Rapport au/Report to:

 

Comité des transports

Transportation Committee

 

et au Conseil / and Council

                                                                   

le 27 mars 2006 / 27 March 2006

 

Soumis par/Submitted by: R.G. Hewitt,

Directeur municipal adjoint par intérim/Acting Deputy City Manager

Services et Travaux publics/Public Works and Services

 

Personne ressource/Contact Person:  Ron Gillespie Directeur/Director

Service du parc automobile/Fleet Services

(613) 842-3636 x2201  Ron.Gillespie@ottawa.ca

 

À l’échelle de la ville

  N° réf.:  ACS2006-PWS-FLT-0004

 

 

OBJET :

PLAN DE GESTION DES ACTIFS DU TRANSPORT EN COMMUN

 

 

SUBJECT:

TRANSIT ASSET MANAGEMENT PLAN

 

 

RECOMMANDATION DU RAPPORT

 

Le Comité des transports recommande au Conseil :

 

1.         d'approuver en principe le Plan de gestion des actifs du transport en commun de la Ville d'Ottawa.

 

2.         De demander au personnel de présenter le plan de gestion des actifs du transport en commun au ministère des Transports de l'Ontario afin de se conformer à l'exigence relative au transfert de la taxe sur l'essence à la Ville.

 

 

REPORT RECOMMENDATION

 

That the Transportation Committee recommend Council:

 

1.         Approve in principle the City of Ottawa Transit Asset Management Plan.

 

2.         Direct staff to submit the Transit Asset Management Plan to the Ontario Ministry of Transportation to fulfill the condition of the gas tax transfer to the City.

 


CONTEXTE

 

En mai 2004, le gouvernement provincial annonçait sa décision de transférer aux municipalités deux cents par litre de la taxe provinciale actuelle sur l’essence afin de les aider à étendre ou à rénover leur système de transport en commun en vue d’en augmenter l’achalandage. Ce transfert de la taxe provinciale s’est fait par étapes puisqu’on a eu droit à 1 cent le litre en octobre 2004 et 1,5 cent en octobre 2005, et qu’il passera à 2 cents le litre en octobre 2006.

La formule de financement du gouvernement de l’Ontario part d’un rapport de l’achalandage des transports en commun (70 %) à la population totale de la municipalité (30 %). Pour l’instant, la Ville a donc reçu 4,7 millions de dollars en taxes sur l’essence pour 2004 et 21 millions pour 2005. Elle prévoit recevoir 30 millions de dollars en 2006 et 37 en 2007.  

Selon l’entente sur la taxe sur l’essence entre la Ville et la province de l’Ontario, la Ville doit préparer et adopter un plan de croissance de l’achalandage du transport en commun et un plan de gestion des actifs du transport en commun. La province a émis des lignes directrices relatives à la préparation de ces deux documents interreliés. Ces plans, qui devaient être présentés à la province de l’Ontario avant le 31 mars 2006, constituent un préalable pour recevoir tout futur versement de la taxe sur l’essence. Le PGATC doit être présenté avant la prochaine remise de la taxe sur l’essence.

Le Plan de croissance de l’achalandage du transport en commun est présenté à la province séparément.

Dans ce rapport, nous demandons au Comité des transports et au Conseil d’examiner le Plan de gestion des actifs des transports en commun (PGATC) ci‑joint, qui couvre une période de 10 ans, de 2006 à 2015, et qui sera le deuxième volet des rapports à présenter à la province. Nous soulignons ci‑dessous les priorités essentielles du PGATC, qui expose les stratégies et les initiatives tirées du budget des immobilisations approuvé de 2006 pour les 10 prochaines années afin d’atteindre les objectifs précisés dans le Plan officiel, le Plan directeur des transports et le Plan de croissance de l’achalandage du transport en commun.

 

DISCUSSION

 

La province a préparé un guide pour aider les municipalités à rédiger leur plan de gestion des actifs du transport en commun (PGATC). La préparation de ce plan constitue une des meilleures pratiques en ce qui concerne la gestion des actifs et a donc deux vocations. Tout d’abord, ce sera le mémoire qui permettra de montrer à la province dans quelle mesure la municipalité s’est dotée d’un plan sur les composantes du système, son entretien et son financement, dans une perspective de croissance et d’amélioration, afin d’atteindre ses cibles en matière d’achalandage et de répartition modale. Deuxièmement, le PGATC constituera un document interne que l’on mettra à jour afin de refléter les modifications de la stratégie et des actifs aux fins de la planification et des opérations internes. Une copie du « Guide to Preparing a Transit Asset Management Plan » est jointe à ce rapport pour documentation.

 

Le PGATC, étant en soi une meilleure pratique, force toute organisation à prendre acte de ce qu’elle possède, à relever les carences ou les écarts quant à l’état des biens ou à leur capacité, et présente les exigences financières pour assurer l’entretien, la remise à neuf, l’amélioration et la croissance du système. Il permet également de mettre en relief l’évolution de ces actifs dans le temps en tenant compte de diverses hypothèses fondées sur les améliorations technologiques, et d’expliquer comment se fera le suivi du rendement de ces actifs.

 

Après avoir fait l’inventaire complet des intrants requis pour offrir des services de transport en commun dans la ville, des politiques qui en régissent la mise en oeuvre, et des objectifs visés pour l’avenir, on a défini les priorités fondamentales qui suivent pour tous les actifs du transport en commun.

 

1) Maintien de la capacité actuelle des actifs

Les actifs les plus visibles du système de transport en commun sont le matériel roulant et les stations d’embarquement et de débarquement. La durée de vie d’un autobus de transport en commun est de 18 ans, dont 12 ans selon les normes de l’équipementier d’origine et 6 ans après remise à neuf, comme spécifié par le ministère des Transports dans le Programme ontarien des véhicules de transport en commun (POVTC). Selon ce programme, la Ville reçoit 33 % du coût des immobilisations pour le remplacement d’un autobus et 33 % du coût de la première remise à neuf.

Dans le budget des immobilisations, une somme de 66 millions de dollars est prévue pour la remise à neuf des autobus pendant la durée du PGATC, au cours duquel on entend remettre à neuf 493 véhicules. Dans le parc actuel, on compte 176 autobus qui devront être retirés à la fin de leur période de vie utile et remplacés par de nouveaux véhicules moyennant un investissement de quelque 135 millions de dollars.

Du point de vue des installations, la GABI mettra en application en 2006 les trois phases de la Stratégie de gestion générale des biens de son plan d’affaires, qui tiendra compte des installations de transport et d’entretien. Les activités de renouvellement du cycle de vie et les travaux sur les installations de transport en commun coûteront 41 millions de dollars. L’expansion de la flotte exigera la construction de deux nouveaux garages d’entretien du parc de transport en commun pour un montant de 140 millions de dollars pendant la durée du PGATC. Le renouvellement du matériel d’entretien des autobus dans les installations d’entretien s’élèvera à 17 millions.

Le Transitway, qui constitue un lien vital avec le centre‑ville, traverse la ville d’est en ouest et du nord au sud. D’importants travaux de rénovation sont prévus pour une valeur estimée à 7 millions de dollars. 

Il faudra également continuer à entretenir le réseau routier et à appliquer les mesures prioritaires relatives au transport en commun (8 millions) afin de s’assurer que ces actifs contribuent au succès des couloirs réservés.

2) Amélioration de l’efficience, de l’efficacité et du service à la clientèle

Un certain nombre des projets prévus dans le plan des dépenses d’immobilisation visent à améliorer le fonctionnement du système et à offrir davantage de commodités aux passagers grâce à l’amélioration du matériel roulant, des stations et des interfaces technologiques. Les nouvelles initiatives de systèmes informatisés de transport en commun et le centre de contrôle intégré coûteront 24 millions de dollars en immobilisations planifiées. À bord des autobus, le Système intelligent d’information sur les autobus permettra d’améliorer l’exactitude des horaires, l’information aux usagers, d’optimiser l’affectation des ressources, et de réduire les frais généraux grâce à un meilleur suivi des capacités de la flotte. Il sera ainsi plus facile d’améliorer les commodités offertes aux clients grâce à l’installation de ce système dans toute la flotte et dans l’ensemble du réseau; cela inclut des écrans affichant l’heure du prochain autobus aux arrêts importants. La réalisation de cette initiative coûtera 380 000 $. Les premières étapes de la mise en oeuvre du « système de paiement par carte à puce », qui reposera sur l’architecture de communication Smart Bus, se dérouleront en 2006 avec pour objectif la mise en place du système d’ici 2008. La réalisation du projet supposera un financement de 11,6 millions de dollars.

La technologie permettra également d’améliorer l’efficience et l’efficacité de Para Transpo grâce à la mise en oeuvre du système de réponse vocale interactive (RVI), qui donne à l’usager la possibilité d’annuler une réservation à n’importe quel moment, ce qui facilite la réaffectation des véhicules à d’autres tâches et l’amélioration du service en général. Financement d’environ 125 000 $ en 2006.

La sécurité de la clientèle pendant le transport fera partie intégrante du système intégré de gestion de la sécurité (SIGS) conçu pour protéger les personnes et les actifs contre les menaces et les risques dans les installations de la Ville d’Ottawa. Le programme prévoit l’installation de toute une gamme de dispositifs de sécurité, dont la télévision en circuit fermé (TVCC), des alarmes anti‑intrusion, le contrôle de l’accès, la réponse à l’alarme, etc., intégrés dans un SIGS avec surveillance 24 heures par jour par le Centre des opérations des Services de sécurité de la Ville. Selon le programme d’immobilisations pour les installations de transport en commun, il faudra prévoir un financement de 146 000 $. Une partie de cette somme pourrait être amortie par une subvention fédérale puisqu’il s’agit également d’une priorité du gouvernement fédéral.

3) Augmenter la capacité dans le but d’accroître l’achalandage

Le plus important projet pour augmenter la capacité du système est la construction de la ligne nord‑sud du train léger, qui sera réalisée selon l’échéancier du PGATC, ainsi que la poursuite des travaux de prolongation de la ligne est‑ouest. Ces initiatives exigent un financement de 1,42 milliard de dollars.

L’acquisition et la mise en oeuvre de la ligne nord‑sud du train léger sont gérées par le Service de l'urbanisme et de la gestion de la croissance, qui les signale dans son plan opérationnel comme un objectif essentiel pour appuyer le Plan de croissance de l’achalandage du transport en commun. Ce système est développé dans le cadre d’un partenariat public‑privé avec l’entrepreneur du secteur privé qui aura la responsabilité de concevoir, de construire et d’entretenir le système pendant quinze ans. Dans le cadre de ses responsabilités en matière d’entretien, l’entrepreneur devra assurer l’entretien du système au cours de son cycle de vie complet, dont celui des structures, des stations et des installations d’entretien. Les transports en commun exploiteront le système dans le cadre du réseau intégré des transports en commun de la Ville et le nettoyage des stations sera assuré par la GABI.


Le Transitway et son extension demeureront une composante importante du service dans l’avenir, avec une prévision de dépenses de 43 millions de dollars pour les préparations à l’intégration et à l’expansion du train léger, plus 363 millions pour des projets spécifiques comme le Transitway ouest (Bayshore à Pinecrest), le Transitway sud‑ouest (Fallowfield au centre‑ville de Nepean), le Transitway jusqu’à Cumberland comme mesure en attendant le train léger, le Transitway ouest (Terry Fox‑Eagleson), les études environnementales et la protection des futures lignes. Le nombre des parcobus devra lui aussi être augmenté, avec des dépenses d’immobilisation pour les travaux de 20 millions de dollars. 

Dans l’échéancier du PGATC, on prévoit un autre investissement de 199 millions dollars pour accroître la flotte et augmenter ainsi la capacité du parc. Le type de carburant et la configuration des véhicules, ainsi que les nouvelles commodités pour les passagers, feront l’objet d’une évaluation au moment de la commande d’approvisionnement.

Au total, les immobilisations dans le transport en commun nécessaires pour atteindre les objectifs du Plan de croissance de l’achalandage du transport en commun (PCATC) devront atteindre 2,48 milliards de dollars. On peut relever plusieurs différences entre le PCATC et le PGATC quant au montant des dépenses. Les 4,4 milliards de dollars d’immobilisations du PCATC sont calculés d’après le plan directeur des transports, qui porte sur la période 2003 à 2021. Par contre, les 2,48 milliards du PGATC sont fondés sur le budget des immobilisations de 2006 et les prévisions connexes de 2006 à 2015. Le PCATC n’inclut que les coûts liés à la croissance, tandis que le PGATC tient compte des dépenses en immobilisation reliées à la croissance, à la rénovation et à certaines études. Le PCATC est fondé sur une cible de répartition modale de 30 %, tandis que le PGATC repose sur les sources de financement et le financement prévus dans le budget de 2006.

Au cours de la phase de mise en oeuvre de ces projets d’immobilisations, voici les lignes directrices visant les résultats spécifiques attendus :

·        Assurer l’accessibilité de tous les véhicules et de toutes les installations afin de répondre aux exigences de la Loi sur les personnes handicapées de l’Ontario en planifiant que tous les véhicules soient complètement accessibles d’ici 2015.

·        Stratégie de réduction des émissions – viser par étapes un taux d’émissions de zéro. 

·        Améliorer le rendement et l’efficience de la gestion de la flotte, des biens et de l’infrastructure grâce à des examens continus.

·        Approvisionnement dans le cadre de mécanismes concurrentiels qui permettent de rationaliser le processus et de réduire les frais généraux comme des offres permanentes pour les pièces de rechange, des initiatives PPP et autres.

4) Mesures du rendement

Le Plan de croissance de l’achalandage du transport en commun définit tout un ensemble d’indicateurs du rendement que nous ne reprendrons pas ici. Cependant, nous en présentons certains comme repères pour mesurer la réalisation des objectifs précisés dans ce plan de gestion des actifs.  Au cours de la période d’application du plan, il sera peut‑être nécessaire d’élaborer ou d’inclure de nouvelles mesures. Les mesures ci‑dessous donneront une indication de l’ampleur du système et du haut niveau d’efficacité de son exploitation. Elles sont analysées en détail dans le PGATC.

·        Objectifs du transport en commun atteints

·        Changements du nombre de kilomètres par autobus

·        Indicateur de l’efficience (OMBI) – Coût du kilomètre

·        Ratio des véhicules de rechange

·        Tests de sécurité

·        Tests environnementaux

 

Dans ce contexte, les actifs sont gérés de façon à minimiser les risques d’interruption du service et à assurer un service sécuritaire, fiable et courtois aux 350 000 personnes qui utilisent le transport en commun chaque jour de la semaine. 

 

CONSULTATION

 

Il n’y a eu aucune consultation publique particulière pendant l’élaboration du plan de gestion des actifs du transport en commun. Les stratégies et les initiatives décrites dans le document ont été présentées dans le budget annuel ainsi que dans le Plan financier à long terme ou lors du processus de planification de la Ville, toutes initiatives qui ont fait l’objet d’une vaste consultation. Il s’agit ici d’un document d’accompagnement du Plan de croissance de l’achalandage du transport en commun, qui définit la capacité du système en fonction des actifs avec des plans de croissance pour des stratégies et des initiatives déjà incluses dans d’autres documents approuvés (p. ex., le plan officiel ou le plan directeur des transports) et qui ont déjà fait l’objet de vastes consultations.

 

IMPLICATIONS FINANCIÈRES

 

Le programme financier est basé sur le budget des immobilisations de 2006 approuvé par le Conseil et les prévisions connexes sur 10 ans. Le processus budgétaire annuel de la Ville reste le forum principal de décision quant à la façon de répartir les fonds d’immobilisation et d’exploitation. Au cours de ce processus, on vérifie non seulement si les fonds sont disponibles, mais on étudie également quel est le montant nécessaire pour exploiter et entretenir les actifs en question. Le Plan financier à long terme (PFLT) de la Ville a pour objet de prévoir les dépenses essentielles à effectuer au cours des dix prochaines années et de tenir compte de la nécessité d’affecter ou de générer des fonds pour ces initiatives. Ce plan est à la base du processus budgétaire annuel d’immobilisation. Le programme financier du transport en commun est résumé dans le tableau ci‑dessous, qui indique le total des dépenses prévues et précise la façon dont elles seront éventuellement financées. 

Programme financier du transport en commun pour les années 2006 à 2015

Coûts futurs du transport en commun portés au budget des immobilisations de 2006

(2006 – 2015, millions de $)

Secteur de coût

2006

2007

2008

2009-15

TOTAL

Train léger

730

 

 

689

1 419

Transitway

16

53

19

319

407

Autobus – remise à neuf, remplacement, croissance

37

71

12

280

400

Installations et équipement

14

59

5

121

199

Systèmes

3

13

7

13

36

Parcobus

 

 

7

13

20

Total des investissements

800

196

50

1 435

2 481

 

 

 

 

 

 

Sources de financement

2006

2007

2008

2009-15

TOTAL

Subventions fédérales

233

40

10

472

755

Revenus de la province (autres que la taxe sur l’essence)

212

34

5

420

671

Revenus des obligations

215

43

8

356

622

Redevances d’aménagement

116

23

8

145

292

Taxes provinciales sur l’essence (brutes)

30

37

37

259

363

Taxe provinciale sur l’essence pour les frais de fonctionnement

(7)

(10)

(37)

(224)

(278)

Réserves alimentées par les taxes

1

10

19

7

37

Autre revenu non spécifié (1)

 

18

 

 

18

Total sources de financement

800

196

50

1 435

2 481

 

Note 1 : La mention Autre revenu non spécifié ne s’applique qu’au projet du Transitway ouest. Le personnel envisage un financement de haut niveau qui n’était pas confirmé au moment de rédiger ce rapport. 

La taxe provinciale sur l’essence est présentée comme une recette annuelle brute, moins la portion dévolue au financement des dépenses de fonctionnement admissibles, dont le coût du service de la dette. Comme indiqué au préalable dans le Plan financier à long terme, la majorité des recettes tirées de la taxe provinciale sur l’essence dans les années subséquentes sont censées aller au service de la dette. 

Les recettes tirées de la taxe provinciale sur l’essence sont indiquées à part, mais les autres grandes contributions du gouvernement fédéral et du gouvernement provincial sont les 400 millions de dollars engagés pour le projet actuel de train léger et un engagement comparable espéré pour la ligne est‑ouest. Les contributions au budget des redevances d’aménagement totalisent 292 millions, dont 109 sont affectés au train léger dans le projet de budget des immobilisations de 2006. Les fonds que la Ville devra emprunter sous forme d’obligations et tirera de ses recettes fiscales actuelles sont également identifiés dans le tableau.

Le Plan financier à long terme actuel (PFLT) table sur un niveau de dépenses supérieur aux ressources courantes. Il sera réexaminé au cours de l’année 2006, ce qui entraînera probablement des modifications pour les années subséquentes de la période de planification, modifications qui seront incorporées dans le prochain PGATC.

Le processus budgétaire annuel de la Ville demeure le principal forum de décision quant aux projets qui doivent être réalisés compte tenu des fonds d’immobilisation et de fonctionnement disponibles.

 

DOCUMENTS À L’APPUI

 

Document 1      A Guide to Preparing a Transit Asset Management Plan (Province de l’Ontario – juin 2005) - distribué précédemment et déposé auprès du greffier municipal

Document 2      Plan de gestion des actifs du transport en commun de la Ville d’Ottawa (mars 2006) - distribué précédemment et déposé auprès du greffier municipal

Document 3      Selected RPAM Information and Data - déposé auprès du greffier municipal

This document contains a facility listing, life cycle renewal forecast, process flowcharts and synopsis of programs.

 

SUITE À DONNER

 

Dès l’approbation du Plan de gestion des actifs du transport en commun (PGATC) par le Comité et le Conseil, le personnel :

 

·     finalisera le PGATC pour présentation officielle au ministère des Transports; 

·     examinera périodiquement le GATC et fera les mises à jour nécessaires.