration
Que vous assistiez à un événement ou que vous preniez le temps d’apprendre par vous-même, nous vous encourageons à porter un chandail orange lors de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation pour contribuer à la sensibilisation.
Le vendredi 30 septembre coïncide avec la Journée du chandail orange, qui rend hommage à l’histoire de Phyllis (Jack) Webstad, une ancienne élève d’un pensionnat qui s’est vue retirer son chandail orange lors de son premier jour au pensionnat.
Le chandail orange est devenu un symbole du souvenir de tous les enfants autochtones qui ont été retirés de leur famille pour être placés dans des pensionnats où leur langue et leur culture étaient réprimées, et où de nombreux enfants ont subi des violences physiques, émotionnelles ou sexuelles.
L’année dernière, des milliers de tombes non marquées ont été découvertes partout au Canada sur les sites d’anciens pensionnats. Le travail de mise au jour d’autres tombes se poursuit dans plusieurs communautés autochtones. En réaction à ces découvertes, l’Assemblée des Premières Nations et d’autres groupes autochtones ont organisé une visite avec le pape François, au cours de laquelle celui-ci a présenté des excuses aux survivants pour le rôle joué par l’église catholique dans le système des pensionnats autochtones.
Pour en savoir plus sur les programmes et services de la Ville, consultez ottawa.ca ou composez le 3‑1‑1 (ATS : 613-580-2401) ou le 613-580-2400 pour joindre la Ville en utilisant le Service de relais vidéo canadien. Vous pouvez également communiquer avec nous sur Facebook, Twitter et Instagram.