Expositions 2019

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Fiona Annis – Mormorii (Murmures)

Du 25 janvier au 17 mars 2019
Vernissage : le jeudi 7 février, de 17 h 30 à 19 h 30
Causerie avec l’artiste (en anglais) : le vendredi 8 février à 12 h 30

Fiona Annis, Mormorii, 2017, installation de son multivoie et de lumières, dimensions variables. Photo : Renée Méthot, gracieuseté de l'artiste.

ampoules suspendues au fil

Fiona Annis, Mormorii, 2017, installation de son multivoie et de lumières, dimensions variables. Photo : Renée Méthot, gracieuseté de l'artiste.

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Extrait du catalogue

Prenant appui sur sa précédente installation multimédia, The Stars Are Dead but Their Light Lives On, cette exposition cristallise la manière de l’artiste d’explorer les matières existantes, les images et les technologies à la recherche de nouvelles significations. Dans le cas de Mormorii, Fiona Annis donne naissance à une rencontre emplie d’émotions en réhabilitant une archive fondamentalement immatérielle par sa nature même. L’artiste active les sens du visiteur de telle façon que « c’est tout le corps qui se met à vibrer au sein de cette installation, traversé par un doux frisson ».** La représentation d’un sujet aussi intime que les berceuses dans un environnement multimédia amplifié est loin d’être une froide exposition d’éléments technologiques privés de leur contexte. Il s’agit plutôt d’une transformation radicale de la transmission qui touche une corde assurément sensible. Plongée dans une mer de berceuses mille fois chuchotées, l’installation est une expérience étrange et extrêmement touchante qui évoque la présence à travers l’absence.

- Véronique La Perrière M.

**C’est dans ces mots que Bernard Lamarche décrit son appréciation de Mormorii : « À activer nos sens de la sorte, et considéré la charge émotive des chants entendus, c’est tout le corps qui se met à vibrer au sein de cette installation, traversé par un doux frisson. » Voir : Lamarche, Bernard. Fiona Annis. De l’oralité à l’auralité. Espace art actuel, 2018.

Biographie

Fiona Annis vit et travaille à Montréal, au Canada. Elle utilise une grande variété de techniques pour explorer les tensions qui existent entre le concept et la matière, ainsi que pour sélectionner les processus et les rythmes qui permettent d’amplifier les idées à la base de chacun de ses projets. Fiona a exposé ses œuvres dans des musées, des centres d’artistes et des galeries universitaires partout au Canada et à l’étranger. Elles font partie de la collection permanente du Musée de la civilisation, à Québec, du Musée national des beaux-arts du Québec, de la Collection d’art de la Ville d’Ottawa et de la Penumbra Foundation, à New York. Fiona poursuit une collaboration de longue date avec La Société des archives affectives, travaillant à divers projets, notamment une commission d’art public à grande échelle, à Montréal. Elle a reçu une bourse de recherche de la Fondation Brucebo pour entreprendre un nouveau projet avec le Musée des instruments astronomique à Naples, en Italie.

L. KOLTUN – La mort du monarque

Du 28 mars au 20 mai 2019
Vernissage : le jeudi 28 mars, de 17 h 30 à 19 h 30
Parcours avec l’artiste (en anglais) : le dimanche 28 avril à 14 h

L. KOLTUN, Death of the Monarch 5, 2018, épreuve au jet d’encre sur papier, 81 x 122 cm. Gracieuseté de l'artiste.

Un exemple du genre de travail qui fera partie de l’exposition

L. KOLTUN, Freezing Black 22018, épreuve au jet d’encre sur papier, 81 x 122 cm. Gracieuseté de l'artiste.

Un exemple du genre de travail qui fera partie de l’exposition

Les photographies numériques de cette exposition représentent de multiples clichés de la pluie verglaçante qui est tombée le 16 avril 2018 et d’asclépiades en fin de vie ayant poussé dans la région. Ces images traduisent la baisse catastrophique de 90% de la population de monarques dans l’est de l’Amérique du Nord. Ce lien intime entre un végétal vivant et un insecte, associé à une pluie verglaçante inopportune, évoque une mort mutuelle et lente qui reflète à la fois un chagrin et un espoir qui vit en souvenirs.

Extrait du catalogue

Est-ce la fin des monarques?

Les œuvres de Lilly offrent une réponse à cette question. Chacune est créée par la surimposition d’images différentes, parfois jusqu’à sept images. Certaines d’entre elles sont translucides, d’autres presque opaques. Certaines ont été prises en plein mouvement, d’autres cadrées avec un grand soin. En fin de compte, ses créations évoquent la possibilité de la vie et de la survie avec beaucoup de maestria, de profondeur et de bienveillance.

- Judith Eglington

Biographie         

Née à Toronto, L. KOLTUN est une artiste interdisciplinaire qui utilise la défamiliarisation pour dévoiler de nouvelles significations. Elle aspire à créer des œuvres déstabilisantes, qui lui sont inspirées par sa fascination pour les comportements sociaux profondément enracinés et pour les valeurs disparues, contestées ou méprisées. En 2014, après une brillante carrière comme cadre dans le domaine culturel et spécialiste de la photographie au Canada, elle a obtenu un B.A.V. à l’Université d’Ottawa, remportant deux prix pendant son parcours universitaire. En plus d’avoir créé sur commande des sculptures et des peintures, elle a exposé des photographies comme des vidéos et présenté des installations et des performances artistiques, tant à Ottawa que dans plusieurs autres villes canadiennes. Elle siège au conseil d’administration de la Galerie d’art d’Ottawa tout en poursuivant sa carrière de professeure auxiliaire en recherche en histoire de l’art à l’Université Carleton. Elle effectue aussi une M.A.V. à l’Université d’Ottawa.

Luce Meunier, Sarah Rooney et Monica Tap – Réseaux abstraits

Commissaire : Jakub Zdebik

Du 30 mai au 28 juillet 2019
Vernissage : le jeudi 30 mai, de 17 h 30 à 19 h 30
Causerie avec le commissaire (en anglais) : le dimanche 7 juillet à 14 h

Luce Meunier, Aux quatre vents: courant d’air (graphite) #2, 2017-2018, aquatinte soufflée sur papier, 51 x 66 cm. Gracieuseté de l’artiste et de la Galerie Antoine Ertaskiran.

Un exemple du genre de travail qui fera partie de l’exposition

Monica Tap, One-second Hudson no. 2, 2007, huile sur lin, 61 x 81 cm. Gracieuseté de l’artiste.

Un exemple du genre de travail qui fera partie de l’exposition

Sarah Rooney, Suspended Emulsion n°2 / Émulsion en suspens n°2, 2017, impression jet d’encre sur papier archive, 76 x 71 cm. Gracieuseté de l’artiste.

Un exemple du genre de travail qui fera partie de l’exposition

Extrait du catalogue

Réseaux abstraits explore l’émergence d’une esthétique moderniste et formaliste dans la culture contemporaine, à travers les œuvres de Luce Meunier, de Sarah Rooney et de Monica Tap. Ces trois artistes s’intéressent à de multiples facettes du style moderniste : la géométrie, les paysages abstraits et la reproductibilité. L’exposition crée des réseaux d’association et de sens entre les représentations peintes, les photographies comme peintures, les stratégies de photographie abstraite et les paysages qui se dissolvent dans l’abstraction. Ces divers modes de représentation ont en commun leur relation avec le numérique.

- Jakub Zdebik

Biographies

Luce Meunier utilise le minimum du langage plastique et graphique pour façonner ses œuvres. S’attachant à mettre en place des procédés d’application originaux, l’artiste utilise des méthodes non conventionnelles pour appliquer la matière. Formées de plis saillants, de superpositions ou de jeux de transparence, ses compositions picturales explorent l’espace et mettent en évidence des structures organisationnelles d’une géométrie organique formelle. Luce Meunier vit et travaille à Montréal. Ses œuvres ont été récemment exposées à la Galerie Antoine Ertaskiran (Montréal), à la Galerie R3 de l’Université du Québec à Trois-Rivières, chez Christie Contemporary (Toronto), à la Dunlop Art Gallery (Regina) et chez Birch Libralato (Toronto). Elle a été finaliste au Concours de peintures canadiennes de RBC en 2006. Ses œuvres font partie de nombreuses collections privées, d’entreprises et d’institutions. L’artiste est représentée par la galerie Antoine Ertaskiran.

Sarah Rooney travaille avec la peinture et la photographie selon un processus de superposition des registres. Elle cherche à observer les subtiles énigmes relatives à l’espace, et ses œuvres représentent des altérations dans la distance, l’instantanéité et le temps. Aujourd’hui établie à Montréal, elle est née en Afrique du Sud et a grandi au Brésil. Elle a étudié au Chelsea College of Art and Design de Londres avant d’obtenir un baccalauréat en beaux-arts de l’Université Concordia, à Montréal, et une maîtrise en beaux-arts de l’Université York, à Toronto. Elle a enseigné à l’Université York ainsi qu’à l’Université de Toronto, et est actuellement professeure à temps partiel au Département d’arts visuels de l’Université d’Ottawa. Son travail fait partie de la Banque d’art du Conseil des Arts du Canada ainsi que de collections privées au Canada, aux États-Unis, au Mexique et en Europe.

Monica Tap explore, dans ses nombreuses activités artistiques, le thème du temps et la représentation en peinture. Son travail crée une ouverture entre paysage et abstraction, évoluant dans la peinture et d’autres formes. Ses toiles se veulent des études conceptuelles et systématiques des codes de la perception et de l’illusionnisme picturaux. Au cours des 15 dernières années, elle a exposé au Canada, à New York et à Londres. Elle a reçu de nombreuses subventions et récompenses, notamment du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada pour son projet intitulé Translation as a Strategy of Renewal in Painting. Elle est professeure à l’École des beaux-arts et de musique de l’Université de Guelph.

Jakub Zdebik est professeur adjoint en histoire de l’art au Département d’arts visuels de l’Université d’Ottawa. Ses travaux ont été publiés dans RACAR, The Brock Review, The Semiotic Review of Books, English Studies in Canada et Deleuze Studies. Il a écrit deux livres : Deleuze and the Diagram: Aesthetic Threads in Visual Organization (Continuum Press, 2012) et Deleuze and the Map-Image: Aesthetics, Information, Code, and Digital Art (Bloomsbury Press, 2019), paru en mai. Il a également été commissaire d’expositions artistiques au Kennedy Museum of Art, en Ohio, et à la Galerie d’art R3 de Trois-Rivières, au Québec.

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Esther Hoflick – Unnaming (Taire les noms)

Candidate à la maîtrise en arts visuels de l’Université d’Ottawa – Exposition de thèse

Du 14 août au 8 septembre 2019
Vernissage : le jeudi 22 août, de 17 h 30 à 19 h 30

La galerie sera fermée aux heures suivantes :

Le jeudi 15 août, de 10 h à 13 h.
Le vendredi 16 août, de 9 h à 13 h.

Nous nous excusons des inconvénients.

Afin de complémenter son programme régulier, la Galerie Karsh-Masson est heureuse de s’associer au Département d’arts visuels de l’Université d’Ottawa afin d’offrir un précieux mentorat et une occasion de perfectionnement professionnel.

Esther Hoflick, sans titre, 2019, aquarelle, pastel tendre, crayons de couleur et graphite sur plaques de plâtre, 152 x 152 cm. Gracieuseté de l’artiste.

peinture abstraite blanche, jaune et rose

Esther Hoflick, sans titre, 2019, aquarelle, pastel tendre, crayons de couleur et graphite sur plaques de plâtre, 28 x 36 cm. Gracieuseté de l’artiste.

peinture abstraite blanche, jaune et bleue

Extrait de la déclaration de l’artiste

Esther Hoflick utilise sa technique pour explorer le réenchantement et ce que signifie, sur le plan phénoménologique, le fait d’être humain. Les recherches artistiques qu’elle a menées tout au long de sa maîtrise en arts visuels étaient axées sur la perception et sa relation avec le monde physique. Son attrait pour la perception est également lié à son intérêt pour la relation entre le sens et le non sens. Fait intéressant, pour l’artiste, ces relations sont perçues comme un continuum plutôt qu’une bifurcation. Elle s’interroge sur nos perceptions enchevêtrées dans notre environnement et sur la place qu’occupe le sens dans ce continuum.

Biographie

Originaire d’une communauté de chalets tout près de Peterborough, en Ontario, Esther Hoflick a obtenu un baccalauréat ès arts spécialisé en arts visuels en atelier de l’Université de Guelph en 2007, avec une mineure en littérature anglaise. En 2012, l’artiste s’est installée à Montréal où elle a vécu et travaillé jusqu’en 2017, année à laquelle elle a commencé sa maîtrise en arts visuels à l’Université d’Ottawa.

Hoflick est cofondatrice de Night Owl Contemporary, une galerie pour les artistes de la relève à Montréal, et a dirigé The Living Art Room, une petite école d’art communautaire. Elle a travaillé comme conservatrice pour Artbomb, un site de vente aux enchères quotidienne d’œuvres d’art canadiennes, et, en 2014, elle a reçu une subvention du programme Jeunes volontaires du Québec. Elle a travaillé comme assistante d’atelier pour Peter Barron, à Peterborough, Don Russell, à Guelph, et John Brown, à Toronto. Ses œuvres ont notamment été exposées à Artspace, à Peterborough, à la Galerie d’art de Guelph, à Espace Projet, à Montréal, à la Galerie UQO, à Gatineau, et sur le site Artfetch, basé à Dublin, en Irlande.

logo de l’Université d’Ottawa

Benjamin Rodger – Tu peux encore changer le monde

Du 19 septembre au 11 novembre 2019

Extrait du catalogue

À les regarder rapidement, [les taches qui couvrent les toiles de Benjamin Rodger] donnent l’impression d’avoir été faites d’un geste brusque sur la surface du tableau : un « splash », comme le laissent entendre quelques titres des œuvres présentées. On remarque pourtant que ces taches sont formées de contours très précis et qu’elles n’ont rien d’aléatoire. Elles ont été dessinées avec minutie, y compris toutes les dégoulinades. Cette deuxième dichotomie entre la tache aléatoire et le dessin précis pose la peinture comme le lieu de la représentation. L’image n’est pas donnée – la tache –, elle est fabriquée – le dessin de la tache.

- François Chalifour

Biographie

Originaire d’Ottawa, Benjamin Rodger est détenteur d’un baccalauréat en beaux-arts de l’Université Concordia à Montréal et d’une maîtrise en beaux-arts de l’école nationale supérieure d’art de la Villa Arson, à Nice, France. Son travail, surtout en peinture, a été exposé au Canada, en Europe et au Proche-Orient. En effet, il a été sélectionné en tant que représentant officiel du Canada dans la discipline de la peinture aux VIes Jeux de la Francophonie, qui se sont tenus à Beyrouth, au Liban. En 2015, il a participé à la résidence d’artistes Fugitif, à Leipzig, en Allemagne.

De retour à Ottawa depuis 2009, son travail a été exposé à de nombreuses reprises dans la région. Il a reçu plusieurs subventions et bourses de la part du Conseil des arts de l’Ontario, de la Ville d’Ottawa et de la Fondation franco-ontarienne. Impliqué dans sa communauté, il a siégé à des conseils d’administration, à des comités d’organisation et à des jurys pour des festivals, des coopératives, des galeries, des centres d’artistes et des institutions gouvernementales et scolaires. Représenté par la Galerie St-Laurent + Hill à Ottawa, il partage son temps entre son atelier et le département des arts du Cégep de l’Outaouais, où il enseigne.

Benjamin Rodger tient à remercier la Ville d’Ottawa pour son soutien financier. 

Membres du Comité d’évaluation par les pairs pour les expositions de 2019 : Lisa Creskey, Manon Labrosse, Barry Pottle

Signal : Ajouts 2019 à la Collection d’art de la Ville d’Ottawa

Du 22 novembre 2019 au 12 janvier 2020

Vernissage : le jeudi 12 décembre, de 17 h 30 à 19 h 30 à la Galerie d’art de l’hôtel de ville
Joignez-vous au maire Watson pour les mots d’ouverture, à 18 h.

Cette exposition sera présentée à l’hôtel de ville, dans les deux galeries suivantes :
Galerie Karsh-Masson : Du 22 novembre 2019 au 12 janvier 2020
Galerie d’art de l’hôtel de ville : Du 12 décembre 2019 au 29 janvier 2020

Signal : Ajouts 2019 à la Collection d’art de la Ville d’Ottawa est une sélection d’œuvres de commande et d’acquisitions substantielles par don ou par achat. Un signal, c’est un outil de communication élémentaire, mais important, qui envoie des messages ponctuels, tantôt subtils, tantôt explicites. Par le geste, l’action, l’expression ou l’image, les artistes à origine de ces œuvres nous transmettent de l’information. Des altérations perceptibles dans l’environnement, la ville et les lieux où nous vivons deviennent des signaux pour qui veut bien les recevoir.

Les œuvres présentées dans la Galerie Karsh-Masson proviennent soit de dons faits à la Collection d’art de la Ville d’Ottawa ou de commandes d’art in situ passées dans le cadre du Programme d’art public. La Ville étudie chacun des dons qui lui sont offerts pour sa collection d’art, des œuvres qui arrivent parfois à point nommé pour compléter cette collection non commissariée servant de mémoire des arts visuels à Ottawa. En 2019, nous avons reçu des dons provenant d’artistes et de successions, notamment une importante série d’œuvres du défunt Mathieu Trudel (1979‑2016).

En 2019, l’enthousiasme palpable suscité par le lancement de la Ligne de la Confédération de l’O-Train nous a rappelé que notre région évolue. Treize stations relient maintenant notre ville d’est en ouest, chacune étant ornée d’œuvres originales d’artistes renommés de partout au pays. Grâce à ces commandes pour des emplacements précis, les usagers du transport en commun ont l’occasion de découvrir diverses œuvres d’art de grande taille durant leurs déplacements quotidiens.

Les œuvres d’art de cette collection itinérante sont exposées dans plus de 170 lieux publics et édifices municipaux afin que les résidents et les visiteurs de la ville puissent les admirer et en profiter. Depuis plus de 30 ans, la Ville d’Ottawa et les diverses municipalités qu’elle regroupe aujourd’hui collectionnent diligemment des œuvres signées par des artistes professionnels. Ainsi, la Collection d’art de la Ville d’Ottawa réunit désormais plus de 2 900 œuvres réalisées par plus de 800 artistes. Les personnes qui participent à cette exposition ne représentent qu’une petite fraction d’une communauté d’artistes visuels beaucoup plus vaste qui englobe dans la région de multiples talents.

Liste des ajouts récents à la Collection d'art de la Ville d'Ottawa

Achats

Annie Pootoogook, Late Night Snack, n.d., crayon de couleur et encre sur papier, 22 x 28 cm, 2019-0001

Gordon Stranks, inconnu, vers 1940, aquarelle sur papier, 46 x 60 cm, 2019-0002

Adam Alorut, Spirit, 2018, os de baleine, bois de cervidé, ivoire et pierre, 64 x 31 x 13 cm, 2019-0009

Judith Berry, The Lives We’re Making, 2018, huile sur panneau de bois, 68 x 168 cm, 2019-0010

Natalie Bruvels, Hopping Croakers, 2016, huile sur toile, 183 cm x 244 cm, 2019-0011

Kyle Bustin, Hive Mind, 2015, acrylique et peinture en aerosol sur panneau, dimensions variables, 2019-0012

Kristina Corre, On and On and…, 2018, techniques mixtes sur papier, 61 x 46 cm, 2019-0013

Laurence Finet, Mane-Crinière, 2018, cyanotype sur papier, 22 x 32 cm, 2019-0014

Tony Fouhse, Untitled (snow), 2017, épreuve numérique sur papier, 34 x 51 cm, 2019-0015

Gary Franks, Meredith and Hollis, 2018, épreuve numérique sur papier, 33 x 41 cm, 2019-0016

Gary Franks, Self-Portrait, 2018, épreuve numérique sur papier, 33 x 41 cm, 2019-0017

Gary Franks, Pippa, 2018, épreuve numérique sur papier, 33 x 58 cm, 2019-0018

Daniel Effah, Blend Mask, 2018, épreuve numérique sur papier, 41 x 51 cm, 2019-0019

Anna Frlan, Jet Clean, 2017, acier, 94 x 66 x 61 cm, 2019-0020

Marisa Gallemit, Vulcanized 1, 2018, tubes de vélo et feuilles de pandanus, 27 x 64 x 8 cm, 2019-0021

Marisa Gallemit, Vulcanized 2, 2018, tubes de vélo et feuilles de pandanus, 18 x 64 x 10 cm, 2019-0022

Marisa Gallemit, Vulcanized 4, 2018, tubes de vélo et feuilles de pandanus, 18 x 58 x 10 cm 2019-0023

Adrian Göllner, All the Birds I Saw Last Year: May 2018, 2018, épreuve numérique sur papier, 92 x 29 cm, 2019-0024

Abigail Gossage, Barrymore’s Music Hall, 2019, épreuve numérique sur papier, 71 x 102 cm, 2019-0025

Abigail Gossage, Somerset House, 2019, épreuve numérique sur papier, 71 x 102 cm, 2019-0026

Nathalie Grice, Raccoon Kit, 2014, techniques mixtes, 33 x 20 x 24 cm, 2019-0027

Nathalie Grice, Raccoon, 2014, techniques mixtes, 56 x 41 x 31 cm, 2019-0028

Michael Harrington, Three Figures, 2019, gouache sur papier, 23 x 30 cm, 2019-0029

Clara Kim, Frog & Rooster No. 3, 2018, acrylique sur toile, 61 x 91 cm, 2019-0030

Donald Kwan, Invisible Identities (Vest), 2019, techniques mixtes, 66 x 46 x 5 cm, 2019-0031

Charlynne Lafontaine, No More Tears, 2018, verre et objet trouvé, 34 x 22 x 15 cm, 2019-0032

David Lidbetter, Spring Flood, 2018, huile sur toile, 76 x 102 cm, 2019-0033

Jim Logan, He Stole Three Boxes of Kraft Dinner, 2018, acrylique sur toile, 61 x 76 cm, 2019-0034

Blazej Marczak, Ice Blasting, 2018, épreuve numérique sur papier, 112 x 161 cm, 2019-0035

Meryl McMaster, Caitlin, 2010, épreuve numérique sur papier, 91 x 91 cm, 2019-0037

Maria Moldovan, Keeping It, 2018, porcelaine, 33 x 28 x 13 cm, 2019-0037

Maria Moldovan, Carrier, 2018, porcelaine et bois peint, 43 x 38 x 15 cm, 2019-0038

Caroline Monnet, Caroline, 2019, épreuve numérique sur papier, 61 x 61 cm, 2019-0039

Paula Murray, Passage II, 2017, porcelaine, 52 x 10 x 12 cm, 2019-0040

Mélanie Myers, Sans-titre (laitues défraîchies), 2019, crayon de bois sur papier, 158 x 152 cm, 2019-0041

Nadia Myre, Respite 03, 2017, épreuve numérique et plexiglas, 122 x 122 cm, 2019-0042

Rajeev Nath, Measuring Wheel, 2019, épreuve numérique sur papier, 76 x 61 cm, 2019-0043

Rajeev Nath, Multi-Angle Palette Knife, 2019, épreuve numérique sur papier, 76 x 61 cm, 2019-0044

Mat O’Hara, Casting a Line to Alain Brosseau, 2019, épreuve numérique sur papier, 102 x 76 cm, 2019-0045

Cheryl Pagurek, Bodies of Water, 2013, vidéo numérique, 7 mins 22 sec, 2019-0046

Neeko Paluzzi, HIS/HIS, 2018, épreuve numérique sur papier, 100 x 152[PS(PAP1] cm (each/chacun), 2019-0047

Bozica Radjenovic, Ne me quitte pas, 2017, lin et cire, 110 x 13 x 7 cm, 2019-0048

Mike Steinhauer, Vanier, 2019, épreuve numérique sur papier, 132 x 66 cm, 2019-0049

Cindy Stelmackowich, Bleached Plasticity, 2019, épreuve numérique sur papier, 84 x 112 cm, 2019-0050

Norman Takeuchi, Equilateral No. 9 (East Lillooet), 2018, acrylique sur toile, 122 x 91 cm, 2019-0051

Katherine Takpannie, Our Women and Girls are Sacred, 2018, épreuve numérique sur papier, 61 x 91 cm, 2019-0052

Katherine Takpannie, Battling Addiction, 2018, épreuve numérique sur papier, 61 x 91 cm, 2019-0053

Katherine Takpannie, Every Now and Then I Get a Feeling That I’ve Left Something Behind Me, 2018, épreuve numérique sur papier, 61 x 91 cm, 2019-0054

Jeff Thomas, Terra Nullius, 2019, épreuve numérique sur papier, 52 x 126 cm, 2019-0055

Sharon VanStarkenburg, It’s So Easy, 2016, huile sur papier, 76 x 56 cm, 2019-0056

Colin White, Boushey’s (Façade), 2016, encre sur papier, 28 x 36 cm, 2019-0057

Anna Williams, Déjeuner Sur L’Herbe, 2019, linogravure sur papier, 29 x 39 cm, 2019-0058

Shirley Yik, Anthrop-o-scene 1, 2016, encre sur papier, 107 x 152 cm, 2019-0059

Jinny Yu, From Left to Right, 2017, huile sur aluminium, 2019-0060

Kathryn Drysdale, Burnside #4, 1993, fusain sur papier, 76 x 56 cm, 2019-0061

Membres du comité d’évaluation par les pairs dans le cadre du Programme d’achats directs de 2019; Andrew Fay, Julie Hodgson, Melinda Mollineaux, Danielle Printup, Ramona Ramlochand

Dons

Karl Ciesluk, Seed Pod A, 2015, granit et pierre, 69 x 46 x 160 cm, 2018-0068

Karl Ciesluk, Seed Pod C, 2015, granit et pierre, 46 x 92 x 132 cm, 2019-0109

Christos Pantieras, Stephana (Crowns), 2000, objects trouvés, cire et peinture à huile, 66 x 33 cm, 2019-0003

Christos Pantieras, ALL THE BEST, 2015, encre sur papier, 76 x 56 cm, 2019-0004

Christos Pantieras, Untitled 1, 2015, épreuve numérique sur papier, 111 x 85 cm, 2019-0005

Christos Pantieras, Untitled 11, 2015, épreuve numérique sur papier, 111 x 85 cm, 2019-0006

Christos Pantieras, Untitled 12, 2015, épreuve numérique sur papier, 111 x 85 cm, 2019-0007

Bruce Garner, Untitled (Dialog Series), n.d., bronze, 76 x 50 x 13 cm, 2019-0008

Jeff Thomas, White Corn, 2019, épreuve numérique sur papier, 52 x 136 cm, 2019-0062

Jeff Thomas, Turtle Island, 2019, épreuve numérique sur papier, 51 x 106 cm, 2019-0063

Mathieu Trudel, Vieux-Hull, 2014, sérigraphie sur papier, 61 x 46 cm, 2019-0064

Mathieu Trudel, The Dirtbombs, 2005, sérigraphie sur papier, 43 x 28 cm, 2019-0065

Mathieu Trudel, Holly Golightly, 2004, sérigraphie sur papier, 43 x 28 cm, 2019-0066

Mathieu Trudel, Le Nombre, 2003, sérigraphie sur papier, 28 x 43 cm, 2019-0067

Mathieu Trudel, L’allumière Canada Limited, 2014, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0068

Mathieu Trudel, Louis’ Pizza, 2015, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0069

Mathieu Trudel, Shanghai Restaurant, 2014, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0070

Mathieu Trudel, Bobby’s Table, 2015, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0071

Mathieu Trudel, Épicerie Claire Lepage, 2014, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0072

Mathieu Trudel, Vanier, 2015, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0073

Mathieu Trudel, Salon de Barbier Mantha, Majeau, 2014, épreuve numérique sur papier, 46 x 31 cm, 2019-0074

Mathieu Trudel, Bar Jaguar, 2016, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0075

Mathieu Trudel, Dumouchel, 2015, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0076

Mathieu Trudel, Houle Sports, 2015, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0077

Mathieu Trudel, Steinbergs, 2015, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0078

Mathieu Trudel, Raw Sugar, 2014, épreuve numérique sur papier, 46 x 31 cm, 2019-0079

Mathieu Trudel, Chez Taffy, 2015, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0080

Mathieu Trudel, Vive le vélo libre (Dec. 4, 2015), 2015, techniques mixtes sur papier carton, 31 x 46 cm, 2019-0081

Mathieu Trudel, Idle Hand, 2014, aquarelle sur papier, 61 x 46 cm, 2019-0082

Mathieu Trudel, Sans titre (July 8, 2015), 2015, encre et graphite sur papier, 23 x 32 cm, 2019-0083

Mathieu Trudel, Mellos (November 3, 2015), 2015, encre et graphite sur papier, 23 x 32 cm, 2019-0084

Mathieu Trudel, Maxwells (June 22, 2015), 2015, encre et graphite sure papier, 23 x 32 cm, 2019-0085

Mathieu Trudel, Butler Motor Hotel, 2015, épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0086

Mathieu Trudel, Épicerie, 2014, épreuve numérique sur papier, 23 x 32 cm, 2019-0087

Mathieu Trudel, Patate Doré, n.d., épreuve numérique sur papier, 31 x 46 cm, 2019-0088

Comité d’évaluation des dons 2019; Neven Lochhead, Annie Thibault, Melanie Yugo

Commandes

Brandon Vickerd, Dwell (Demeure), 2018, acier patinable, 2018-0067, commandée pour l’Élargissement du chemin Greenbank

Jill Anholt, Coordinated Movement (Mouvement coordonné), 2018, aluminium peint, 2019-0089, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Hurdman

Derek Besant, Train of Thought (Fil de pensées), 2018, imageries lenticulaires, 2019-0090, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station uOttawa

Simon Brascoupé, Algonquin Moose (Orignal algonquin), 2018, acier peint, 2019-0091, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Pimisi

Simon Brascoupé (Artiste principal), Emily Brascoupé-Hoefler, Doreen Stevens, Sylvia Tennisco, Sherry-Ann Rodgers, Algonquin Canoe (Canot algonquin), 2018, peinture acrylique, pagaies en pin et canoë en acier, 2019-0092, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Pimisi

Simon Brascoupé, Claire Brascoupé et Mairi Brascoupé, Algonquin Birch Bark Biting Window Art (Œuvre algonquine, panneau composé d’écorce de bouleau à motifs mordillés), 2018, film pour vitrage, 2019-0093, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Pimisi

Geneviève Cadieux, FLOW / FLOTS, 2019, céramique frittée sur verre, 2019-0094, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Rideau

Douglas Coupland, Lone Pine Sunset (Crépuscule sur le pin solitaire), 2019, acier enduit de poudre, 2019-0095, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Parlement

Kenneth Emig, Sphere Field (Champ de sphères), 2019, mtechniques mixtes, 2019-0096, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station uOttawa

cj fleury et Catherine Widgery, Lightscape (Scène de lumière), 2019, verre dichroïque et acier inoxydable, 2019-0097, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Blair

Adrian Göllner, As the Crow Flies (À vol d’oiseau), 2018, acier de corten, 2019-0098, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Bayview

Jyhling Lee, National Garden (Jardin national), 2019, acier inoxydable à poli miroir, 2019-0099, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Tremblay

Don Maynard, Stand of Birch (Peuplement de bouleaux), 2018, acier inoxydable, 2019-0100, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Cyrville

Geoff McFetridge, This Image Relies on Positive Thinking (Cette image repose sur la pensée positive), 2019, peint sur béton, 2019-0101, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Lyon

Nadia Myre, sans titre (Pimisi/anguille; panier tissé; clôture évoquant une forêt de bouleaux), 2018, techniques mixtes, 2019-0102, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Pimisi

PLANT, With Words as their Actions (Par la force des mots), 2019, acier inoxydable, 2019-0103, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Lyon

Pierre Poussin, Cascades, 2019, aluminium peint, 2019-0104, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Bayview

Derek Root, Gradient Space (Espace dégradé de couleur), 2019, verre coloré et tuile de verre, 2019-0105, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train Tunney’s Pasture

Jennifer Stead, Trails: home and away (Sentiers : ici et ailleurs), 2019, acier enduit de poudre, 2019-0106, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Parlement

Amy Thompson, Transparent Passage (Passage transparent), 2019, aluminium enduit de poudre, encre sur verre, 2019-0107, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Lees

Jim Verburg, The shape this takes to get to that (La forme adoptée pour y arriver), 2017, porcelaine et acier inoxydable, 2019-0108, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station Rideau

Andrew Morrow, sans titre, 2019, épreuve numérique sur vinyle, 2019-0109, commandée pour la Ligne de la Confédération de l’O-Train station St-Laurent