Refuge – Sa perte et son remplacement

Deux œuvres brassent des idées sur le concept de refuge :

1. Comme on le voit sur cette photo, Rose des vents combine des images d’Ottawa prise de l’espace, un instrument de navigation appelé sextant et le mot « domicile ».
2. Le grand disque de granit, Du journal d’un campeur (qui n’apparaît pas ici), utilise les mots d’un arpenteur. Placés en spirale autour d’un lapin et encerclés par des flammes, ceux-ci évoquent une vieille histoire de feu de camp : « La tasse en étain, l’unique tasse à thé, faisait le tour jusqu’à ce que chacun ait bu, et chacun coupait avec sa machette des tranches de viande grillée sur une tranche de pain. Le festin se terminait avec quelques gorgées d’un grog faible, puis certains s’endormaient. Allongés ainsi comme un paquet de cuillers, nos pieds près du feu, nous trouvions souvent nos cheveux gelés sur le sol où nous étions étendus. Ainsi avons-nous passé notre joyeux Noël en 1826. »