La Stratégie d’amélioration des bâtiments d’Ottawa

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En quoi consiste la Stratégie d’amélioration des bâtiments d’Ottawa?

Approuvée par le Conseil municipal en octobre 2021, la Stratégie d’amélioration des bâtiments d’Ottawa définit les moyens d’encourager et de promouvoir les vastes travaux de rénovation qui permettront de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans les bâtiments commerciaux, institutionnels et industriels, ainsi que dans les immeubles à logements multiples (ILM). Il s’agit entre autres de tous les bâtiments qui font l’objet de la partie 3 du Code du bâtiment de l'Ontario, à l’exclusion de ceux dont la Ville est propriétaire ou exploitante et pour lesquels elle a mis au point une stratégie distincte dans le cadre du Programme de rénovation des bâtiments municipaux.

La Stratégie d’amélioration des bâtiments d’Ottawa est constituée de plusieurs éléments essentiels :

Le Conseil municipal a demandé d’élaborer des règlements municipaux sur la diffusion publique de l’information et sur le rendement de la consommation d’énergie. Cette directive s’inscrit dans la foulée d’une ligne de conduite comparable à celle qui a été adoptée à Vancouver en 2019 et à Toronto en 2020. La Stratégie d’amélioration des bâtiments d’Ottawa vise à permettre aux exploitants des immeubles de se préparer à ces changements de réglementation et à les aider à adopter des mesures d’économie d’énergie afin de réaliser des économies sur les coûts.

Abonnez-vous au bulletin d’information électronique sur les bâtiments durables pour recevoir les dernières nouvelles concernant la Stratégie d’amélioration des bâtiments d’Ottawa.

Pourquoi l’efficience énergétique des bâtiments est-elle importante?

Les bâtiments existants constituent à eux seuls la première source d’émissions de gaz à effet de serre à Ottawa. En 2020, les bâtiments commerciaux, institutionnels et industriels sont intervenus pour 22 % dans les émissions de gaz à effet de serre d’Ottawa. La plupart de ces émissions s’expliquent par le chauffage des locaux.

Pour atteindre notre cible et réduire à zéro, d’ici 2050, les émissions de gaz à effet de serre, il faudra réduire de 70 % l’énergie consacrée au chauffage et de 30 % la consommation d’électricité, d’ici 2040, dans 95 % des bâtiments commerciaux et industriels, ainsi que dans les grands immeubles résidentiels.

Les émissions des projets selon la source de combustible dans le scénario de réduction de 100 % des émissions de 2016 à 2050

Vivre ou travailler dans un bâtiment écoénergétique, c’est mener une vie plus saine, productive et résiliente; l’efficience énergétique réduit les dépenses et la consommation d’énergie. Les travaux de rénovation des systèmes d’énergie des bâtiments permettent aussi de créer localement des emplois verts rémunérateurs. Une étude de The Atmospheric Fund (TAF), organisme à but non lucratif de Toronto, a aussi permis de constater que dans les bâtiments écoénergétiques, les taux de roulement des locataires et les taux d’inoccupation sont moindres, que la valeur des immeubles est supérieure et que les primes d’assurance baissent.

Un rapport publié en 2023 par l’Alliance pour la décarbonation des bâtiments, dont la ville d'Ottawa est membre, se concentre sur l'analyse de rentabilité de l'électrification des bâtiments. Le rapport « Le plaidoyer pour l’électrification des  bâtiments au Canada » présente les possibilités pour les propriétaires de bâtiments de remplacer leur infrastructure et leurs équipements à base de combustibles fossiles par des solutions électriques. Le rapport complet est disponible sur le site web de l’Alliance pour la décarbonation des bâtiments

Options de financement de la renovation

Options de financement de la rénovation

La Ville d'Ottawa a identifié plusieurs options de financement des rénovations disponibles aujourd'hui qui pourraient être utiles aux propriétaires et aux exploitants de bâtiments désireux d'entreprendre des rénovations énergétiques profondes. La Ville n'a aucun lien officiel ni aucune association avec ces financiers.

Solutions de Financement [ PDF 141 KB ]

Carte interactive : Le potentiel de l’énergie géothermique dans les systèmes à circuit ouvert

En 2021, la Ville a réalisé, en collaboration avec J.L. Richards & Associates, une étude préliminaire du potentiel du système à circuit ouvert sur le territoire d’Ottawa.

Il faut préciser que cette étude ne porte que sur le potentiel des ressources géothermiques des systèmes à circuit ouvert. La plupart des secteurs d’Ottawa ont un très solide potentiel en ressources géothermiques dans les systèmes à circuit fermé.

La carte interactive fait état du potentiel des ressources géothermiques des systèmes à circuit ouvert sur le territoire de la Ville.  

Pour en savoir plus, veuillez consulter le document Open Loop Geothermal Resource Scoping Study [ PDF 3.575 MB ] 

« Compte tenu de la nature de ce rapport, il n'est disponible qu'en anglais. La Ville pourra, sur demande, traduire ce document au complet ou en partie. Les demandes de traduction doivent être présentées à (Aaron Thornell) par courriel (aaron.thornell@ottawa.ca) ou au téléphone (613-580 2424 poste 27508). »

Conseils pour utiliser la fonction de cartographie interactive :

  • Pour consulter une adresse précise, servez-vous de la case de recherche dans le coin supérieur droit de l’écran.
  • En cliquant sur les symboles +/- ou en vous servant du bouton de défilement de votre souris, vous pouvez agrandir et réduire la taille de l’image
  • Pour panoramiquer, cliquez sur la carte et enfoncez le bouton de la souris en la déplaçant dans le sens souhaité.
  • Cette application donne les meilleurs résultats dans le navigateur Web Google Chrome.

Série de webinaires

Webinaire sur les rapports d’information – Résultats du sondage
0:07
Bonjour à toutes et à tous. Je m’appelle Marie.

0:09
Je suis gestionnaire de projet dans l’équipe chargée des changements climatiques et de la climatorésilience de la Ville d’Ottawa. Je me consacre à l’aide à apporter aux propriétaires et aux gestionnaires d’immeubles d’Ottawa pour leur permettre d’atteindre leurs objectifs dans la consommation de l’énergie et dans la décarbonation, en menant un programme d’analyse comparative dans lequel nous leur offrons des avantages.

0:24
Nous avons invité aujourd’hui Daniel Eden, d’Open Technologies, qui prête son concours à ce programme d’analyse comparative. Ce programme est assorti d’un outil de cartographie accessible au public. Il nous parlera aussi des nouvelles fonctions prometteuses qui seront lancées bientôt et dont vous pourrez tous prendre connaissance.

0:38
Son groupe nous adressera aussi gratuitement des rapports d’information sur tous les immeubles participants et communiquera à la Ville d’Ottawa les données sur le rendement de ces immeubles.

0:47
Ces rapports d’information sont destinés à tous les participants du Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa. Il s’agit de l’un des avantages de ce programme.

0:54
Nous allons aujourd’hui nous pencher attentivement sur la création de ce programme et sur les modalités de son application.

1:00
Il s’agit de notre premier webinaire. Je vais donc prendre une seconde pour m’assurer que toute mon installation fonctionne bien.

1:05
Pendant que je le fais, je vais demander à Suzanne de bien vouloir lancer le premier sondage, pour nous faire une idée de ceux et celles qui sont réunis ici aujourd’hui.

1:12
Il s’agit de savoir si vous ou votre organisation avez déjà participé au Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa.

1:22
Je sais que ce n’est pas tout le monde, à Ottawa, qui a un portefeuille immobilier et qui peut participer à ce programme.

1:45
Jusqu’à maintenant, tous ceux qui sont réunis ici ont répondu à la question.

1:49
Désolée, Suzanne : je ne vous entends pas.
1:52
Désolée. M’entendez vous maintenant?

1:53
Oui. Comme je l’ai dit, tous ont répondu à la question.

1:56
C’est très bien.

1:57
Merci beaucoup.

1:58
La majorité de ceux qui sont ici ne comprend pas vraiment ceux et celles qui participent actuellement à ce programme.

2:03
C’est très bien de constater qu’autant de personnes s’intéressent à ce qu’elles pourraient faire pour recourir à une solution comme celle ci.

2:09
Merci infiniment.

2:09
Suzanne, voulez vous qu’on arrête de donner cette information?

2:20
Très bien.

2:20
Allons y.

2:27
Pouvez vous voir mon écran de présentation?

2:32
Merci.

2:33
Très bien.

2:38
Attendez : je crois qu’on peut maintenant voir vos notes.

2:42
Eh oui!
2:46
Et maintenant?

2:51
Est-ce mieux?

2:53
Ce sont toujours vos notes.

2:58
Merci de continuer de suivre l’exposé.

2:59
En enchaînant avec notre premier cycle d’information, qu’en est il maintenant?

3:20
Indique t on à l’écran qu’il s’agit du deuxième sondage?

3:24
La deuxième question que nous voulons adresser au groupe est en réalité destinée à ceux et celles qui ont déjà participé au Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa. Avez vous pris connaissance de votre rapport d’information?

3:33
J’espère qu’on ne l’a pas adressé à la mauvaise personne. Si oui, faites le moi savoir.

3:38
Il n’est pas nécessaire de répondre à la question. Elle ne s’applique pas à vous.

3:40
Si vous n’êtes pas le destinataire, tant mieux.

3:50
Je suis heureuse d’apprendre que tous ceux qui voulaient un rapport d’information l’ont bien reçu dans leur boîte de réception.

3:55
C’est une très bonne nouvelle.

3:56
Merci beaucoup, Suzanne.

3:57
Nous allons enchaîner avec notre prochaine question, qui ne s’adresse qu’à certains d’entre vous et qui porte sur l’utilité de ce rapport.
4:09
Au lieu de répondre à cette question du sondage, pourriez vous nous donner certains renseignements dans la fonction de clavardage. Nous aurons ainsi un peu de rétroaction, ce qui nous permettra de tenir notre promesse d’un exposé de 30 minutes ou moins.

4:28
Avant d’aller plus loin, je cède la parole à Daniel, qui a bien voulu accepter notre invitation. Il représente Open Technologies.

4:38
Nous le remercions de nous livrer aujourd’hui un aperçu du rapport d’information.

4:44
Effectivement.

4:44
Merci de m’avoir invité.

4:46
Bonjour à toutes et à tous.

4:47
Je m’appelle Daniel Eden.

4:49
Je vais demander à Marie de faire défiler les diapositives.

4:52
Marie, pourriez vous enchaîner avec la diapositive suivante?

4:55
Je m’en occupe.

4:57
Je vais vous expliquer pourquoi je suis ici.

4:59
Quelle est la raison de mon intervention?

5:00
Voici pourquoi j’ai été invité.

5:01
Je suis ingénieur professionnel.

5:03
J’ai 10 années d’expérience du génie conseil, surtout dans le domaine du bâtiment écologique.

5:08
Nous allons donc parler des vérifications de l’énergie et des certifications des bâtiments écologiques, ainsi que de la planification des infrastructures.

5:14
J’ai aussi été professeur auxiliaire à l’Université de la Colombie‑Britannique. Je donnais un cours qui portait expressément sur les systèmes de gestion de l’énergie des bâtiments.

5:22
Dans les dernières années, je me suis consacré à un logiciel. J’ai exercé les fonctions de gestionnaire de produit pour GRID.

5:27
GRID est un outil que nous avons mis au point pour permettre de réaliser des programmes d’analyse comparative et de créer ces rapports d’information.

5:34
Enchaînons avec la diapositive suivante.

5:38
De quoi vais je vous parler aujourd’hui?

5:39
Je vais vous donner un aperçu de ces tableaux de bord ou de ces rapports d’information.

5:44
Je vais vous donner un peu plus de détails sur la méthodologie.

5:47
Il sera question en particulier de la normalisation météorologique, qui nous permet d’établir la répartition de la consommation finale.

5:53
Enfin, je vais vous parler des cibles à atteindre et des recommandations qui en découlent.

6:00
Comme Marie l’a mentionné au début, nous avons vraiment très hâte de prendre connaissance de vos commentaires et de vos questions.

6:05
Si mon exposé n’est pas clair, n’hésitez pas à le préciser dans la fonction de clavardage. Nous y reviendrons à la fin.

6:12
Enchaînons avec la diapositive suivante.

6:14
Je vais vous donner beaucoup d’information sur l’intensité de l’utilisation de l’énergie (IUE) et sur l’intensité des gaz à effet de serre (IGES).
6:20
Avant d’aller plus loin, je crois qu’il y a une dernière question à poser afin de savoir dans quelle mesure vous connaissez tous ces termes.

6:38
Très bien. Nous attendons encore quelques résultats.

6:45
Je crois que c’est assez bien.

6:47
Jetons y un coup d’œil.

6:49
Qu’advient il en définitive?

6:51
73 % ont répondu oui. Autrement dit, 27 % ne connaissent pas bien ces termes.

6:57
On peut prendre connaissance des résultats de cette question.

6:59
Très bien.

7:01
Alors, la plupart connaissent bien ces termes.

7:04
Mais pour ceux qui ne les connaissent pas, pourriez vous, Marie, cliquer sur les prochaines animations?

7:10
L’intensité consiste simplement à diviser la consommation de l’énergie ou la production des gaz à effet de serre par la superficie brute.

7:17
Donc, si on a deux immeubles, soit un petit et un gros, la consommation d’énergie est la même.

7:23
Jetons maintenant un coup d’œil sur d’autres détails.

7:29
Par exemple, ces deux immeubles consomment 15 000 gigajoules d’énergie. Or, ils ont une superficie brute très différente.
7:37
En prenant la consommation d’énergie et en la divisant par la superficie brute, on constate que leur intensité est très différente dans la consommation de l’énergie.

7:42
L’immeuble de droite a en fait une meilleure intensité dans la consommation de l’énergie. Dans ce cas, on considérerait donc que c’est le plus performant.

7:50
Enchaînons avec la diapositive suivante.

7:53
Très bien. Après cette introduction, penchons nous sur les tableaux de bord.

7:58
Voici à quoi ressemblent essentiellement ces tableaux de bord.

8:02
Il y a trois grandes sections.

8:03
La première porte surtout sur les résultats annuels pour l’année en cause, soit l’année de l’analyse.

8:10
La deuxième section porte sur les résultats mensuels.

8:14
Ce sont vraiment les résultats mensuels qui sont le plus intéressants.

8:17
La troisième section réunit toutes ces données et fait le point de la situation.

8:20
Quelles sont les recommandations?

8:22
Quelle est la ligne de conduite à tenir?

8:24
Revenons maintenant à la première section, qui porte sur les résultats annuels.

8:28
Voici à quoi ressemble la première page du rapport d’information.

8:33
Passons en revue la partie supérieure du rapport.

8:34
Marie, si vous cliquez trois fois dans cette zone, vous pouvez afficher à l’écran l’information de base sur l’immeuble.

8:42
On peut donc voir ici le type de propriété correspondant à l’immeuble analysé.

8:47
C’est très important, puisqu’il s’agit du groupe auquel on compare l’immeuble pour tous les autres tableaux de bord.

8:54
C’est ce qu’on indique aussi dans la partie supérieure pour la superficie brute.

8:57
Si ces renseignements sont très importants, c’est aussi parce que, comme nous l’avons vu, la superficie brute sert à calculer les indicateurs de l’intensité qui seront utilisés dans la deuxième partie du tableau de bord. En voici les faits saillants.

9:08
Le tableau de bord indique où se situe l’immeuble par rapport aux autres du groupe du bâtiment comparables pour la même année.

9:15
Il va de soi que plus le programme évoluera, plus cette information et ces cotes de classement prendront d’importance pour vous.

9:21
Comme on peut le constater ici, il y a 50 autres immeubles de bureaux, et grâce aux faits saillants affichés à l’écran, on peut dégager la tendance de l’évolution de l’immeuble du point de vue de l’intensité de la production des gaz à effet de serre.

9:31
Dans cet immeuble, l’IGES a donc augmenté de 13 %.

9:35
On peut aussi prendre connaissance des cotes de classement par rapport au reste du groupe.

9:38
Cet immeuble se classe donc au sixième rang sur 50 pour les immeubles de bureaux et au 24e rang sur 333 pour toute la cohorte des bâtiments.

9:47
Ces faits saillants portent essentiellement sur les émissions de gaz à effet de serre puisque, comme nous le savons, ce sont ces émissions qui concourent le plus aux dérèglements climatiques.
9:58
La troisième partie de ce rapport annuel porte sur les résultats sur un an, ce qui permet essentiellement de suivre comparativement l’évolution de l’immeuble au fil des années.

10:06
Chaque colonne porte sur une année différente dans ce tableau. À chaque rangée correspond un indicateur de rendement différent. Dans la dernière colonne, on peut essentiellement prendre connaissance de l’évolution de la tendance d’une année à la suivante.

10:17
Si on jette un coup d’œil sur la troisième rangée, par exemple l’IE du site, on peut constater qu’en 2021, le rendement s’est chiffré à 166,7 kilowattheures équivalentes par mètre carré.

10:29
Et juste en dessous, on peut aussi voir le percentile, soit 167,667, si vous pouvez suivre ma souris.

10:37
Le percentile correspond donc au classement de l’immeuble par rapport aux autres immeubles de bureaux à Ottawa.

10:43
Cet immeuble se situe au 90e rang dans le 90e percentile. Ici, le 100e percentile correspond à l’immeuble le plus performant.

10:49
Il s’agit donc d’un immeuble vraiment très performant.

10:54
Très bien.

10:55
Enchaînons avec la diapositive suivante.

11:00
La deuxième page des tableaux de bord fait état des résultats annuels, présentés dans un format visuel.

11:06
Comme on peut le constater, chacun de ces histogrammes fait état d’un indicateur de rendement.

11:11
Le premier porte sur l’intensité de la production des gaz à effet de serre.

11:14
Comme vous pouvez le voir, l’immeuble se classe au sixième rang sur 50.

11:18
La deuxième bulle met en évidence l’histogramme lui même.

11:21
Comme vous le voyez, l’immeuble passe du rouge, ce qui est le signe d’un piètre rendement, au bleu, signe d’un rendement satisfaisant.

11:27
Comme on peut le constater pour l’intensité de la consommation de l’énergie, la plupart des immeubles sont en quelque sorte regroupés aux alentours d’un indicateur qui correspond à environ 200 kilowattheures équivalents par pied carré.

11:38
La grande barre noire dans chacun de ces histogrammes fait état de la performance de l’immeuble.

11:43
Dans ce cas, la performance de cet immeuble est légèrement supérieure à la majorité des bâtiments du point de vue de l’intensité de la consommation de l’énergie.

11:50
Enchaînons avec la diapositive suivante.

11:51
Voici donc où se situe l’immeuble dans son rendement par rapport au reste du groupe de bâtiments comparables.

11:57
Les résultats mensuels constituent la section la plus riche en information dans les tableaux de bord.

12:03
Marie, en cliquant ici, vous afficherez la partie supérieure du tableau de bord, qui indique le rendement mensuel de l’immeuble pour les trois dernières années.

12:11
Si nous avons des données sur trois ans pour votre immeuble, la barre foncée fait état de cet indicateur selon le type d’énergie consommée.

12:20
À gauche, il est question de l’intensité de la consommation de l’énergie et de l’électricité, et à droite, on peut prendre connaissance de la consommation de l’énergie thermique, qui comprend tous les types d’énergie produits à partir des combustibles fossiles.

12:35
Ce qu’il faut surtout noter ici, c’est qu’en comparant une année de consommation d’énergie à la suivante, la comparaison n’est pas équitable si la météo est différente chaque année.

12:47
Nous avons donc fait une normalisation météorologique, en tâchant essentiellement de sortir la météo de l’équation.

12:53
Pour ce faire, il faut chaque année comparer la consommation de l’énergie et la météo de l’année correspondante.

13:01
Il y a donc une étroite corrélation entre l’énergie et la météo, et nous pouvons nous en inspirer.

13:06
On peut ainsi établir une équation pour prédire la consommation de l’énergie d’après la météo.

13:11
On le fait pour chaque année. On capte ensuite le comportement de l’année correspondante et on peut intégrer la météo moyenne sur 30 ans pour chaque année.

13:19
C’est ce qui donne essentiellement les mêmes conditions météorologiques dans chaque année.

13:22
Comme je l’ai dit, il s’agit en quelque sorte de sortir la météo de l’équation.

13:26
Si on clique à nouveau dans cette zone, on peut aussi consulter les graphiques qui ont été montés dans la fourchette du rendement moyen.

13:33
Pour cet immeuble en particulier, on peut constater que pour l’électricité, le bâtiment se situe essentiellement dans la moyenne, peut être même légèrement dans la fourchette inférieure de cette moyenne.

13:41
Pour l’énergie thermique, en consultant le graphique en haut à droite, on peut constater que l’immeuble offre un rendement légèrement supérieur à la moyenne.

13:49
Très bien.

13:50
Cliquons une fois de plus sur cette zone.

13:51
La moitié inférieure de cette page fait état de la répartition de la consommation de l’énergie par type d’énergie.

13:58
Si on peut y arriver, c’est parce que nous avons constaté une corrélation entre la consommation de l’énergie et la météo.

14:06
En bas à gauche dans le graphique, on peut prendre connaissance de la répartition de la consommation d’électricité.

14:11
On peut extraire la part de la consommation mensuelle d’électricité qui sert probablement à chauffer le bâtiment et la part qui sert à le climatiser, ainsi que la part que l’on peut attribuer à l’énergie de base. L’énergie est donc constante sur l’ensemble de l’année.

14:26
C’est ce qu’on fait pour l’électricité comme pour l’eau thermale à consommer.

14:31
C’est bien.

14:31
Nous pouvons enchaîner avec la diapositive suivante.

14:33
Merci Marie.

14:35
Si je tenais à vous présenter cette comparaison, c’est parce que pour certains parmi vous, il n’y a peut être pas de corrélation entre l’énergie consommée et la météo.

14:43
Cliquons une fois de plus dans cette zone : comme vous pouvez le constater du côté droit de ce deuxième tableau de bord, il n’y a pas de corrélation.

14:51
C’est ce qu’on peut encore constater en cliquant une fois de plus dans cette zone.

14:54
Lorsqu’il n’y a aucune corrélation dans le titre du graphique, on peut se contenter de dire que l’on présente la valeur bâtie. Il s’agit essentiellement des données sur la consommation brute de l’électricité et du gaz.

15:04
Et en cliquant une fois de plus dans cette zone, c’est ce qu’on peut voir dans le bas du graphique.

15:07
Puisque nous n’avons pas pu établir une corrélation assez étroite entre la météo et la consommation d’énergie, nous nous contentons de présenter toute la consommation d’énergie dans l’alimentation de base.

15:19
Très bien. Enchaînons avec la page suivante.

15:22
Cette répartition de la consommation de l’énergie nous permet de transposer, dans la consommation finale, l’intensité de la production des gaz à effet de serre pour en faire la répartition dans cette consommation finale.

15:32
Dans le graphique représenté ici à gauche, si on clique une fois de plus dans cette zone, on peut prendre connaissance du rendement de l’immeuble et de la performance du point de vue de l’intensité dans la production des gaz à effet de serre, répartis selon les différents types de consommation finale.

15:45
Du côté droit, on peut prendre connaissance du type de bâtiment moyen.

15:49
Ce qu’on veut finalement inclure dans ce graphique, c’est une troisième colonne qui indiquerait la consommation nette d’énergie de zéro ou la consommation carboneutre nette pour permettre de comparer ces données.

16:00
C’est ce qu’on peut constater en cliquant une fois de plus dans cette zone. Mais d’où viennent ces couleurs?

16:04
Elles proviennent de la répartition de la consommation de l’énergie présentée dans la page précédente.

16:08
Si on clique plusieurs fois dans cette zone, on peut prendre connaissance des couleurs qui nous intéressent.

16:12
Il y a donc du bleu sarcelle, du bleu franc et de l’orange.

16:16
Pour cet immeuble en particulier, c’est le chauffage à l’énergie thermique qui produit l’intensité dans l’émission des gaz à effet de serre.

16:22
C’est le cas pour bien des immeubles.

16:25
Très bien. Enchaînons avec la diapositive suivante.

16:27
Finalement, parlons de la recommandation.

16:31
Que peut on constater ici?

16:34
Essentiellement, il faut reprendre les chiffres sur la consommation finale et les comparer au reste du groupe d’immeubles comparables.

16:42
Si on clique une fois de plus dans cette zone, on peut prendre connaissance de la consommation de l’énergie destinée au chauffage.

16:46
Ces données regroupent l’énergie de chauffage produite par l’électricité et la consommation de l’énergie thermique.

16:51
Le tableau indique aussi le rang en percentile.

16:53
Le 100e percentile correspond donc à l’immeuble le plus performant.

16:56
Cet immeuble se situe dans le 86e percentile.

16:58
Il est donc vraiment très performant.

17:01
Et juste en dessous, il y a aussi une cible.

17:04
Cliquons une fois de plus ici. Si votre immeuble se situe en deçà du 75e percentile, nous allons fixer comme cible le 75e percentile. Si, votre immeuble se situe au delà du 75e percentile,

17:17
comme c’est le cas ici, on fixe une cible de 10 % d'amélioration pendant cette durée. On indique alors l’impact de la réalisation de cette cible dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

17:29
Dans ce cas, il y aurait une réduction de 3,84 tonnes, ce qui correspondrait aux économies sur les coûts de l’énergie.

17:36
Ces économies sont de l’ordre de 3 500 $ par an.

17:40
Nous tâchons de vous donner une petite idée de ce que serait le monde si on pouvait atteindre ce qu’il y a de mieux dans la performance des bâtiments.

17:51
Je crois qu’on peut cliquer encore quelques fois dans cette zone.

17:52
À nouveau, je ne fais que présenter les résultats issus de la répartition de la consommation d’énergie que nous avons faite au niveau du rendement énergétique mensuel. Très bien.

18:06
Voyons maintenant ce qu’il faut faire de toute cette information. Voici quelques détails.

18:15
Premièrement, si on clique une fois de plus, on peut constater que certains tableaux de bord et certains rapports d’information comprennent aussi en fait des analyses d’images thermiques.

18:26
Marie va donc nous donner un peu plus de détails sur les raisons pour lesquelles nous analysons la consommation thermique des immeubles.

18:31
Il s’agit d’un programme pilote mené par la Ville.

18:33
Si on clique une fois de plus dans cette zone, on peut aussi constater que pour les grands archétypes de bâtiment, par exemple les immeubles de bureaux et les immeubles à logements multiples, la Ville d’Ottawa a travaillé avec WSP pour mettre au point les feuilles de route des travaux de rénovation.

18:47
Voici donc ces feuilles de route pour ces types d’immeubles.

18:49
Si ces feuilles de route s’appliquent à votre type de bâtiment, vous verrez un lien dans ce graphique.

18:53
Enfin, nous vous encourageons toutes et tous à vous inscrire au programme de l’an prochain.

18:58
Je crois que c’est tout pour moi.

19:02
Évidemment, nous sommes prêts à répondre à toutes vos questions.

19:06
Je vous remercie de votre attention.

19:12
Y a t il des questions?

19:13
Jetons un coup d’œil dans le clavardage pour savoir s’il y a des questions précises à ce sujet.

19:18
Daniel, on a posé une question sur le graphique de répartition des GES.

19:22
S’agit il du bâtiment moyen pour Ottawa expressément ou pour le Canada?

19:26
Il s’agit d’un immeuble moyen pour Ottawa. Le graphique porte sur le bâtiment moyen du même type d’immeuble.

19:31
Jetons un coup d’œil sur votre groupe d’immeubles comparables.

19:35
Parfait.

19:36
La question suivante porte sur les graphiques mensuels du rendement.

19:39
La bande grise porte t elle sur l’immeuble dans le rapport ou sur tous les bâtiments de ce type?

19:46
Il y a donc une grande bande pour l’immeuble dont il est question dans le rapport?

19:49
Oui, effectivement.

19:50
Cette bande porte sur tous les bâtiments de ce type.

19:52
S’il s’agit d’un immeuble de bureaux, elle correspond à la fourchette du rendement moyen des immeubles de bureaux à Ottawa.

19:58
Parfait.

20:02
C’est tout pour les questions d’après ce que je constate.

20:04
Il y en a une autre. Je suis désolée. Dans la foire aux questions, les données proviennent-elles de l’ESPM?

20:12
Ces données, extraites à l’origine de l’ESPM (Energy Star Portfolio Manager), sont échangées avec un compte que la Ville d’Ottawa a ouvert dans le cadre du Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa. Ce sont ces données qui nous apportent toute cette information.

20:25
Il s’agit exactement des mêmes données que celles qui sont enregistrées dans l’ESPM.

20:29
Il s’agit effectivement de la principale source de données que nous consultons pour cette analyse.

20:34
Voici donc la prochaine question, posée par Harry. Puisqu’il n’y a pas d’autres sources de données, il faut se demander très sérieusement s’il y a d’autres sources de données qui sont consultées.

20:50
Il y en a pour d’autres parties de l’analyse.

20:53
Mais Daniel, y a t il d’autres sources de données consultées pour produire ces feuilles de route et ces rapports d’information?

20:59
Oui, effectivement.

21:00
Les rapports d’information sont en fait des comparaisons de l’énergie qui proviennent de l’ESPM.

21:05
Il s’agit donc de toutes les données sur l’énergie que nous communiquent les participants dans le cadre du programme.

21:11
Il ne s’agit pas des moyennes pour l’ensemble du Canada ni de chiffres comparables.

21:15
Nous ne faisons que comparer les données déclarées dans le cadre du Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa, en fait.

21:24
Mais Harry, certains de ces éléments supplémentaires, par exemple l’imagerie thermique, ne proviennent pas de l’ESPM ni des rapports d’architectes du WSP sur les parcours carboneutres et les calculs des coûts, qui constituent eux aussi des éléments d’information distincts.

21:41
Il y a une autre question dans le clavardage : a t on prévu un processus pour exclure les points de données jugés inexacts, par exemple la consommation de zéro et les valeurs de consommation exceptionnellement élevées. Dan, pourriez vous répondre à la question?

21:54
Oui.

21:54
Selon l’une des fonctions que nous avons prévues dans GRID, soit l’outil qui permet de produire ces rapports, on peut signaler les données incomplètes ou les données portant sur la consommation exceptionnellement élevée ou faible.

22:09
L’outil permet ensuite au gestionnaire de programme, soit la Ville d’Ottawa dans ce cas, de baliser ces bâtiments pour indiquer qu’ils sont incomplets ou invalides et qu’ils ne sont pas alors inclus dans l’analyse.

22:21
Tout à fait.

22:22
Nous constatons souvent, en fait, comme nous l’avons vu dans un cas plus tôt cette semaine, qu’un important propriétaire de portefeuilles immobiliers nous a soumis des données : nous avons procédé à une vérification de la qualité à un niveau supérieur pour constater que l’information qu’on nous soumettait et d’autres sources d’information étaient incomplètes et inexactes.

22:40
Nous avons donc travaillé en collaboration avec lui pour corriger ce problème afin de compter sur un ensemble complet de données exactes dans notre programme d’analyse comparative.

22:51
Voyez vous toujours ma diapositive?

22:52
Il me reste six minutes et je m’étais engagée à m’en tenir à 30 minutes.

22:56
Je tenais à préciser que le rapport d’information n’est que l’un des nombreux avantages de plus en plus prometteurs que nous offrons dans notre programme.

23:05
Je suis toujours attentive à ce que disent nos intervenants actuels et potentiels pour encourager à participer à ce programme ou pour connaître leurs difficultés actuelles, par exemple lorsqu’il s’agit de prendre d’autres mesures dans la décarbonation ou dans l’accès aux données.

23:21
Je suis donc attentive à ce qu’on me dit. C’est ainsi que nous dressons notre liste d’avantages.

23:24
Le rapport d’information est donc le premier avantage que nous offrons.

23:26
Nous avons aussi accès à la formation gratuite. Ainsi, ceux et celles qui participent à notre programme ont accès à des séances de formation portant par exemple sur les économies d’énergie pour les exploitants d’immeubles. Il s’agit de l’une des activités de formation que nous offrons.

23:36
Nous offrons une autre activité pour faire valoir les avantages des projets de décarbonation.

23:40
Nous allons continuer d’offrir la formation sur les économies d’énergie pour les exploitants des immeubles.

23:44
Cet atelier a été très utile. Les exploitants des immeubles sont vraiment des intervenants indispensables dans le cadre de tous ces efforts.

23:53
Parfois, j’aime bien faire des nuances et établir la différence entre les projets d’investissement dans les infrastructures et l’investissement dans la formation et les changements opérationnels, pour améliorer les listes de contrôle, les politiques, les procédures et la remise en service des bâtiments.

24:06
Il y a donc toujours, dans mon esprit, deux catégories différentes.

24:09
Nous offrons aussi, à tous les participants à l’heure actuelle, des rabais sur un certain nombre de services.

24:13
Nous offrons entre autres des rabais sur les images thermiques.

24:15
Si l’image thermique de votre propriété n’est pas assez claire pour donner une idée des fuites d’énergie dans l’ampleur du bâtiment, n’hésitez pas à participer à ce programme ou à me poser des questions sur les moyens d’avoir accès à ces rabais, à la normalisation de l’information et à d’autres programmes de formation.

24:35
Nous venons de lancer notre série de webinaires, et nous sommes ouverts aux commentaires sur les moyens à adopter et les autres sujets à traiter éventuellement.

24:41
Les programmes de financement des travaux de rénovation constituent un autre avantage.

24:44
Nous venons de lancer une demande de déclaration d’intérêt pour les immeubles à logements multiples, qui viendraient s’ajouter aux immeubles en copropriété ou aux immeubles d’appartements imposants.

24:53
Il s’agit donc de la troisième partie du volet 3. À l’heure actuelle, on offre un financement, expressément pour Ottawa, pour une durée limitée.

25:02
N’hésitez pas à participer à cette invitation. Après cet exposé, faites moi parvenir un courriel, et je vous ferai suivre le lien.

25:07
Il y a environ 10 questions sur la possibilité d’avoir accès au financement de tous les éléments incrémentiels dans le remplacement de votre équipement mécanique, pour se débarrasser d’une grande partie du matériel alimenté au gaz naturel et pour réduire considérablement les émissions de GES. Nous offrirons d’autres avantages à intervalles réguliers.

25:23
N’hésitez pas à me faire savoir ce que vous souhaiteriez que nous ajoutions à ce programme.

25:30
Si vous participez déjà à l’ACPREE, nous tenons à préciser qu’il faut compter environ 10 à 15 minutes de plus pour cette liste des avantages et des programmes, qui ne cesse de s’allonger et qui vise à répondre à vos besoins.

25:44
Et si vous ne participez pas déjà à l’ACPREE, nous pouvons vous aider à le faire.

25:47
Il suffit de nous envoyer un courriel. Nous vous aiderons à entamer le processus.

25:51
Notre prochain webinaire portera sur l’état des enveloppes des bâtiments à Ottawa.

25:55
Nous présenterons donc les résultats de l’ensemble du projet pilote que nous avons réalisé et qui réunissait 191 immeubles pour lesquels nous avons capté des images thermiques à vol d’oiseau et des images captées depuis la rue.

26:07
Nous allons en publier les résultats.

26:09
Telle est donc la situation des enveloppes des bâtiments à Ottawa.

26:11
Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur ce lien. Si vous n’avez pas capté toute l’information, n’hésitez pas à numériser le code QR à gauche.

26:19
Nous allons aussi vous abonner à l’infolettre Bâtiments durables Ottawa.

26:22
Nous vous avons donc donné toute l’information à jour que nous avons publiée ou toute l’information reproduite à droite. Cette information a un caractère général.

26:28
Faites nous parvenir un courriel pour nous dire que vous avez assisté à ce webinaire et que vous avez d’autres questions ou adressez nous un courriel à BatimentsDurables@ottawa.ca si vous n’avez pas votre téléphone intelligent à portée de la main.

26:39
C’est ce qui met fin à notre exposé aujourd’hui.

26:40
Puisqu’il nous reste deux minutes, je vais contrevérifier le clavardage dans la zone des questions et des réponses.

26:46
Je vois que quelqu’un de Houston a avancé une autre idée sur les avantages du programme.
26:52
Merci infiniment.

26:54
Je continuerai de me pencher sur la question.

26:56
Y a t il d’autres questions dans la zone des questions et des réponses?

27:01
Non.

27:02
Suzanne, pourriez vous poser la dernière question du sondage afin d’avoir une idée des prochains thèmes du webinaire?

27:15
Merci beaucoup Suzanne.

27:28
Il semble que la recharge des véhicules électriques suscite beaucoup d’intérêt, mais aussi des mises au point sur les avantages du programme.

27:36
Merveilleux.

27:37
Il reste une minute.

27:38
Je tenais à remercier infiniment Daniel pour le temps qu’il nous a consacré aujourd’hui et Suzanne qui nous a beaucoup aidés dans l’ombre. Je remercie aussi tous ceux et celles qui ont pu participer à ce webinaire de 29 minutes pendant leur pause repas ou dans une période différente de la journée.

27:51
Merci infiniment.

27:52
C’est très important pour moi et pour nous tous à l’heure où nous continuons de faire évoluer notre programme.

27:57
Je vous souhaite une excellente journée.

28:00
Merci beaucoup.
28:01
Merci, Marie.

28:02
Merci, Suzanne.
Eric Ibey : Suzanne, si vous voulez commencer, alors allons-y.

Suzanne Tewnion : Absolument. Bienvenue donc dans notre deuxième webinaire consacré au Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa. Il s’agit de webinaires des séries à venir, comme je l’ai déjà dit à certains d’entre vous. Nous effectuerons une présentation de 30 minutes, suivie d’une séance de questions-réponses de 15 minutes avec Eric.

Suzanne Tewnion : N’hésitez pas à rester pour cela. Mais si vous voulez profiter du reste de votre repas du midi, n’hésitez pas à partir après, car je suis certaine que vous avez tous reçu l’avis indiquant que la séance sera enregistrée et ensuite publiée sur notre page Web. N’hésitez donc pas à y jeter un coup d’œil si vous voulez revenir et revoir cela. L’un des points importants de ce webinaire est que nous resterons centrés sur le sujet d’aujourd’hui. Les conversations extérieures sur le clavardage et les informations non pertinentes seront probablement supprimées au fur et à mesure que nous avançons. Enfin, je passerai la parole à Eric, car je sais qu’il a beaucoup de choses à dire à ce sujet.

Eric Ibey : Merci de votre présence. Je sais que les présentations à l’heure du repas du midi ne sont pas les préférées de tout le monde, alors j’apprécie votre présence, et je veux être conscient du temps, comme l’a dit Suzanne. J’essaierai de conclure ce débat en 25 minutes environ, puis je resterai volontiers à votre disposition pour répondre à vos questions.

Eric Ibey : Comme l’a dit Suzanne, nous allons essayer de rester centrés sur le sujet. Nous avons beaucoup de gens différents qui viennent de secteurs et également de bâtiments différents. Nous ne voulons pas nous perdre dans les détails. Mais si vous devez partir pour une raison quelconque et que vous avez des questions auxquelles on n’a pas répondu et que vous aimeriez que l’on y réponde, je serai ravi d’avoir une conversation hors ligne plus tard. C’est simplement pour que le vous sachiez. Je m’appelle Eric Ibey. Je suis gestionnaire de projet au sein de l’Unité des changements climatiques et de la résilience de la Ville d’Ottawa.

Eric Ibey : Je suis ingénieur mécanique et j’ai travaillé dans différents domaines. Mais au cours de ma carrière, j’ai surtout conçu des systèmes de chauffage et de climatisation et réalisé des audits énergétiques pour des bâtiments commerciaux. Je suis donc ici aujourd’hui pour parler de la décarbonisation et des différentes voies pour y parvenir. […] Trois bâtiments. […] Et les raisons, encore une fois, certaines de ces raisons ne sont peut-être pas nouvelles pour vous. Mais nous allons nous pencher sur ces raisons. Un peu plus de ceci, de cela […]. Les données que vous verrez dans cette présentation proviennent d’une étude réalisée par un consultant externe qui a examiné notre parc immobilier.

Eric Ibey : Pas spécifiquement. C’est une représentation des moyennes des différents groupes de bâtiments à Ottawa. Je tiens donc à vous avertir avant de commencer que vous allez voir des chiffres. Il se peut qu’ils ne soient pas particulièrement pertinents à votre bâtiment. Je vais vous montrer certaines des hypothèses qui ont été effectuées pour la modélisation et pour les chiffres que vous allez voir. Mais je voudrais que tout le monde garde à l’esprit qu’il s’agit d’une moyenne de haut niveau. Nous ne nous intéressons pas aux plus mauvais ni aux plus performants. Il s’agit en fait d’une moyenne. Sur ce, nous avons quelques questions de sondage. La première question du sondage est donc la suivante : quel type de rénovation de bâtiment relevant de la partie 3 vous intéresse le plus, afin d’avoir une idée des personnes qui sont présentes? Nous avons donc des immeubles d’habitation, des copropriétés, des hôtels, des immeubles de bureaux, des espaces commerciaux et des entrepôts, et je crois, […] puis-je faire défiler? Je peux aller jusqu’à […]?

Eric Ibey : Nous avons des bâtiments d’institutions, ou tout ce qui précède […]

Eric Ibey : Génial

Eric Ibey : 2010 à 2019. Nous y voilà!

Eric Ibey : J’en ai encore deux. Les deux dernières personnes vont-elles participer?

Eric Ibey : 5, 4, 3, 2, 1. Très bien, Suzanne, voyons ce que nous avons. Nous allons montrer les résultats. Donc 50 % d’appartements en copropriété […] très intéressant, et les 40 % restants d’immeubles d’habitation […] très bien.

Eric Ibey : Cela me rassure un peu, je suppose, […] quant aux exemples que j’utiliserai dans la présentation, car c’est ce que nous faisons. Pour cette présentation, j’utilise beaucoup d’immeubles résidentiels à logements multiples. Alors, c’est très bien! Vous voyez, nous avons des immeubles de bureaux, tout ce qui précède est intéressant […] tout ce qui précède. Si vous avez dit tout ce qui précède, si cela ne vous dérange pas, vous pourriez peut-être écrire dans le clavardage où vous pourriez donner un peu plus de détails au sujet de tout ce qui précède. Peut-être votre gestionnaire de portefeuille. Vous venez peut-être d’Hydro Ottawa, […] ou quelque chose comme ça. Mais quoi qu’il en soit, nous sommes simplement curieux. Mais d’accord! Permettez-moi de clore cela Suzanne, […] ou dois-je […]? Faire part des résultats? Comment faire?

PRED EDLRP : Je n’ai pas communiqué les résultats. Ils auraient dû apparaître, mais vous voyez, il n’y en a pas, d’accord, c’est bon […].

Eric Ibey : Très bien.

Eric Ibey : Tout d’abord, les archétypes de bâtiments que nous allons examiner dans cette étude. Ils étaient regroupés. Vous pouvez donc voir les types de bâtiments. Nous avons des bâtiments plus anciens, des bâtiments plus récents, un large mélange d’utilisations institutionnelles et commerciales. Ce n’est pas tellement le cas de l’industrie. Manifestement, Ottawa n’était pas une grande ville industrielle, c’était plutôt une ville de taille moyenne, commerciale, […] de détail, de bureaux de faible hauteur et de petits entrepôts.

Eric Ibey : Vous voyez bien que je m’excuse […]. L’image est un peu granuleuse, mais elle indique l’âge du bâtiment et, grosso modo, sa taille. C’est ce que j’appelle une moyenne. Ce n’est pas vraiment, […] vous savez, votre bâtiment n’entre peut-être pas dans cette catégorie. C’est peut-être le cas. Mais pour vous donner une idée, lorsque vous voyez certains de ces chiffres, […] bien que la plupart d’entre eux soient calculés au pied carré ou au mètre carré.

Eric Ibey : Ces chiffres peuvent être influencés par de nombreux facteurs. Comme chacun sait, il n’y a pas deux bâtiments identiques. Il faut donc en être conscient.

Eric Ibey : Je vais vous montrer ces matrices de mesures de décarbonisation. Je vais prendre un moment pour les expliquer, parce que je sais qu’il y a beaucoup de choses qui se passent sur la gauche […]. Nous avons les types de choses que vous pouvez rénover dans vos bâtiments. Ainsi, les trois premiers sont les murs […], les fenêtres, et le toit […] il y a le revêtement et le système de chauffage et de ventilation du bâtiment. L’eau chaude sanitaire, et enfin l’énergie solaire photovoltaïque.

Eric Ibey : En haut de la page, vous verrez le niveau de base, le niveau d’amélioration, le niveau 2. 3. […] Amélioration. Ceux-ci sont de plus en plus complexes, généralement coûteux, mais aussi de moins en moins nombreux. Vous réduisez les émissions de gaz à effet de serre et, comme je l’ai dit, beaucoup de ces éléments ne concernent pas nécessairement votre bâtiment, […] selon que vous avez de l’eau chaude ou non. Un système de chauffage à eau chaude, un système d’air frais […], mais encore une fois à un niveau assez élevé. Le long du bas […]. Vous voyez 6 boîtes. Ce sont les différents parcours auxquels je vais me référer tout au long de la présentation. Tout d’abord, il y a le principe de l’équivalence.

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Eric Ibey : Je vais donc les faire défiler. Et vous verrez des boîtes en surbrillance […]. Ainsi, à situation égale, vous pouvez constater que la ligne de base est respectée. Il ne se passe que trois choses […]. Vous augmentez l’isolation de votre toit. Vous améliorez vos fenêtres et effectuez quelques travaux sur votre système de production d’eau chaude sanitaire en changeant facilement de combustible.

Eric Ibey : Un peu plus […]. Pas trop […]. Le balcon, les pompes à chaleur montées, les pompes à chaleur à source d’air, ou un refroidisseur central et un commutateur de combustible de pompe à chaleur prêt […].

Eric Ibey : Nous entrons à présent dans le travail portant sur le revêtement, l’amélioration des murs et de la toiture. Un peu plus au sujet du chauffage, de la ventilation et du conditionnement d’air (CVCA). Nous réinstallons ensuite les systèmes de ventilateurs récupérateurs de chaleur. Ventilateurs récupérateurs de chaleur et toujours pas de […] système photovoltaïque. Il n’y a pas de photovoltaïque […] dans un commutateur de carburant. Mais maintenant, nous ne touchons plus au revêtement du bâtiment […]. Mais nous n’avons de l’intérêt que pour la pompe à chaleur à air pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire, qui est également une pompe à chaleur à air.

Eric Ibey : […] Et ensuite prêt pour la carboneutralité. C’est ce dont je parle, c’est ce dont nous parlons, c’est l’objectif que nous poursuivons. C’est là que nous essayons d’aller.

Eric Ibey : Nous avons amélioré le revêtement, le système de chauffage et le système de refroidissement. S’il s’agit d’améliorations disponibles. Nous ajoutons également des panneaux photovoltaïques sur 50 % de la surface du toit et nous avons un niveau au-dessus qui représente le potentiel de la majeure partie du bâtiment. Les trois différences sont les suivantes : au lieu d’une installation murale […]. Vous montez dans nos 30 […]. Vous centralisez également votre système de CVCA en utilisant un système de ventilateur récupérateur de chaleur à débit d’air variable et vous réinstallez une pompe à chaleur géothermique plutôt qu’une pompe à chaleur à air. On peut donc se demander pourquoi ce n’est pas le but poursuivi. Cela semble mieux. Et nous allons y venir.

Eric Ibey : Permettez-moi de revenir un instant sur ce point. Y a-t-il des questions à ce sujet? Ou vous […]? Je peux continuer à présenter. Je vais boire une gorgée d’eau. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à lever la main ou à écrire quelque chose dans le clavardage à n’importe quel moment.

Eric Ibey : Hmm […]! Et Suzanne, s’il y a des questions qui sont posées et que j’ai manquées dans le clavardage, si cela ne vous dérange pas de m’interrompre. Ce serait formidable. Merci!

Eric Ibey : Très bien. Examinons donc les sept raisons pour lesquelles nous devrions le faire
Moderniser, rénover nos bâtiments pour qu’ils soient prêts pour la carboneutralité. La première raison est que vous allez gagner plus d’argent dans le cadre de cette étude que nous avions […], désolé! Allez-y, Susan.

Suzanne Tewnion : Il y a quelques questions qui arrivent maintenant. Bien sûr, bien sûr.

Eric Ibey : Je suppose que je peux ouvrir cela ici.

Eric Ibey : De Houston. Bonjour, Houston. Envisagez une solution d’aspiration pour augmenter […], ce qui pose un problème […], mais je voulais juste voir […]. Mais je vous remercie, c’est une excellente suggestion. J’apprécie votre avis sur le chauffage et le refroidissement géothermiques. Envisagez-vous également d’installer des options de recharge de véhicules électriques (VE) […] sur un grand nombre de choses? Je ne sais pas si j’entre dans le vif du sujet. Le chauffage géothermique, je dirai ceci à propos de la géothermie. Cela dépend parfois de votre bâtiment. Parfois […] ce n’est tout simplement pas possible. C’est ainsi […] et j’en suis désolé. C’est de la part de Diana. Merci pour votre question, Diana. Nous pourrons en parler un peu plus hors ligne. Mais je dirais que cela dépend vraiment du bâtiment où vous vous trouvez.

Eric Ibey : ce n’est pas une solution. Je ne pense pas que ce soit le cas pour tout le monde, mais ça pourrait l’être. Et cela pourrait être une très bonne solution si vous vous demandez si c’est possible. Mais […] et si désolé […] vous vous référez à […].

Eric Ibey : Pouvez-vous préciser ce que vous entendez par là? Désolé

Eric Ibey : Si vous voulez activer votre micro, vous n’avez pas besoin d’allumer votre caméra. Mais je m’en excuse.

Eric Ibey : La recharge des VE n’a pas été prise en compte dans l’étude parce que nous cherchons principalement à réduire les émissions de gaz à effet de serre, en particulier dans les bâtiments, au niveau du chauffage et de la climatisation.

Eric Ibey : Mais oui.

Eric Ibey : c’est un sujet très, très vaste. Là encore, il serait sans doute préférable d’avoir une discussion hors ligne, mais j’ai un collègue qui travaille spécifiquement dans le domaine de la recharge des VE, je peux donc peut-être vous indiquer ses coordonnées. Mais vous pourrez en parler plus tard. Et votre grande question, ces […], ce n’est pas moi. Je pense qu’ils sont nominaux […]. Ils augmentent par rapport à la base de référence de 5 […].

Eric Ibey : C’est la valeur R totale si cela répond à votre question, je vais continuer.

Eric Ibey : Donc à partir de ce rapport de KPMG qui a été fait pour nous. Nous parlons à nouveau de gagner plus d’argent.

Eric Ibey : Ils ont constaté, en étudiant des bâtiments, en particulier des immeubles résidentiels et de bureaux, que la valeur du bâtiment augmentait lorsqu’il devenait plus efficace. Il s’agit également du taux de location. Le différentiel a également augmenté. Les bâtiments sont donc devenus plus attrayants pour les acheteurs et les locataires.
Eric Ibey : Effectivement.

Eric Ibey : Vous savez, vous pouvez faire payer plus cher votre bâtiment, que vous le vendiez ou que vous le louiez, mais il y a un petit bémol à cela. Je veux être aussi transparent que possible. L’étude ne précise pas si cela signifie qu’elle est basée sur les systèmes à haute efficacité ou si elle est basée sur l’esthétique. Généralement, lorsqu’un bâtiment est rénové, même pour des raisons d’efficacité énergétique. Ou, vous savez, des mesures de réduction des gaz à effet de serre.

Eric Ibey : Vous améliorez l’esthétique du bâtiment. Ainsi, là où les gens se trouvaient, si la valeur augmentait en raison de l’esthétique […] ou des deux. Je dirais probablement les deux. Mais […].

Eric Ibey : Juste pour dire aussi que si à l’avenir, s’il y a un jour, si c’est très hypothétique, si nous avons un système d’évaluation des bâtiments. Le système d’évaluation des bâtiments inclurait des éléments tels que l’efficacité énergétique, les gaz à effet de serre. Vous connaissez le niveau de vos émissions. Dans ce cas, la valeur serait à nouveau liée à cette note. C’est à l’avenir, et je ne sais pas comment cela sera possible, mais c’est utilisé dans des endroits comme l’Europe, et je crois que quelques États aux États-Unis ont commencé à l’utiliser également.

Eric Ibey : La deuxième chose, c’est que vous allez économiser plus d’argent, ce qui, bien sûr, est tout à fait justifié. Pour cela, nous allons examiner l’intensité énergétique ou IE. L’IE, ou l’intensité énergétique, est en fait la quantité d’électricité et de gaz que vous utilisez dans votre bâtiment. Il est donc évident que vous améliorez votre bâtiment et le rendez plus efficace. Vous réduisez votre consommation d’énergie et vous économisez de l’argent.

Eric Ibey : Mais, comme vous pouvez le voir sur ce graphique, ils sont en bas de l’échelle. Sur l’axe des abscisses, nous avons la ligne de base LFS […], qui est semblable à prêt pour FS […], qui signifie que le commutateur de carburant est prêt. Ensuite, nous avons un interrupteur de carburant semblable, qui était une sorte d’interrupteur de carburant léger, puis nous avons « prêt pour la carboneutralité » […] sans photovoltaïque. Avec photovoltaïque. Et la majeure partie du bâtiment avec l’option de photovoltaïque.

Eric Ibey : Avec photovoltaïque.

Eric Ibey : On le voit donc. Et notre objectif d’évolution énergétique. D’ailleurs, l’énergie […]. L’évolution énergique est la stratégie de la Ville d’Ottawa. Il s’agit en quelque sorte de notre plan d’action visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à atteindre la carboneutralité à l’échelle de la Ville d’ici 2050, de nos bâtiments, des entreprises qui construisent les bâtiments de la Ville. Notre objectif est de 2040.

Eric Ibey : Comme vous pouvez le constater, cet objectif est le plus proche de 87 […]. C’est avec prêt pour la carboneutralité, et ce, pour la majeure partie du bâtiment. Dans tous les autres scénarios, nous n’économisons pas autant d’argent. Il s’agit donc d’un […].

Eric Ibey : Je veux dire un argument pour dire que vous aimeriez vous rapprocher le plus possible de « prêt pour la carboneutralité », progressivement, et que vous aimeriez aussi le faire d’une manière qui ait du sens.

Eric Ibey : Vous savez, je vais le dire maintenant, parce que je sais que les gens le font. Je vais poser ces questions. Qu’est-ce qu’on fait? D’abord, on procède au changement de carburant. Vous occupez-vous du revêtement?

Eric Ibey : Nous sommes réalistes, et je le suis pour avoir travaillé dans ce secteur pendant un certain nombre d’années. Les revêtements sont très complexes […]. Cela coûte cher, vous savez. Vous voyez? Beaucoup de bonnes retombées. Mais il y a aussi beaucoup d’autres choses qui se produisent et dont je parlerai plus tard, au fur et à mesure que nous avançons. Mais je pense que le travail sur le revêtement devient de plus en plus attrayant en raison du changement de climat, pas le climat, la météo, mais le climat de l’industrie aussi, et donc […] je sais qu’ils doivent tous les deux être faits, […] soit le revêtement et les systèmes mécaniques, mais dans l’ordre. Bien sûr, c’est toujours plus logique

Eric Ibey : Dans un monde parfait. Nous commençons par le revêtement, car cela permet de réduire les charges de chauffage et de refroidissement du bâtiment et d’installer un système de chauffage plus petit qu’à l’habitude, ce qui permet de réduire la consommation d’énergie.

Eric Ibey : Je veux dire que cela permet d’économiser de l’argent en termes de coûts d’investissement. Ainsi, en fonction de l’ordre des opérations. Vous faites vos propres rénovations. Cela pourrait avoir une incidence sur les coûts ultérieurs.

Eric Ibey : Je vais m’arrêter un instant pour vérifier le clavardage.

Eric Ibey : D’accord.

Eric Ibey : Très bien, c’est parfait […]. Désolé, je jetais juste un coup d’œil rapide sur le clavardage. Très bien.

Eric Ibey : Troisièmement, vous allez réduire vos émissions de gaz à effet de serre.

Eric Ibey : C’est un peu évident. Mais regardons un graphique qui montre à nouveau les GES plus anciens. J’utilise l’archétype des GES plus anciens.

Eric Ibey : Donc notre intensité en GES.

Eric Ibey : Donc kilogramme CO2 par mètre carré. Vous pouvez voir sur la ligne de base que nous commençons à environ 42, 43 et que nous descendons à environ 10 à 0 lorsque nous sommes prêts pour la carboneutralité. Quelque chose d’intéressant. Je trouve cela intéressant. La différence en termes d’émissions. Réduction […] de « prêt pour la carboneutralité » […] pour la majeure partie du bâtiment. N’est-ce pas important?

Eric Ibey : En tout cas, pas autant que je l’avais imaginé au départ. Encore une fois, lorsque nous parlons de pompe à chaleur géothermique par rapport à une pompe à chaleur à air.

Eric Ibey : Eh bien, on ne dirait pas. Cela ne rend pas la pompe à chaleur géothermique aussi attrayante qu’elle devrait l’être.

Eric Ibey : […] C’est très particulier au bâtiment, vous pourriez peut-être réaliser […] de meilleurs gains. Mais en termes de résultats, ce n’est pas un gain énorme. Le fait d’être prêt pour la carboneutralité semble donc plus attrayant. Il semble également plus attrayant, ce qui nous amène au quatrième point, à savoir que le scénario « prêt pour la carboneutralité » est moins cher. En fin de compte, c’est moins cher et plus réaliste que de réaliser cela pour la majeure partie du bâtiment.
Eric Ibey : Je vais donc donner un petit coup de pouce au bâtiment commercial de taille moyenne que vous voyez ici en bas. C’est maintenant que nous parlons. Coûts d’investissement en dollars par mètre carré. Ainsi, dans un scénario semblable, il n’y a pas de différence entre les deux.

Eric Ibey : Il faut compter 63 $ par mètre carré. Ce montant total pour passer à la carboneutralité […] est de 84 $ le pied carré.

Eric Ibey : Oh, 20 $ de plus, mais 25 d’augmentation, je dirais que dans la plupart des scénarios que j’ai vus, la prime pour passer d’un niveau semblable à prêt pour la carboneutralité, cette fourchette de 20 à 30 % semble assez standard, encore une fois, cela dépend de votre bâtiment.

Eric Ibey : Mais passer de « prêt pour la carboneutralité » à la majeure partie du bâtiment, c’est un grand saut.

Eric Ibey : C’est presque 30 $ le pied carré.

Eric Ibey : Donc, pour obtenir ce très faible gain en matière d’émissions de gaz à effet de serre, de très faible gain en matière d’utilisation d’énergie, en matière d’intensité énergétique.

Eric Ibey : Peut-être que cela ne semble pas en valoir la peine.

Eric Ibey : Je pense que si j’étais propriétaire d’un bâtiment, j’y réfléchirais sérieusement. C’est pourquoi, dans le cadre de cette étude, nous disons que l’objectif « prêt pour la carboneutralité » devrait être de ne pas produire de carbone.

Eric Ibey : C’est donc une autre question. Quel est le plus grand défi à relever pour décarboniser votre bâtiment?

Eric Ibey : Suzanne? Merci beaucoup.

Eric Ibey : Très bien. Il y a donc le financement en capital, le manque d’incitations, les obstacles techniques ou le manque de connaissances, le manque de réglementations ou de normes, les ressources humaines, les capacités ou autres.

Eric Ibey : Si vous en avez une autre […]. Nous aimerions savoir ce qu’il en est dans le clavardage.

Eric Ibey : […] En passant. Bienvenue à tous ceux qui sont arrivés en retard. Merci de votre présence et de votre participation aux sondages. Très bien, nous avons 71 %, 5 %. Nous sommes presque arrivés.

Eric Ibey : Encore quelques secondes

Eric Ibey : plus de gens […] à partir de 5, 4, 3, 2, un, d’accord.

Eric Ibey : Et qui communiquent nos résultats. Il semble donc qu’il s’agisse du capital. Le financement est le grand gagnant. Surprise, surprise.

Eric Ibey : Barrières techniques, manque de connaissances, manque de réglementation intéressant. Très intéressant également. Merci beaucoup. Tout le monde a participé. C’est excellent!

Eric Ibey : Et bien sûr, ce n’est pas une grande surprise de voir le financement en capital comme le gagnant.

Eric Ibey : Très bien. Pouvez-vous confirmer que le partage d’écran s’arrête là? Je dois cliquer plusieurs fois sur ce bouton. C’est bien parti?

Eric Ibey : Donc point suivant

Eric Ibey : en passant à la carboneutralité, à « prêt pour la carboneutralité », vous améliorerez vos bâtiments. La résilience est un mot qui revient de plus en plus souvent ces derniers temps en raison de l’évolution des conditions météorologiques.

Eric Ibey : Les pannes d’électricité. Je pense que la résilience est de plus en plus présente dans l’esprit des gens. Comme il se doit.

Eric Ibey : Quelle est la résilience de votre bâtiment? Dans quelle mesure votre bâtiment peut-il résister à une panne d’électricité ou à une catastrophe météorologique? Et lorsque nous parlons d’immeubles résidentiels à logements multiples comme nous l’avons fait, la plupart du temps, comme nous l’avons vu au début […]. La plupart d’entre vous s’intéressent à ce type de bâtiments, où les gens vivent.

Eric Ibey : La mesure que nous utilisons pour mesurer la résilience, ou du moins l’une des mesures, s’appelle TEDI (intensité de la demande en énergie thermique, de l’anglais Thermal energy demand intensity). Intensité de la demande en énergie thermique. Il s’agit donc d’un calcul d’énergie par mètre carré, qui correspond essentiellement à la charge de chauffage. Il s’agit uniquement d’une mesure de la période de chauffage de l’année et de la charge de chauffage de votre bâtiment.

Eric Ibey : Donc les choses qui réduisent votre énergie thermique, comme l’intensité de la demande énergétique, sont l’amélioration de votre revêtement et l’amélioration de la façon dont vous ventilez votre bâtiment, par opposition à l’apport de 100 % […] d’air dans votre bâtiment. Vous savez que vous remplacez cela par de la chaleur, de la récupération, de l’énergie, de la récupération.

Eric Ibey : Vous pouvez voir sur ce graphique que les trois seuls éléments qui nous permettent d’atteindre cet objectif sont le remplacement des combustibles et le fait d’être prêt pour la carboneutralité dans la majeure partie du bâtiment.

Eric Ibey : Les autres ne nous rapprochent pas trop de cela. Pourquoi cela est-il important? Et j’ai trouvé ce graphique. Et j’aime vraiment beaucoup ce graphique. Ceci est tiré du Guide de conception de la résilience thermique de l’Université de Toronto. Si vous voulez aller plus loin dans le renforcement de la résilience.

Eric Ibey : En cherchant sur Google […], peut-être que Suzanne peut trouver cela. En fait, je ne l’ai pas mis dans les notes, mais ce Guide de conception de la résilience thermique […]. Si vous avez réellement un intérêt pour cela, c’est un excellent guide concernant l’habitabilité passive, comme vous pouvez le voir. Il s’agit d’une mesure de la durée pendant laquelle un bâtiment reste habitable en cas de coupure de courant prolongée.

Eric Ibey : Comme je l’ai dit, cela devient de plus en plus important. Étant donné que […]. Nous avons connu de nombreuses pannes d’électricité ces dernières années. Ainsi, sur ce graphique, vous pouvez voir que la température de l’air extérieur passe de plus de 2 °C à moins 10 en l’espace d’une semaine.

Eric Ibey : Cette ligne rouge en pointillés est votre seuil de survie. Ainsi, […] 50 °C constitue la limite en dessous de laquelle votre bâtiment ne peut plus survivre et vous pouvez voir qu’un bâtiment existant typique tombe en dessous de ce seuil. Après deux jours, un bâtiment conforme au code tombe […] après trois jours, tandis qu’un bâtiment à très haut rendement reste habitable après sept jours et peut-être plus.

Eric Ibey : C’est en train de devenir, je dirais, un facteur important pour la modernisation de nos bâtiments. Ce n’est pas quelque chose qui est présent nécessairement dans les GES ou dans vos résultats lorsque vous parlez de vos factures d’électricité et de gaz.

Eric Ibey : Mais c’est quelque chose qui devient de plus en plus important pour les habitants des bâtiments. Quoi qu’il en soit, si vous voulez plus d’informations sur la résilience, consultez ce guide, qui est vraiment une excellente ressource.

Eric Ibey : Je vais juste jeter un coup d’œil sur le défi à relever ici. […] Merci.

Eric Ibey : Jacob. Désolé de ne pas l’avoir fait. Cela m’a échappé. Outre le manque de capital humain, il y a aussi la réglementation, qui fait qu’il est presque impossible d’obtenir l’approbation des membres de la copropriété.

Eric Ibey : Oui, ce sont des appartements en copropriété. C’est ce qu’ils semblent faire. Ce n’est pas facile. C’est vrai? C’est vrai.

Eric Ibey : C’est ce que je vais indiquer à Marie. Elle est l’experte de tout ce qui concerne les appartements en copropriété. Mais encore une fois, nous savons qu’il y a beaucoup de défis différents à relever. Et vous savez, cela me ramène à mon point de départ. Il s’agit d’une approche bâtiment par bâtiment. Les bâtiments ont tous des membres du conseil d’administration très différents, et la façon dont vous répartissez les coûts des services publics, c’est… […] Vous le savez, il y a tellement de choses à faire. Donc […] encore. Je sais que c’est du très haut niveau, mais j’espère que cela permet aussi de donner un petit peu de conseils ou un petit coup de pouce? Je ne l’ai pas fait. Je ne pouvais pas penser à cela. Je n’y avais pas pensé avant le taux d’indexation de 6 points.

Eric Ibey : Il s’agit donc d’une hypothèse formulée dans la modélisation où vous voyez tous ces graphiques et toutes ces informations provenant des taux d’indexation de l’électricité et du gaz ont été censées être de 2 %. Maintenant, c’est comme, j’ai dit, c’est […]. Il ne s’agit pas de critiquer les hypothèses retenues. C’est ainsi que nous devons faire fonctionner les modèles informatiques, c’est ainsi que les choses se passent. Mais […].

Eric Ibey : Si nous regardons […]. Une fois de plus, l’électricité et le gaz sont censés être les mêmes que le taux qui augmente […]. Mais la Régie de l’énergie du Canada a fait une mise à jour en 2023, très récemment. Et vous pouvez voir dans les bâtiments commerciaux, l’électricité de 2023, à 2024, à 2050

Eric Ibey : […] Cela diminue. Et cela est prévu d’année en année. Vous pouvez aller voir ça. Toujours sur le site Web. Je pense, Suzanne, que vous avez montré cela? Oh, puis-je le montrer, s’il vous plaît?

Eric Ibey : Absolument, si quelqu’un le souhaite. Vous savez, c’est un outil vraiment intéressant, mais vous verrez que le gaz naturel augmente de 2023 à 2050. Son coût a plus que triplé aujourd’hui. Personne n’a de boule de cristal. Personne ne sait exactement ce que l’avenir nous réserve.

Eric Ibey : Mais […].

Eric Ibey : Si nous planifions pour l’avenir la planification de la gestion des actifs. Et nous pensons à nos bâtiments. Si je devais aller dans le modèle, ce que je ne peux malheureusement pas faire, je n’ai pas accès aux modèles de nos consultants. Mais si je modifiais ces taux d’indexation pour refléter ce que vous voyez à l’écran en ce moment et vous garantir ces […].

Eric Ibey : Tous ces scénarios qui réduisent vos émissions? Ils auront l’air beaucoup plus beaux. Ils seront beaucoup plus attrayants parce que le coût du gaz augmente considérablement et que le coût de l’électricité baisse pratiquement. Donc […]

Eric Ibey : Mais, encore une fois, nous ne savons pas ce que l’avenir nous réserve. Mais s’il s’agit d’assurer la pérennité de nos bâtiments, de planifier en fonction de l’avenir.

Eric Ibey : On ne sait pas, mais vous savez comment ça se passe. Si j’avais une boule de cristal, je le ferais. Probablement, […] je pense que ce n’est pas loin. Mais encore une fois, qui sait? Nous verrons, le temps nous le dira.

Eric Ibey : Et la dernière chose que je voulais mentionner dans ce modèle […]. L’hypothèse du prix de la tarification du carbone a été utilisée à 170 $ la tonne comme taux fixe jusqu’en 2050.

Eric Ibey : Oui, savons-nous ce qui va se passer? Savons-nous ce qui va se passer avec la tarification du carbone? Non. C’est une question très politique.

Eric Ibey : Mais si le prix du carbone augmentait, s’il augmentait au fil du temps, s’il était supérieur à 170 par tonne. Puis, à nouveau […].

Eric Ibey : Ces scénarios vont changer et la décarbonisation redeviendra beaucoup plus intéressante.

Eric Ibey : Notre dernière question est assez simple. La stratégie de gestion à long terme des actifs de votre bâtiment intègre-t-elle la tarification du carbone?

Eric Ibey : En gros, oui ou non, ou sans objet pour vous. Donnez-vous quelques secondes.

Eric Ibey : J’ai l’habitude de savoir que nous sommes assez proches l’un de l’autre en ce moment.

Eric Ibey : et 5, 4, 3, 2.

Eric Ibey : et faire part des résultats.


Eric Ibey : La répartition entre oui et non est assez équilibrée. Intéressant.

Eric Ibey : Oui. C’est bon à savoir. Je dirais donc que […].

Eric Ibey : Et juste pour développer cela rapidement, si vous utilisez […], je veux dire qu’il y a des outils gratuits sur Internet que vous pouvez trouver sur le site Web, RETScreen Expert […] du CNRC. Et c’est une bonne chose. Il y en a un qui s’appelle CAN-QUEST […], mais vous pouvez […]. Vous pouvez commencer à chercher, et certains d’entre vous ont probablement participé à d’autres webinaires et ateliers et les ont vus. Ce sont des outils que vous pouvez utiliser pour prédire ce qui va se passer avec les coûts des services publics, et vous pouvez ajuster des choses comme la tarification du carbone, comme les taux d’augmentation des prix et avoir une meilleure idée de ce que l’avenir peut réserver, que vous fassiez ou non certaines rénovations.

Eric Ibey : Donc […].

Eric Ibey : Avant de commencer, je voudrais juste dire que notre prochain webinaire aura lieu le 4 octobre à midi. Encore une fois. Il s’agira d’une mise à jour de l’objectif du Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa. Nous espérons que tout le monde ici fait partie de notre Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa. Donc si vous voulez numériser le code QR,

Eric Ibey : Vous savez […]. Et vous voulez participer à ce webinaire, s’il vous plaît. Nous espérons vraiment vous y voir!

Eric Ibey : Nous pouvons envoyer […]. Nous pouvons également envoyer un courrier électronique avec toutes ces informations. Si vous n’y arrivez pas tout à fait. Et sur la gauche, nous avons une infolettre à laquelle vous pouvez vous abonner et qui contient de nombreuses informations intéressantes. Et si vous voulez nous envoyer un courriel, […] les courriels se trouvent en bas de page. Vous pouvez également numériser le code QR à droite pour nous envoyer un courriel directement, comme, je dis, si vous voulez avoir l’une de ces conversations hors ligne, si vous pensez que c’est un peu […] trop particulier à votre bâtiment, je suis heureux de discuter à ce sujet, et même au moyen d’une autre méthode […].

Eric Ibey : Merci beaucoup. Je vais ouvrir le clavardage et voir ce que nous avons ici. Diana, veuillez répéter les noms de ces outils d’estimation de la tarification du carbone. Certainement, RETScreen Expert. Ce n’est pas le cas. Je n’ai pas beaucoup joué avec RETScreen Expert ces derniers temps. Je sais qu’il y a eu des mises à jour, peut-être Marie, […] ou je ne sais pas si vous pouvez faire des commentaires à ce sujet. Mais c’est un outil tout à fait décent. CAN-QUEST

Eric Ibey : CAN-QUEST. CAN-QUEST T. est un autre excellent outil de gestion des actifs qui permet de prévoir les retours sur investissement et les réductions d’émissions. Et […]

Eric Ibey : Je dirais aussi que si vous faites partie du Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa et que vous communiquez déjà vos données au Programme d’analyse comparative et de production de rapports sur la consommation d’énergie et l’utilisation de l’eau (ACPREE) et que vous les communiquez à la Ville d’Ottawa, vous pouvez en tirer beaucoup de choses intéressantes. Je vous encourage donc à le faire. Si vous ne le faites pas, veuillez le faire. C’est obligatoire dans toute la province, et si vous le faites, n’hésitez pas à nous l’indiquer, car cela nous aide.

Eric Ibey : Vous savez, plus nous en savons, plus nous avons de données, plus nous pouvons créer des incitations et des programmes qui aideront les bâtiments. Car, comme nous le voyons, il y a une prime au passage à la valeur carboneutre, nous ne le cachons pas. C’est une réalité.

Eric Ibey : Mais plus on en sait, plus on peut aider. N’hésitez donc pas à vous impliquer et à nous faire part de ces données. Ce serait très utile.

Eric Ibey : Et Diana, il y en a un autre […]. Le nom m’échappe pour l’instant, mais je pourrai le retrouver plus tard et je serai heureux de vous l’envoyer.

Eric Ibey : La présentation sera-t-elle diffusée? C’est tout à fait possible. Ce n’est pas un problème. Nous allons la diffuser […], qu’en dites-vous? Le ferons-nous?

Suzanne Tewnion : Je peux en parler. Ce sera diffusé. Il faut compter environ un mois pour que ce soit mis en ligne, mais ce sera sur notre page Web consacrée au Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa.

Eric Ibey : Je suis désolé, vous voulez dire la vidéo ou les diapositives.

Suzanne Tewnion : Oh, parce que je veux dire […].

Eric Ibey : Nous pouvons faire les deux. Et je veux dire que la vidéo prend un peu plus de temps. Mais je […]

Eric Ibey : Nous nous tairons. Suzanne est la responsable de cela.

Eric Ibey : Y aura-t-il des subventions de la Ville pour aider les bâtiments à atteindre les objectifs du Programme d’amélioration des bâtiments, Samuel? C’est une excellente question. Je l’espère. Nous essayons. Nous y travaillons d’arrache-pied.

Eric Ibey : C’est une grande partie de ce que nous faisons. Et oui, nous essayons absolument. Mais oui, si nous attendons des gens qu’ils passent à la carboneutralité. Il va falloir les aider. Et ce n’est pas seulement la Ville qui est à l’origine de ce phénomène. Il y aura beaucoup d’aide venant de beaucoup d’autres endroits aussi. Donc […]

Eric Ibey : […] Nous sommes […]. Je sais que nous travaillons d’arrache-pied en coulisses pour essayer de les mettre en place.

Eric Ibey : Et encore une fois, si vous êtes inscrit au Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa, vous aurez le premier accès. Il faut d’abord consulter les informations relatives à toutes ces choses qui sortent.

Eric Ibey : Nous mettons à jour l’infolettre que je viens de communiquer. Vous savez, c’est quelque chose pour lequel vous obtiendrez ces informations tout de suite, et vous serez le premier à avoir accès à cet argent, parce que l’argent est toujours incitatif, […] les subventions […]. C’est toujours limité. Si vous voulez être le premier, si vous faites déjà partie de notre Programme d’amélioration des bâtiments d’Ottawa, vous bénéficiez de ces connaissances. Si ce n’est pas le cas, je vous encourage à vous y inscrire afin d’y avoir accès.

Eric Ibey : Jacob, de rien. Je suis heureux que cela ait été utile. Merci de votre présence.

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Eric Ibey : Ce que je retiens du webinaire d’aujourd’hui, c’est que puisque nous avons un plan ou une étude pour remplacer la signalisation dans les cinq prochaines années. Il s’agit peut-être de l’un des meilleurs investissements […] que nous utilisons en quelque sorte pour notre empreinte carbone […]. Ou […]

Eric Ibey : êtes-vous d’accord avec cela?

Eric Ibey : D’une manière générale, je dirais que oui. Et le fait est, Jacob, que ce qui est important, c’est de remplacer le revêtement du bâtiment. Vous n’avez qu’une seule chance d’effectuer des travaux concernant le revêtement du bâtiment au cours de sa vie.

Eric Ibey : Une nouvelle construction et une rénovation, voilà ce que vous obtiendrez. Probablement. Donc, si vous vous occupez du revêtement.

Eric Ibey : Écoutez, essayez de vous en occuper […], vous savez. Vous regardez peut-être les fenêtres en même temps. Si vous avez déjà tout cet échafaudage et toutes ces choses mises en place. Il faut essayer d’en faire le plus possible, car il y a de fortes chances que vous ne le fassiez plus jamais. Et surtout si c’est dans cinq ans, vous savez. Vous regardez les signaux […]. Il suffit de regarder l’installation que nous avons également. Vous savez, nous avons été juste pour l’anecdote. Nous avons été […]. Nous avons effectué des analyses thermiques sur de nombreux bâtiments autour d’Ottawa, et nous avons constaté à partir de ces analyses que l’on ne pouvait pas faire autrement.

Eric Ibey : Les analyses thermiques révèlent que la plupart des bâtiments ont des problèmes d’infiltration, de givre et de ponts thermiques. Les revêtements posent de nombreux problèmes. Je vous encouragerais donc probablement à mandater une entreprise pour effectuer une étude. Peut-être l’avez-vous déjà fait. Mais […].

Eric Ibey : Vous savez, […] afin d’essayer de voir ce qui peut être fait.

Eric Ibey : En même temps que vous faites cela, vous décidez […], parce que, comme je l’ai dit, vous, vous n’avez qu’une seule chance. Mais oui, je le ferais. Je suis d’accord pour dire que c’est l’une des meilleures choses que vous puissiez faire immédiatement.

Eric Ibey : […] Comme je l’ai dit, vous améliorez votre bâtiment, vous améliorez votre revêtement, cela réduit la demande de chauffage et de climatisation sur votre bâtiment, la charge thermique […]. Aujourd’hui, lorsque vous remplacez votre chauffage central dans 5, 10 ou 15 ans, vous installez une pompe à chaleur à air. Aujourd’hui, cette pompe à chaleur peut être beaucoup plus petite, ce qui signifie qu’elle est beaucoup moins chère. Vous allez donc économiser de l’argent.

Eric Ibey : Merci pour cette question.

Eric Ibey : Pas de confirmation.

Eric Ibey : Il y a des subventions et de beaux remerciements, Janice.

Eric Ibey : Parfait. Voilà, c’est fait, Samuel.

Eric Ibey : Veuillez […].

Eric Ibey : Allez sur notre site Web. Jetez-y un coup d’œil, vous êtes le bienvenu et nous estimons votre présence ici.

Eric Ibey : Oui, merci, Janice. Janice est l’autorité en matière de subventions et d’argent. Je ne peux donc pas y répondre aussi bien qu’elle. Merci donc à Janice et au financement privé. Absolument.

Eric Ibey : Je vous remercie. Merci! Merci! Oh, c’est génial. Brian. Il n’y a donc pas d’autres questions.

Eric Ibey : Je vous remercie tous de votre participation, j’ai beaucoup estimé que vous preniez du temps de votre pause de midi. Comme je l’ai dit, si vous avez des questions, je suis très heureux de recevoir un courriel, de recevoir un appel et de discuter un peu plus longuement de ce sujet. Sinon, je vous souhaite un bon après-midi et une bonne fin de journée. À bientôt.


Bâtiments durables Ottawa : webinaire no 3 – compte rendu sur les avantages (révisé)

Très bien, nous allons commencer.

Bienvenue à toutes et à tous.

Merci d’être des nôtres aujourd’hui.

Je m’appelle Marie.

Je travaille à la Ville d’Ottawa et je fais partie d’une équipe qui se consacre essentiellement à la maîtrise des dérèglements climatiques et à la climatorésilience.

Des collègues de notre équipe s’occupent des projets de rénovation des immeubles du portefeuille de la Ville dont ils sont responsables et dont ils exercent le contrôle opérationnel.

Pour ma part, je m’occupe des immeubles dont la Ville n’est pas propriétaire.

Tant et si bien que nous avons un programme pour aider les responsables de ces immeubles dans le parcours qui leur permet d’une part d’analyser la performance de leurs immeubles et, d’autre part, de planifier et de mettre en œuvre les projets de rénovation pour permettre de réduire les émissions de GES.

Ce programme s’appelle « Bâtiments durables Ottawa ».

Je vais aujourd’hui vous parler des sept avantages actuels de notre programme et vous demander, pendant ce webinaire, vos commentaires sur les moyens d’améliorer ces avantages.

En effet, ce programme se développe.

Je tiens aussi à préciser que si vous voulez faire des commentaires dans la fonction de clavardage, n’hésitez pas non plus à poser des questions au fur et à mesure.

Certains de mes collègues et moi tâcherons d’y répondre le plus rapidement possible. Nous allons aussi supprimer les commentaires qui ne sont pas pertinents.

Aujourd’hui, notre objectif consiste donc à faire connaître tous les programmes que nous offrons à ceux et celles qui participent au Programme d’amélioration des bâtiments durables Ottawa.

Ces programmes sont au nombre de sept.

Je pourrais vous en faire la lecture, mais ça risque d’être vraiment très ennuyant.

Nous allons donc les parcourir un à la fois.

Commençons par parler de ce que nous offrons aux gestionnaires d’immeubles qui participent à notre programme et qui nous ont communiqué les données sur le rendement de leurs immeubles, en plus de remplir le formulaire d’inscription : nous mettons à leur disposition un bilan du rendement énergétique et un rapport analytique de leurs immeubles.

Il s’agit d’un document en PDF de cinq à six pages, dont une page qui porte sur les faits saillants et qui est reproduite au début du document. Cette page permet de comparer vos immeubles à des bâtiments comparables, à des types de propriétés similaires et à l’ensemble du parc immobilier d’Ottawa, dont nous faisons l’analyse comparative dans l’ensemble de notre programme.

Comme vous pouvez le constater dans l’exemple de document en PDF à gauche, le premier élément d’information de ce rapport est constitué du bilan.

Vous allez aussi recevoir, dans le même document PDF, le rapport analytique.

Ce rapport vous apporte de l’information sur les diagnostics de synthèse.

Ainsi, d’après la consommation d’électricité durant l’été par rapport à l’hiver et en faisant appel à l’analyse de régression de la normalisation météorologique, vous pouvez consulter une ventilation de la consommation d’énergie dans les immeubles et les mesures d’économie potentielles qui vous seront le plus utiles.

Toute cette information est gratuite pour tous les gestionnaires d’immeubles et tous les participants à notre programme.

Nous aurons éventuellement l’occasion d’y ajouter des parcours ou des plans de décarbonation généraux dont les coûts seraient calculés pour les immeubles qui font partie de notre programme.

C’est sans doute ce qu’il adviendra. J’aimerais maintenant savoir si vous pensez que ces éléments d’information vous seraient utiles s’ils portaient sur les immeubles à logements multiples et sur les immeubles de bureaux.

C’est ce qui m’amène à vous parler des premières questions de notre sondage.

Suzanne, pourriez-vous lancer ce sondage pour moi et pour nous tous en fait?

Nous voulons donc savoir si vous avez une idée des frais qu’il faudra engager d’emblée pour décarboner vos immeubles.

Je vous remercie beaucoup des réponses que vous nous communiquez maintenant.

Le groupe qui répond non m’intéresse énormément.

Et je ne crois pas que les membres de ma direction soient aussi impressionnés par le groupe qui dit oui.

Ils connaissent tous les immeubles de leur portefeuille.

C’est phénoménal.

Suzanne, pourriez-vous fermer le tout pour que nous puissions tous et toutes prendre connaissance des résultats?

On devrait pouvoir le faire.

Super!

Merci.

Merci, Eric.

Très bien.

Je sais donc si oui ou non les parcours de décarbonation de chaque immeuble constitueraient un avantage supplémentaire très utile que nous offrirons éventuellement dans ce programme.

Nous allons aussi offrir des rabais sur les images thermiques.

L’imagerie thermique des immeubles nous apprend que ce n’est pas seulement l’air qui fuite dans les bâtiments.

Il y a bien entendu la chaleur qui se déplace sans qu’on le veuille.

Ce genre d’inspections thermiques permet aux propriétaires d’immeubles de savoir où se produisent les pertes thermiques et même d’attirer leur attention sur les problèmes structurels et les questions de moisissures.

Les participants à ce programme ont donc droit à des rabais sur les services d’imagerie thermique offerts par l’entremise d’un fournisseur de services spécifique qui animera notre prochain webinaire en novembre et qui communiquera les résultats des tours d’horizon réalisés au nom de la Ville pour 191 immeubles.

Il sera donc question de l’état des enveloppes des bâtiments dans la Ville d’Ottawa en général, en fonction des différents archétypes.

Mais tous ceux et celles qui participent à notre programme ont droit à des services offerts à des tarifs réduits dans le cadre de ce groupe.

Nous offrons aussi des activités de formation.

C’est en quelque sorte mon sujet de prédilection.

Nous avons commencé à offrir gratuitement des activités de formation grâce à al Banque de l’infrastructure du Canada.

Le premier cours que nous avons offert portait sur les économies d’énergie pour les exploitants d’immeubles.

Il s’agit d’une séance de deux jours, que nous avons organisée pour la première fois en mai 2023; le deuxième jour a été consacré à la visite de certains immeubles.

La deuxième journée est consacrée à des activités d’apprentissage pratique dans le cadre d’une chasse aux économies d’énergie. Nous avons parcouru en groupe une superficie de 150 000 pieds carrés.

Ainsi, ce groupe d’exploitants d’immeubles, que l’on pourrait considérer comme des concurrents, s’est réuni et a constaté qu’il pourrait réaliser des économies de GES de 21 % grâce à des travaux de rénovation sans frais ou presque ou à des changements dans l’horaire des systèmes immotiques, en réglant les points de consigne de la température : ils pourraient ainsi, chaque année pour un seul immeuble, réaliser des économies de 23 % sur les coûts opérationnels et réduire de 65 tonnes les émissions de GES.

C’est un bon exemple des résultats de la formation technique, que l’on peut tout de suite appliquer en groupe à des immeubles.

Cette formation a remporté un franc succès.

Les participants nous ont adressé des commentaires élogieux et nous ont même demandé de prévoir d’autres activités de formation.

Nous allons donc offrir beaucoup plus de séances de formation que ce que nous nous étions engagés à donner et nous venons de commencer à les planifier.

Nous offrirons donc au même groupe une séance de formation le 31 octobre; nous visiterons un hôtel et tâcherons de cerner les économies à réaliser.

Vous pouvez vous inscrire dans une liste d’attente.

Si vous souhaitez y participer même si vous ne faisiez pas partie de ce premier groupe, n’hésitez pas à adresser une note à Bâtiments durables Ottawa sur le site ottawa.ca ou tout de suite dans la fonction de clavardage, pour nous faire savoir que cette séance vous intéresse.

Adressez cette note à Suzanne, et nous verrons ce que nous pouvons faire pour vous. Mais ne vous inquiétez pas si vous ne pouvez pas participer à cette nouvelle séance.

La prochaine cohorte suivra tout de suite après et se consacrera essentiellement aux immeubles à logements multiples, soit aussi bien les appartements que les logements en copropriété.

Nous allons commencer les 14 et 15 novembre 2023.

Nous avons déjà planifié la visite d’un certain immeuble d’appartements bâti, et nous réunirons à nouveau le même groupe deux mois plus tard, au début de janvier, pour visiter ensemble un deuxième immeuble afin de poursuivre cette activité d’apprentissage et d’échanger de l’information.

Nous allons ensuite tenir deux courtes réunions d’une heure pour ce groupe de travail, dont la moitié se déroulera en ligne, avec le même groupe d’exploitants d’immeubles, pour continuer d’apporter des solutions à leurs difficultés particulières.

Si les membres de ce groupe constatent qu’ils auraient l’occasion de présenter leur analyse de rentabilité, mais qu’ils ne sont pas à l’aise de le faire, nous les aiderons ou nous apporterons des solutions à leurs problèmes techniques ou s’ils ne connaissent pas les conditions opérationnelles. Nous allons donc travailler avec ces participants dans ces cohortes pour la suite de nos travaux.

Nous mettrons alors sur pied une troisième cohorte. Nous ne savons toutefois pas à quoi ce groupe se consacrera. Il se penchera probablement sur la situation des hôtels, des bureaux ou des immeubles en copropriété. Il pourrait s’agir d’un sous groupe à part entière.

Je vous invite donc à nous faire savoir ce qui serait le plus utile à vos yeux, dans les efforts que nous continuons de consacrer à l’étude des bâtiments.

D’autre part, nous avons aussi animé un cycle de discussion pour plaider en faveur de la décarbonation des immeubles.

Il s’agissait d’un cours offert en ligne aux participants du Programme Bâtiments durables Ottawa et à certains groupes conseils de la localité qui font la promotion des plans de décarbonation.

Nous espérons pouvoir offrir des activités de formation comparables en continuant d’étoffer cette base de connaissances. Cette formation pourrait s’apparenter à la séance que nous offrirons entre janvier et mars 2024.

Nous offrirons donc une séance sous le titre « Les fondamentaux de la décarbonation pour les ingénieurs ».

Cette séance devrait de dérouler en présentiel à Ottawa.

Elle est mise au point par le Climate Risk Institute pour le CBDCA, grâce au financement versé par Emploi et Développement social Canada.

Nous sommes toujours en train de mettre au point les dernières dispositions. Nous entendons toutefois vraiment, comme je l’ai dit au début, offrir ce programme de formation, que nous sommes en train de mettre au point et que nous offrirons gratuitement dans le cadre du Programme d’amélioration des bâtiments durables Ottawa.

Les participants d’Ottawa se penchent sur les considérations relatives à l’évolution du climat et sur leur intégration dans les plans de gestion des actifs.

En effet, il s’agit surtout non pas d’établir différents plans, mais plutôt d’intégrer votre plan dans les travaux de planification que vous menez déjà et de vous assurer que ces considérations climatiques entrent en ligne de compte quand vous envisagez de réfectionner des immeubles ou de remplacer l’équipement mécanique à la fin de sa durée utile.

Ce sont les meilleurs moments de vous pencher sur l’ensemble de vos immeubles. Nous mettons alors au point des documents destinés expressément aux administrateurs d’immeubles en copropriété et aux gestionnaires immobiliers qui veulent savoir vraiment ce qu’ils peuvent faire du point de vue des lois, pour mieux connaître les règles de l’art technologiques et opérationnelles en suivant ce parcours.

Pour ce qui est de la deuxième question que nous adressons au groupe, nous voulons savoir quel programme de formation est le plus utile, à votre avis, pour votre immeuble ou votre portefeuille.

En fait, la liste des réponses est longue.

Vous pouvez sélectionner plusieurs réponses, du point de vue des gestionnaires de l’énergie certifiés, de la mise en service des bâtiments, de la formation des responsables de l’exploitation des bâtiments ou des gestionnaires d’immeubles en copropriété.

Il y a en fait deux options pour les responsables de l’exploitation des immeubles. Excusez moi.

La première option porte sur les économies d’énergie pour les exploitants d’immeubles. Cette question fait l’objet de l’atelier de formation de deux jours dont je viens de parler.

La deuxième option est celle de la formation de cinq jours des opérateurs de bâtiments durables certifiés. À la fin du jour, les participants portent ce titre.

Je constate que le résultat est spectaculaire : les exploitants d’immeubles sont plus nombreux à savoir exploiter économiquement leurs immeubles, ce qui est très bien, puisque le programme de formation que nous avons sélectionné au début s’inscrit à la suite de celui qui porte sur les immeubles en copropriété, ce qui est parfait parce que c’est celui auquel nous consacrons actuellement des ressources supplémentaires.

Merci infiniment de vos réponses.

Très bien.

Les activités de formation et de réseautage constituent l’autre avantage que nous offrons aux participants de notre programme.

Certains de ces avantages sont gratuits et d’autres sont offerts à prix réduit.

L’une de ces séries s’appelle le « Petit déjeuner pour l’amélioration des bâtiments ».

Ces petits-déjeuners sont animés par James McNeill et ont lieu toutes les six semaines. Les participants au Programme d’amélioration des bâtiments durables d’Ottawa ont droit à un rabais lorsqu’ils prennent part à ces activités.

Le prochain petit déjeuner a lieu le 25 octobre.

Si vous ne vous êtes toujours pas inscrit(e), n’hésitez pas à le faire. Vous croiserez la plupart des membres de notre équipe et pourrez nous poser d’autres questions.

D’autre part, nous avons travaillé, cet été à Ottawa, en collaboration avec l’Urban Land Institute, et nous avons visité le premier immeuble résidentiel à logements multiples certifié carboneutre dans cette ville.

C’était très enthousiasmant, et nous avons pu en quelque sorte tenir un autre événement de réseautage, doté d’un volet de formation, pour nos membres.

Les membres ont été les premiers à avoir connaissance de cet événement et seront les premiers à être au courant du prochain événement.

Le partenariat de l’initiative de récupération mené avec la CHBA est une autre activité que nos membres ont été les premiers à connaître. Il s’agit de l’initiative qui s’appelle « Towards Net Zero Reno Initiative », qui s’est déroulée, jeudi dernier, d’un océan à l’autre.

Il s’agissait d’un atelier technique avec une séance d’idéation, qui s’apparentait à un processus d’étude intégrée ou à une petite discussion charrette consacrée aux moyens de discuter en tribune des travaux extérieurs de rénovation des coopératives d’habitation à Ottawa.

Cette activité a attiré de nombreux participants.

Il s’agissait d’une excellente activité de réseautage, qui réunissait les instructeurs des collèges universitaires, les rénovateurs, les conseillers en économies d’énergie, une association nationale, des employés du gouvernement fédéral, des agents du bâtiment de la Ville qui délivrent des permis, les résidents des immeubles en cause, les gestionnaires immobiliers d’autres portefeuilles et des ingénieurs mécaniciens.

Il s’agissait d’une séance exhaustive, ainsi que d’une excellente occasion de réseauter et d’être en prise directe sur l’actualité de cet espace.

Nous allons simplement continuer d’offrir à nos membres d’autres activités comme celle ci.

Puis, faire partie de notre programme est une excellente idée pour connaître les détails du financement.

Au début de l’été, les participants du Programme d’amélioration des bâtiments durables d’Ottawa ont été les premiers à entendre parler d’une activité particulière que j’ai organisée pour certains immeubles à logements multiples, afin de réunir l’information sur tous les coûts incrémentiels de l’équipement mécanique couverts, lorsque leur équipement se situe à la fin de sa durée utile et qu’il souhaite adopter, au moment des travaux de réfection, une solution très faible en carbone.

On peut ainsi améliorer les bâtiments.

Les participants d’Ottawa ont été les premiers à en entendre parler, et on a demandé, à tous ceux et celles qui étaient en quête de financement, de mener une évaluation d’après les critères d’attente définis.

Ceux et celles qui participent à un programme avaient plus de poids, dans les critères d’attente, lorsqu’il s’agissait de faire les dernières sélections.

Il faut dire que les dernières sélections n’ont en fait pas eu lieu.

Il y en a eu six par rapport à 39 à l’origine.

J’espère rester suffisamment en contact avec les participants à propos des prochaines étapes.

Sinon, n’hésitez pas à me contacter directement. Je vous dirai où nous en sommes.

Par ailleurs, nous dressons ensemble la liste globale, sur la page Web de Bâtiments durables Ottawa, de tout le financement offert à notre connaissance, notamment par la Banque de l’infrastructure du Canada, par les agrégateurs de cette banque et dans le cadre des programmes d’incitation des entreprises de services publics.

C’est la liste que nous dressons pour nos participants.

Y a t il quoi que ce soit d’autre que vous souhaiteriez que nous mettions au point?

Vous pourriez par exemple demander de recevoir une alerte quand votre consommation d’eau est supérieure à celle à laquelle vous vous attendiez.

Il vaut mieux recevoir une alerte qu’une facture astronomique à la prochaine date de facturation.

Si vous souhaitez recevoir des alertes pour attirer votre attention sur la consommation d’eau anormale, il y a en fait deux options.

Premièrement, la Ville offre un programme dans le cadre de Mon ServiceOttawa, et je serais heureuse de réunir des ressources supplémentaires sur ce programme dans le domaine des bâtiments. Vous pourriez configurer ces alertes pour les adapter aux propriétaires des immeubles ou au personnel compétent.

Or, ce n’est pas toujours la meilleure solution pour tous les immeubles.

C’est pourquoi, dans les cas où ce n’est pas la meilleure solution, nous allons offrir de l’équipement de surveillance de la consommation de l’eau, ainsi que des alertes, à des prix réduits également.

Enfin, le tout dernier avantage que nous venons d’offrir dans ce programme porte sur l’évaluation des bornes de recharge des véhicules électriques.

Nous travaillons en partenariat avec l’Electric Vehicle Council of Ottawa pour lancer un projet pilote auquel participeront à peine 10 immeubles en copropriété d’Ottawa. Nous allons ainsi dérisquer certaines difficultés dans la recharge des véhicules électriques dans les immeubles en copropriété.

Nous allons donc vraiment tâcher de rejoindre ceux qui, parmi les résidents de ces immeubles, ont besoin de bornes de recharge pour les véhicules électriques et ceux qui en auront besoin à court terme, en mettant au point une solution sur mesure afin de répondre précisément à ce besoin, en dialoguant avec les gestionnaires d’immeubles, en en discutant avec les conseils d’administration et en mobilisant les résidents pour résoudre les difficultés perçues ou réelles qui pourraient surgir.

Enchaînons maintenant avec notre troisième sondage.

S’il fallait ajouter d’autres avantages à notre programme, quels seraient ceux qui seraient le plus utiles pour ce programme et pour apprendre?

Souhaiteriez vous plutôt que votre immeuble soit certifié Energy Star et soit doté de plans de décarbonation généraux?

Souhaiteriez-vous avoir de l’aide pour avoir accès aux programmes de financement et d’incitation?

Préféreriez-vous une calculatrice prépopulée pour vous donner une idée de la hausse des tarifs d’électricité, de l’augmentation des tarifs du gaz naturel, des tarifs carbone et des tarifs de l’eau pour pouvoir monter votre budget opérationnel au fil du temps?

Souhaiteriez vous qu’on vous aide à remettre en service votre immeuble ou qu’on vous offre d’autres appareils de surveillance pour la détection des fuites, par exemple?

Il semble que la majorité souhaite qu’on aide les participants dans leurs démarches de financement, en s’adressant aux bons programmes d’incitation.

Ces réponses sont intéressantes. Je suis ici pour ça.

Il est ensuite question des hypothèses et des calculatrices pour les prix projetés de l’énergie.

C’est vraiment très intéressant.

Merci beaucoup.

Très bien. Janice est elle ici?

Janice est ma patronne. Elle est la gestionnaire de la section du Programme d’amélioration des bâtiments durables Ottawa et de notre division à la Ville.

Janice, pourriez vous…?

Janice, pourriez vous mettre votre caméra en fonction?

Très bien.

Je ne pensais pas y arriver.

Je vais maintenant vous poser quelques questions.

Je vous en prie.

Je crois vous avoir dit qu’il y aurait un jeu questionnaire expressément pour vous dans la séance d’aujourd’hui.

Effectivement.

Pourriez-vous, Janice, nous parler des détails des conditions d’admission aux avantages de ce programme?

Je viens de parler des sept avantages de ce programme.

Laissez-moi réfléchir.

Je pense qu’il s’agit des écoles et de tous ceux et celles qui participent au programme d’analyse comparative.

Marie.

C’est exact.

Ce sont les écoles qui participent à ce programme.

Exactement.

Certains participants ont un portefeuille d’une cinquantaine d’immeubles. Ils y ont participé et ont donné de l’information pour six bâtiments.

Les propriétaires des six bâtiments participants auraient accès aux rapports sur leurs immeubles. Or, ils pourraient aussi inviter, à ces activités de formation, les membres du personnel dans d’autres immeubles.

Janice, que fait on pour participer au programme?

Je crois qu’on vous envoie une boîte de biscuits.

J’espère que c’est vrai.

Il suffit de remplir le formulaire et de communiquer vos données mensuelles sur votre consommation d’énergie et de gaz.

C’est exact. Il y a deux étapes.

Certains nous disent qu’il faut consacrer de 10 à 15 minutes à ce travail.

Il faut donc remplir un formulaire d’inscription et s’engager à communiquer l’information à la Ville d’Ottawa. C’est la deuxième étape.

On communique les données à la Ville d’Ottawa grâce à l’ESPM (Energy Star Portfolio Manager).

Il s’agit probablement d’une étape supplémentaire pour les immeubles en copropriété : les gestionnaires de ces immeubles doivent d’abord obtenir la permission de leur conseil d’administration.

C’est probablement, pour les immeubles en copropriété, ce dont il faudrait tenir compte.

Dites moi Janice, quelle est l’échéance à respecter par les participants pour les données de 2022?

Est-ce le 31 octobre?

C’est exact. C’est le jour de l’Halloween.

Il ne faut pas se laisser prendre de court.

Que faut il faire pour se renseigner sur les détails de chacun de ces sept avantages?

Participer à ce webinaire?

Oui, absolument.

Comme nous l’avons mentionné, les participants reçoivent automatiquement le rapport analytique et le bilan. Il suffit de s’inscrire à l’infolettre Bâtiments durables Ottawa.

On vous fait parvenir l’information sur les événements et sur les activités de formation pour la recharge des véhicules électriques.

Si vous avez déjà rempli votre formulaire d’inscription et que vous nous avez communiqué vos données, vous pouvez nous adresser un courriel à info@eco.ca pour nous dire que vous représentez l’un des 10 immeubles qui font l’objet d’une évaluation gratuite des installations de recharge des véhicules électriques dans le cadre du programme Bâtiments durables Ottawa. C’est suffisant.

Effectivement.

L’effort est limité aux 10 immeubles en copropriété qui participent à notre programme.

Pour profiter des rabais offerts sur l’imagerie thermique, faites parvenir un courriel à l’adresse info@keytech.com et dites que vous participez à ce programme.

Pour ce qui est de la surveillance de la consommation de l’eau, nous nous occupons toujours des moyens exacts grâce auxquels nous pourrons vous offrir cet avantage dans le cadre du programme. Alors, n’hésitez pas à m’envoyer une boîte de biscuits.

Non. Je plaisante.

Faites moi parvenir un courriel, je vous mettrez en pause et je vous répondrai aussitôt que nous serons prêts à déployer ce programme.

Voici la question qu’on me pose le plus souvent dans le déroulement du Programme d’amélioration des bâtiments durables Ottawa et dans nos nouveaux dialogues : Quelle est la différence entre l’ACPREE et ce programme, puisqu’il s’agit de deux programmes d’analyse comparative, qui portent sur la performance de différents immeubles.

L’ACPREE est obligatoire.

Le programme de la Ville d’Ottawa est volontaire.

L’ACPREE porte sur les immeubles de plus de 50 000 pieds carrés.

Notre programme porte sur tous les immeubles de plus de 20 000 pieds carrés.

Le logiciel est le même.

Les données à déclarer sont les mêmes. Toutefois, dans l’ACPREE, vous devez aussi avoir un identifiant bien à vous.

Nous n’en avons pas besoin dans l’ACPREE.

Les données sont communiquées directement au ministère de l’Énergie, qui publie cette information dans un format de données ouvertes en Excel à l’intention de la région de tri d’acheminement. On prend les trois premiers caractères du code postal.

Les données communiquées à la Ville d’Ottawa sont diffusées publiquement dans une carte.

Même s’il n’y a pas l’adresse des immeubles, la carte est assez précise.

Si nous avons prévu un formulaire d’inscription, c’est pour nous assurer que les participants sont à l’aise de savoir que l’information sur les immeubles sera finalement diffusée publiquement dans l’ACPREE.

Il n’y a pas de rapport analytique, de bilan énergétique, ni de rabais sur les images thermiques.

Il n’y a pas de réseautage local ni d’activités d’apprentissage.

Il n’y a pas de formation pour les exploitants des immeubles.

Il n’y a pas de financement, d’aide financière, ni d’aide pour la recharge des véhicules électriques.

Nous tâchons donc vraiment de mettre au point, dans notre programme, des avantages qui vous seront très utiles pour participer et pour que vous ayez le sentiment que vous êtes gagnant.

Nous vous remercions de nous communiquer vos données.

Nous sommes ici pour vous aider et vous permettre de franchir ce parcours dans la décarbonation puisque notre objectif consiste vraiment à aider le secteur du bâtiment privé dans ce parcours et à vous apporter des connaissances dans la planification du rendement de vos immeubles, à trouver du financement et à mettre en œuvre des travaux de rénovation au fil des ans.

Nous vous remercions infiniment.

C’est tout.

Je crois que notre prochain webinaire aura lieu le 22 novembre et qu’il portera sur la situation des enveloppes des bâtiments à Ottawa.

Vous pouvez vous y inscrire d’avance en cliquant sur ce lien.

J’avais une autre question à poser dans notre sondage : De quoi voudriez vous que nous parlions dans un prochain webinaire, en décembre ou en janvier?

Suzanne, pourriez-vous lancer cette question s’il vous plaît?

Je vois que c’est lancé de mon côté.

Je ne sais pas, mais peut être.

OK. Je ne vois rien.

C’est OK.

Nous pourrions peut être poser directement les questions dans la fonction de clavardage.

Ça me paraît bien.

Vous pouvez répondre à cette question dans la fonction de clavardage.

Si vous avez des idées de thèmes, n’hésitez pas.

Oui, s’il vous plaît.

Absolument.

Un instant.

J’essaie de copier la réponse.

Je n’y arrive pas.

Je peux simplement la lire.

De quoi souhaiteriez-vous le plus parler dans un webinaire qui aurait lieu en décembre ou en janvier?

Les règles de l’art dans la surveillance de la consommation de l’eau, les comptes rendus sur le financement des travaux de rénovation, les études de cas sur les travaux de rénovation énergétique en profondeur dans les immeubles, les résultats des recherches universitaires ou d’autres questions font partie des options.

Quelles sont vos idées?

Très bien.

C’est ce que je pensais.

Je suis désolée : les réponses devraient s’afficher maintenant.

Les questions ont été lancées.

Très bien.

Merci.

Voici donc la question du sondage : Après avoir parlé d’analyser la situation des enveloppes des bâtiments, faudrait il, dans ce webinaire, discuter des études de cas et des comptes rendus sur le financement des travaux de rénovation?

Très bien.

Merci beaucoup.

OK.

Toutes les questions sont elles publiées dans la fonction de clavardage?

A t on répondu à toutes les questions?

Il y en a de nouvelles.

Voici donc la liste de tous les programmes d’incitation offerts.

C’est sur le site Web de Bâtiments durables Ottawa.

Je peux mettre le lien dans les échanges en clavardage.

Très bien.

Il y a justement une question à propos du programme de l’Évolution énergétique.

Je peux répondre à cette question.

Ce programme est en fait notre stratégie globale pour enrayer les changements climatiques.

Que ferons nous pour réduire les émissions dans les nombreux aspects de la gestion de la collectivité et de la Ville et, en définitive, de la municipalité?

L’Évolution énergétique est donc un programme beaucoup plus vaste et une stratégie beaucoup plus fouillée.

Dans la stratégie de l’Évolution énergétique, il y a 20 projets prioritaires, et ce projet en fait partie.
rénovation
Prioriser les immeubles commerciaux et réduire les émissions dans ces immeubles constituent donc l’un de projets de l’Évolution énergétique.

Mais il y a beaucoup d’information très utile.

Si on consulte la stratégie de l’Évolution énergétique sur le site Web de la Ville d’Ottawa, on constate qu’il y a toutes sortes d’excellents documents et on peut prendre connaissance de l’information sur ce que fait la Ville dans l’ensemble pour enrayer les dérèglements climatiques et réduire les émissions, dans la municipalité comme dans la collectivité.

Marie, cette question s’adresse peut être à vous.

Avez vous normalisé, du point de vue météorologique, les édifices publics dans le cadre du programme Bâtiments durables Ottawa?

Oui, absolument.

Il y a une normalisation météorologique dans ces rapports analytiques. Effectivement.

Et si vous avez d’autres questions techniques sur la publication des résultats finaux, nous venons d’enregistrer, il y a peut être deux mois, un webinaire avec les producteurs de ces quatre bilans et rapports analytiques.

Je vous invite donc à consulter ce webinaire pour connaître les détails.

OK.

Et puis, Houston suggère des études de cas. Je suppose que vous voulez dire qu’Houston est aussi extrêmement utile.

Que faut il dire des immeubles résidentiels à logements multiples et des immeubles en copropriété?

Nous avons animé un webinaire sur la question il y a quelques semaines.

On pourrait peut être en parler au groupe.

Donc, Houston, j’ajouterais que certaines études orientationnelles sur la décarbonation sont diffusées publiquement.

Nous venons d’en ajouter une dans notre carte publique et dans l’information que nous communiquons pour les immeubles.

Je serais heureuse de vous en parler plus précisément dans un entretien individuel, ailleurs que dans un webinaire, puisqu’il s’agit de la raison pour laquelle on allait offrir un financement à consacrer expressément à l’équipement mécanique des immeubles d’habitation, afin de dérisquer la décarbonation des immeubles résidentiels à logements multiples pour pouvoir publier des études de cas éventuellement.

Merci. Kathleen a posé une question sur la liste de tous les programmes d’incitation.

Permettez moi d’ajouter que depuis que le gouvernement de l’Ontario a lancé le programme « Économisez l’énergie », les comptes rendus sont publiés beaucoup plus rapidement.

Il ne s’agit pas d’une liste exhaustive de tous les programmes d’incitation offerts à l’heure actuelle dans le secteur des services publics de gaz et d’électricité.

Il faudrait reconsulter ces programmes à un moment donné.

Mais c’est la raison pour laquelle je vous demandais si vous apprécieriez davantage un service de concierge ou de l’aide pour faire des démarches dans le cadre des programmes de financement et d’incitation dans l’ensemble.

J’espère que ça répond à la question de Kathleen. Il ne reste plus qu’une minute.

Nous vous remercions infiniment de votre présence aujourd’hui et d’avoir participé à notre dialogue rapide sur les avantages de notre programme et sur les modalités de participation à ce programme.

J’espère que vous inscrirez bientôt à ce programme tous vos immeubles.

Je vous souhaite une excellente journée.
00:00:00:00 - 00:00:26:12
Inconnu
Bon matin. Bon après-midi. Exactement midi. Que dit-on à cette heure-là pour tout le monde? Bonjour. Merci beaucoup de vous être joints à nous aujourd’hui. Afin de respecter le temps de chacun, nous allons commencer dans 2 minutes. Alors, lorsque les participants se joindront au webinaire, ils verront tout d’abord une fenêtre contextuelle pour les mettre dans l’ambiance et les inciter à réfléchir aux enveloppes de bâtiments.

00:00:26:14 - 00:00:55:14
Inconnu
N’hésitez pas à donner votre opinion sur cette question. Nous ne sommes pas là pour montrer du doigt un bâtiment particulier, ou des propriétaires de bâtiments ou des participants à ce webinaire. Nous sommes ici simplement pour discuter de façon générale de ce que nous avons trouvé en examinant en détail 191 bâtiments de la ville. Alors la question de ce sondage est donc la suivante : que pensez-vous de la performance des enveloppes de bâtiment (en moyenne) par rapport au Code du bâtiment actuel de l’Ontario?

00:00:55:16 - 00:01:07:16
Inconnu
Oui, c’est bien cela. C’est la réponse facile à ma question. En général, elles sont moins performantes que ce que nous voyons dans le Code du bâtiment actuel de l’Ontario.

00:01:07:18 - 00:01:31:14
Inconnu
Quelques questions d’ordre administratif pendant que les gens qui arrivent répondent au sondage. S’il y a des commentaires sur notre Questions/réponses ils sont hors sujet avec notre objectif global d’aujourd’hui, qui est d’en apprendre plus sur l’état des enveloppes des bâtiments à Ottawa, ils pourraient être supprimés de la discussion d’aujourd’hui. Nous avons la chance d’avoir parmi nous Justin Kim, un vice-président de QEATech, qui nous parlera des résultats du travail d’analyse.

00:01:31:14 - 00:02:00:20
Inconnu
Qu’il a réalisé pour la Ville d’Ottawa avec l’imagerie thermique en novembre 2022 pour 191 bâtiments privés. Le travail initial a donc été financé par la Fédération canadienne des municipalités. Nous les remercions vivement pour leur contribution financière. Nous publierons un rapport complet sur la page web de Bâtiments durables d’Ottawa d’ici un mois environ. Nous sommes en train de le finaliser et nous passons par toutes les procédures nécessaires pour le faire publier.

00:02:00:22 - 00:02:54:28
Inconnu
La journée d’aujourd’hui a pour but de présenter les grandes lignes de ce travail et de tirer des enseignements de l’analyse de 191 enveloppes de bâtiments. Clôturons ce premier sondage. 81 % d’entre vous l’ont compris. L’état des enveloppes des bâtiments n’est pas conforme au Code du bâtiment en vigueur. Pouvons-nous faire le deuxième sondage avant de commencer notre présentation détaillée? Tout à fait. Nous venons de terminer ce sondage et cela devrait être bon. Parfait, la seconde question est : sur les 191 bâtiments analysés, quel est le pourcentage de ceux qui présentaient des signes d’infiltration d’eau? Un de mes anciens collègues disait toujours qu’il y a deux types de murs, les murs qui sont humides et les murs qui le deviendront.

00:02:55:03 - 00:03:37:20
Inconnu
Je me demande donc ce que vous pensez des infiltrations d’eau dans nos bâtiments d’Ottawa. Il y a des gens pessimistes ici, 76 à 100 %. D’accord. Merci beaucoup d’avoir répondu. Tous ceux qui ont rejoint notre webinaire jusqu’à présent ont répondu. Tout le monde suit. La bonne réponse était 64 % des bâtiments scannés présentaient des signes d’infiltration d’eau, ce qui devrait effrayer suffisamment de personnes pour qu’elles restent, je l’espère, pendant les 27 prochaines minutes et écoutent toutes les données que nous avons obtenues de Justin et de son équipe QEATech.

00:03:37:20 - 00:04:21:15
Inconnu
Alors merci beaucoup. À vous, Justin. Merci beaucoup Marie. Des résultats très intéressants. Je ne sais pas, pessimistes, ou réalistes, je suppose, Will, nous approfondirons certains de ces résultats. Merci beaucoup, à Marie et à la Ville d’Ottawa d’avoir organisé ce webinaire. Je m’appelle Justin Kim. Je suis vice-président chez QEATech, et aujourd’hui je vais vous parler d’un projet que nous avons réalisé avec la Ville d’Ottawa plus tôt cette année, dans le cadre duquel nous avons évalué l’enveloppe de 191 bâtiments dans le centre-ville d’Ottawa, ainsi qu’à Kanata.

00:04:21:18 - 00:04:50:08
Inconnu
Tout d’abord, précisons ce que nous entendons par « enveloppe de bâtiment », afin de nous assurer que tout le monde est sur la même longueur d’onde, l’enveloppe du bâtiment sépare les environnements intérieurs et extérieurs et constitue la principale barrière thermique entre l’intérieur et l’extérieur. Elle comprend des éléments tels que les murs, les fenêtres, les portes, les toits et également l’isolation.

00:04:50:11 - 00:05:25:14
Inconnu
Pourquoi l’enveloppe du bâtiment est-elle si importante? Et bien, les bâtiments existants sont la plus grande source de gaz à effet de serre. Les émissions de gaz à effet de serre à Ottawa. Les bâtiments industriels, commerciaux et institutionnels représentent environ 22 % des émissions de gaz à effet de serre à Ottawa. C’est en fait mieux que dans beaucoup d’autres grandes villes. Les bâtiments de Boston, New York et Chicago peuvent représenter jusqu’à 70 % des émissions totales de gaz à effet de serre.

00:05:25:14 - 00:06:04:13
Inconnu
Les bâtiments sont donc souvent considérés comme une cause disproportionnée de consommation d’énergie et d’émissions de gaz à effet de serre (GES). Pour atteindre l’objectif « net zéro » d’Ottawa en 2050, 95 % des bâtiments commerciaux, industriels et résidentiels doivent réduire leur consommation d’énergie de 70 % pour le chauffage et de 30 % pour l’électricité d’ici à 2040. L’enveloppe du bâtiment joue un rôle essentiel dans la consommation d’énergie globale et les opérations d’un bâtiment.

00:06:04:15 - 00:06:33:29
Inconnu
De nombreuses études de cas et articles scientifiques font état d’un potentiel d’économie d’énergie de plus de 40 %, voire de plus de 50 % pour certains, grâce à l’enveloppe du bâtiment, en fonction de la santé et de l’état général de cette dernière. La dégradation de l’enveloppe du bâtiment au fil du temps peut être considérée comme un processus naturel. Il ne s’agit donc pas de pointer du doigt quiconque dans ce groupe.

00:06:34:01 - 00:07:09:07
Inconnu
Nous voulons simplement rester objectifs. En plus, de nombreux bâtiments anciens ont été construits avant l’adoption des codes du bâtiment et l’utilisation de matériaux modernes, etc. Ils possèdent donc généralement une enveloppe de bâtiment peu performante. Une petite présentation de notre entreprise, QEATech. QEATech détient des brevets et utilise un logiciel propriétaire doté d’une intelligence artificielle qui permet d’identifier les différents problèmes et quantifier les pertes d’énergie à partir de points spécifiques de l’enveloppe du bâtiment.

00:07:09:09 - 00:08:10:08
Inconnu
L’animation de gauche n’est qu’une capture d’écran de la manière dont nous présentons nos résultats, qui comprennent un modèle 3D et des rapports PDF complets. Nos clients peuvent cliquer et parcourir facilement les points spécifiques que nous avons mis en évidence. Nous mesurons également les valeurs réelles U ou R d’éléments spécifiques, de matériaux spécifiques de l’enveloppe du bâtiment sur l’ensemble de l’enveloppe du bâtiment. Notre principal objectif est donc de permettre la prise de décisions fondées sur des données concernant des rénovations spécifiques et ciblées qui maximiseront réellement vos économies d’énergie, vos émissions de GES et votre retour sur investissement en fonction du budget que vous pouvez avoir à investir dans l’enveloppe de votre bâtiment. Pour notre offre de services standard, nous commençons par capturer de très gros volumes de données.

00:08:10:10 - 00:08:44:00
Inconnu
Nous utilisons des drones commerciaux pour prendre des milliers d’images infrarouges et à haute résolution d’un bâtiment donné. Et nous déployons également des appareils IdO (internet des objets) pour une courte période, et ces images et ces données sont ensuite analysées par notre logiciel d’intelligence artificielle breveté. Ce logiciel, associé à notre équipe spécialisée en science du bâtiment, identifie les problèmes spécifiques de l’enveloppe du bâtiment et quantifie également la perte d’énergie des principaux points en question.

00:08:44:03 - 00:09:27:12
Inconnu
Enfin, pour la dernière étape, nous présentons un rapport PDF complet et un modèle 3D interactif qui montre le retour sur investissement de potentielles réparations ou rénovations. Pour ce projet particulier, en novembre 2022, notre équipe a capturé des images infrarouges des façades des bâtiments à l’aide d’un drone commercial et de caméras thermiques portatives. Plus de 16 000 images ont été capturées pour les façades de chaque bâtiment donnant sur la rue, ainsi que pour les toits.

00:09:27:15 - 00:09:57:05
Inconnu
Nous avons examiné deux zones d’intérêt. L’une est le centre-ville d’Ottawa et l’autre région est Kanata. Des rapports abrégés ont donc été créés pour chaque bâtiment et mis à la disposition de chaque propriétaire gestionnaire de bâtiment. Dans le cadre de cet exercice, je tiens à souligner que les analyses pour ces deux zones d’intérêt diffèrent légèrement du processus en trois étapes standard de QEATech.

00:09:57:08 - 00:10:35:12
Inconnu
Dans le cadre de ce projet, nous prenons généralement des milliers d’images pour un seul bâtiment. Pour les deux zones d’intérêt. Il s’agissait d’une version abrégée de notre pratique standard. Au cours de l’été de cette année, QEATech a donc procédé à une analyse plus poussée des données afin de résumer l’état général des enveloppes des bâtiments dans ces deux zones d’intérêt. Nous avons également établi des millésimes ou des catégories basées sur l’âge des bâtiments, qui ont également été utilisés pour aider à segmenter les données.

00:10:35:14 - 00:11:07:04
Inconnu
Plusieurs hypothèses associées à l’analyse ont été notées dans notre rapport, qui sera rendu public par la Ville d’Ottawa dans les semaines à venir. Avec ces dernières, je vais créer un autre sondage pour les personnes qui sont sur cet appel et qui gèrent des bâtiments dans les deux zones d’intérêt dont nous parlons. Avez-vous reçu notre exposé sur l’enveloppe des bâtiments?

00:11:07:06 - 00:11:45:24
Inconnu
Je comprends que de nombreux participants sur cet appel n’ont pas été informés en avance de ce projet ou que leurs bâtiments ne se trouvent pas dans les zones d’intérêt, pas de problème. Si vous pensez faire partie des deux zones d’intérêt et que vous n’avez pas reçu de renseignements de notre part ou de la part de la Ville d’Ottawa, je vous encourage vivement à communiquer avec moi-même ou avec un représentant de l’équipe de Bâtiments durables de la ville d’Ottawa. 82 % ont répondu « sans objet ».

00:11:45:27 - 00:12:35:15
Inconnu
J’espère que cela veut dire que de nombreuses personnes présentes sur cet appel sont intéressées par ce projet en dépit du fait qu’elles ne viennent peut-être pas de la région d’Ottawa ou qu’elles n’ont pas de bâtiments dans cette région. Mais encore une fois, si vous pensez être dans une des deux zones d’intérêt, n’hésitez pas à communiquer avec nous et nous ferons le suivi. En ce qui concerne les conclusions de l’analyse des enveloppes de bâtiments dans leur ensemble, les performances des enveloppes de ces bâtiments ont été dans l’ensemble relativement médiocres, environ 75 % moins performantes que ce que préconise le Code du bâtiment actuel de l’Ontario.

00:12:35:15 - 00:13:13:27
Inconnu
Le Code du bâtiment de 2017 a été utilisé. Cette méthode se base principalement sur les murs qui constituaient la majeure partie de l’enveloppe du bâtiment dans les propriétés. Tous les bâtiments observés présentaient des problèmes d’enveloppe du bâtiment et notre rapport décrit plus en détail ces problèmes, notamment les relations entre les différents matériaux, les ponts thermiques, l’inconsistance ou la dégradation, l’isolation, les pertes de chaleur au niveau des portes et des encadrements, ainsi que l’accumulation d’humidité.

00:13:13:29 - 00:14:05:07
Inconnu
Environ 122 bâtiments, soit 64 %, présentaient des signes d’infiltration d’eau. Il a été déterminé que les infiltrations d’eau sont plus fréquentes dans les bâtiments du centre-ville. Il est intéressant de noter que les problèmes d’humidité sont également plus fréquents dans le centre-ville d’Ottawa. En raison de l’âge avancé des bâtiments, la plupart des enveloppes des bâtiments présentaient des performances inférieures aux attentes d’Ottawa en matière d’évolution énergétique, ou du plan Évolution énergétique. Il a été constaté que seuls les murs de deux bâtiments avaient des valeurs U conformes au plan Évolution énergétique d’Ottawa et que seulement les toits de trois bâtiments avaient des valeurs U conformes au plan Évolution énergétique d’Ottawa. Les bâtiments de Kanata avaient une performance légèrement supérieure à celle des bâtiments du centre-ville d’Ottawa.
00:14:05:10 - 00:14:41:22
Inconnu
Cela est probablement dû à l’âge plus récent des bâtiments de Kanata par rapport à celui du centre-ville et au fait que l’échantillon de Kanata est plus petit que celui du centre-ville d’Ottawa, ce dont nous devons tenir compte. Les bâtiments de Kanata ont généralement été construits entre 1996 et 2002, alors que les bâtiments du centre-ville ont été construits entre 1950 et 1975. Dans le cadre de ce projet, nous ne savions pas quels bâtiments avaient fait l’objet de rénovation ou de modernisation.

00:14:41:22 - 00:15:25:18
Inconnu
Plus précisément, je soupçonne que certains des bâtiments les plus anciens du centre-ville ont fait l’objet de travaux. Voici donc un résumé des problèmes les plus courants constatés dans la zone d’intérêt du centre-ville. La perte de chaleur à travers les encadrements et les unités de vitrage isolés est le problème le plus fréquent. De plus, 67 % des bâtiments de ce groupe présentaient des problèmes d’isolation irrégulière ou de dégradation de l’isolation, suivis par environ 57 % des bâtiments qui présentaient une certaine accumulation d’humidité.

00:15:25:21 - 00:16:28:09
Inconnu
Et sur les éléments extérieurs du bâtiment. En raison de l’altitude plus élevée du drone en vol, lors de cette mission, la résolution de l’image était légèrement inférieure à celle que nous utilisons habituellement pour un bâtiment donné. Il est donc possible que d’autres problèmes d’humidité n’aient pas été détectés par le logiciel QEATech. Puis, si on regarde pour Kanata, c’est le même résumé des problèmes les plus courants, la perte de chaleur à travers les encadrements et les unités de vitrage isolées, qui semble affecter une grande proportion des bâtiments de la zone, une proportion plus élevée par rapport à ce qui était le cas pour le centre-ville d’Ottawa, de même qu’une isolation inconsistante ou la détérioration de l’isolation a été considérée comme le deuxième problème le plus courant et l’accumulation d’humidité, en tant que troisième

00:16:28:12 - 00:16:58:14
Inconnu
problème le plus courant qui touche les bâtiments dans cette zone d’intérêt. Et vous pouvez voir ici certaines des autres statistiques de ce que nous avons trouvé, puis en regardant les valeurs U et pour ceux qui ne sont peut-être pas familiers avec le terme valeur U, les valeurs U sont juste une mesure de la transmission de chaleur à travers un matériau donné, plus les valeurs u sont basses, plus le matériau est isolé.
00:16:58:16 - 00:17:35:13
Inconnu
Vous connaissez peut-être aussi le terme valeur R, qui est l’inverse de la valeur U. Nous avons donc mesuré les valeurs U effectives pour les fenêtres, les murs, les portes et les toits des façades de l’échantillon. Les fenêtres et les portes, en particulier, se sont révélées peu performantes en termes de valeurs U. Nous les avons distinguées sur cette diapositive et vous pouvez voir la répartition, les valeurs U pour les fenêtres à gauche et les portes à droite, représentées sur ce graphique de répartition.

00:17:35:15 - 00:18:15:27
Inconnu
Qui fournit des indications sur la façon dont ces valeurs peuvent varier entre les différents sites et les différents groupes de millésimes que nous avons décrits dans le rapport. Dans notre rapport de synthèse, ces valeurs sont également comparées au Code du bâtiment de l’Ontario de 2017 et aux assomptions du plan Évolution énergétique de la ville d’Ottawa. En ce qui concerne la perte d’énergie par les portes, en particulier dans la zone du centre-ville, notre logiciel a la capacité d’estimer la quantité de perte de chaleur annuelle par la façade du bâtiment.

00:18:15:29 - 00:18:59:00
Inconnu
Cette diapositive montre la répartition de la perte d’énergie annuelle par mètre carré pour les portes échantillonnées dans le centre-ville d’Ottawa, pour faire suite à la diapositive précédente, les fenêtres et les portes présentaient une perte d’énergie relativement élevée. Notre logiciel estime également la quantité d’énergie qui pourrait être économisée en se basant sur les normes du Code du bâtiment. Les bâtiments du centre-ville d’Ottawa présentaient une gamme et une répartition plus larges de valeurs pour la perte d’énergie annuelle évitable.

00:18:59:03 - 00:19:33:12
Inconnu
Les valeurs U les plus élevées de l’ensemble des données sont observées dans cette zone d’intérêt du centre-ville, ce qui est probablement dû à l’âge de la construction et de certains matériaux. Ensuite, nous avons examiné les murs spécifiquement pour le centre-ville. Cette diapositive montre la répartition de la perte d’énergie annuelle par mètre carré des murs. Étant donné qu’une seule façade a été inspectée pour de nombreux bâtiments de l’étude, nous ne disposons pas de renseignements sur tous les éléments du bâtiment de chaque propriété.

00:19:33:14 - 00:20:21:20
Inconnu
Pour cette répartition, on constate une répartition et des performances des murs assez variées. Au centre-ville, nous avons également cette répartition parmi les autres matériaux de l’enveloppe du bâtiment; puis en examinant les fenêtres et les caractéristiques spécifiques à Kanata, voici donc la perte d’énergie par mètre carré pour les fenêtres échantillonnées à Kanata. Tout en sachant qu’il s’agit d’un échantillon de petite taille, nous avons été un peu surpris de constater la faible performance des fenêtres à Kanata, en supposant que ces bâtiments étaient plus récents et qu’il y avait quelques cas particuliers avec une performance médiocre que vous pouvez voir dans cette répartition également.

00:20:21:22 - 00:20:57:07
Inconnu
Mais il semble qu’il y ait une forte concentration de fenêtres aux performances relativement correctes. Mais certains cas particuliers pourraient fausser les moyennes globales. Pour en venir à la question du sondage, les personnes qui n’ont pas bénéficié d’un audit de l’enveloppe d’un bâtiment seraient-elles intéressées par un tel audit? L’offre de services standard de QEATech consiste en un audit énergétique détaillé de l’enveloppe d’un bâtiment. Nos audits prennent généralement une journée pour la collecte des données.

00:20:57:11 - 00:21:38:29
Inconnu
Les images infrarouges, par exemple, sont prises en deux heures au milieu de la nuit. Nos audits ne sont pas intrusifs, ne gênent pas les locataires et sont rentables. Je comprends que le degré de familiarité avec ce que nous faisons varie, et je serais heureux de faire le suivi sur certains des résultats spécifiques. Alors, ces bâtiments dans ces zones d’intérêt — et fournir également d’autres renseignements sur la façon dont nous pourrions éventuellement travailler à la décarbonisation des bâtiments par le biais de l’enveloppe du bâtiment.

00:21:39:01 - 00:21:41:08
Inconnu
D’accord.

00:21:41:11 - 00:22:11:01
Inconnu
Voilà donc un bref résumé de ce que nous voyons dans le rapport. Si vous souhaitez que nous réalisions l’audit standard qui fournit une analyse un peu plus détaillée et des recommandations spécifiques sur l’enveloppe du bâtiment, ou si vous avez des questions auxquelles nous n’avons pas pu répondre au cours de cette période de déjeuner d’information relativement court, n’hésitez pas à communiquer avec nous. Je me ferai un plaisir d’organiser un appel supplémentaire pour répondre à vos questions.

00:22:11:03 - 00:22:47:18
Inconnu
Il est très important de connaître l’état de santé de l’enveloppe de votre bâtiment et les remèdes que vous pouvez lui apporter. Ceux-ci permettent souvent d’éviter des problèmes plus importants ou plus coûteux en fin de compte. Notre objectif est donc de faciliter la prise de décisions fondées sur des données et des preuves concernant le type de données cibles que vous pouvez obtenir et de rénovations sélectives que vous pouvez effectuer afin de maximiser l’investissement que vous allez consacrer à la réparation ou à la rénovation de l’enveloppe de votre bâtiment.

00:22:47:21 - 00:23:12:25
Inconnu
Je vous remercie donc de m’avoir donné l’occasion de présenter quelques-unes des conclusions rapides de notre rapport. Je pense qu’il nous reste quelques minutes pour répondre à vos questions. De plus, je tenais à rappeler à tout le monde que je pense que QEATech offre des réductions aux participants de Bâtiments durables Ottawa. Si c’est le cas, voulez-vous en parler brièvement?

00:23:12:26 - 00:23:50:28
Inconnu
Oui. Et merci beaucoup, Marie, pour ce rappel. Vous pouvez donc bénéficier d’une réduction de 20 % dans le cadre du partenariat de QEATech avec la Ville d’Ottawa. Pour ce qui est de l’admissibilité, n’hésitez pas à communiquer avec nous. Je pense que certaines personnes ne sont pas de la région d’Ottawa sur cet appel, mais pour celles qui sont admissibles dans la région d’Ottawa, il y a un taux de réduction de 20 % et j’ai donné pas mal de réponses à des questions, certaines parce qu’elles étaient liées aux questions de la ville en termes de sélection des bâtiments et de zones d’intérêt précis.

00:23:51:00 - 00:24:24:05
Inconnu
Mais voici une question détaillée qui ne m’est pas destinée, posée par Matthew Jarmon. J’espère que je prononce correctement. Comment calculez-vous la valeur U des murs et des toits en utilisant les images? Et en commentant un travail très intéressant avec un point d’exclamation. Oui. Nous capturons un certain nombre de points de données par le biais d’appareils IdO. Nous prenons en compte la température intérieure, la température extérieure, les températures des surfaces, les conditions environnementales, l’humidité et un certain nombre d’autres données atmosphériques que nous capturons.

00:24:24:08 - 00:25:08:11
Inconnu
Nous intégrons également des factures de services publics, des factures d’énergie, des détails supplémentaires sur la consommation d’énergie, des dessins architecturaux et des données, et pour un bâtiment donné, nous prenons plus d’un millier d’images infrarouges que notre logiciel assemble. Dans notre logiciel, il suffit de regarder pixel par pixel, d’observer des modèles, d’utiliser notre IA pour comprendre les problèmes spécifiques, une variété de problèmes différents qui affectent l’enveloppe d’un bâtiment donné, ainsi que de quantifier la perte d’énergie à partir de points spécifiques, de quantifier ces valeurs U et R en utilisant toutes ces données ensemble.

00:25:08:11 - 00:25:38:20
Inconnu
À ce stade, nous avons analysé plus de 500 bâtiments, presque 600, au cours des trois dernières années et nous avons plus d’un million de points de données dans notre ensemble de données. Nos capacités en IA sont donc très bonnes et notre équipe spécialisée en science du bâtiment est très expérimentée et possède une grande expertise dans ce domaine. Merci, Justin, il y a d’autres personnes qui veulent vraiment savoir si on peut leur expliquer comment les valeurs U des fenêtres sont mesurées à l’aide de la thermographie.

00:25:38:23 - 00:26:09:27
Inconnu
Plus précisément, comment la nature réfléchissante du verre est-elle prise en compte dans le calcul de ces valeurs? Oui, nous comprenons que ce n’est pas un processus facile et nous essayons de minimiser le bruit autant que possible. Nous essayons de saisir beaucoup de données, beaucoup de points de données différents pour essayer d’atténuer ou de minimiser certains des facteurs de complication associés à la prise des valeurs U à partir du verre.

00:26:09:29 - 00:26:44:22
Inconnu
Nous capturons également des milliers d’images, un vraiment gros volume d’images sous différents angles que notre logiciel est capable de traiter. De plus, nous effectuons habituellement les opérations au milieu de la nuit, de façon générale entre 2 et 4 heures du matin, et nous avons besoin de certaines conditions météorologiques idéales la veille pour minimiser le bruit et d’autres facteurs susceptibles de fausser certains des calculs.

00:26:44:24 - 00:27:16:22
Inconnu
D’accord. Merci. Il y a plus de questions que nous n’aurons le temps d’y répondre. Mais une autre question est de savoir idéalement quels renseignements sont nécessaires sur les bâtiments pour estimer les pertes de chaleur. Je suppose qu’il s’agit de renseignements fournis par les propriétaires et les gestionnaires de bâtiments dans le cadre de l’élaboration d’un rapport plus vaste. Oui, il s’agit d’éléments tels que les constructions énergétiques. Si les services publics, la consommation d’énergie, leurs dessins architecturaux et les renseignements sur les rénovations qui ont été effectués.
00:27:16:24 - 00:27:55:16
Inconnu
Nous allons donc nous asseoir avec les propriétaires/gestionnaires de chaque bâtiment et remplir un questionnaire et nous allons obtenir autant de renseignements que le bâtiment pourra nous donner. Si vous avez une sorte de MDB (modélisation des données du bâtiment) en place et que nous sommes en mesure d’en obtenir des données, nous les intégrerons à notre logiciel et à notre analyse. En dehors de cela, il s’agit d’une méthode très discrète, non intrusive et, vous savez, des méthodes traditionnelles que vous connaissez peut-être, comme la mise sous pression du bâtiment, l’infiltrométrie ou le test du brouillard de fumée.
00:27:55:18 - 00:28:25:15
Inconnu
Cela peut être très intrusif et être très exigeant en termes de ressources et de coûts. Nous essayons donc de minimiser les efforts et la charge qui pèsent sur les bâtiments. Nous sommes bien conscients que l’enveloppe des bâtiments a souvent été ignorée dans le passé ou qu’elle a été mal comprise, mais elle joue un rôle essentiel. Nous voulons réduire les obstacles à l’évaluation et à la compréhension.
00:28:25:17 - 00:28:54:14
Inconnu
Le véritable état de santé de l’enveloppe de votre bâtiment. Super. Je vais répondre à quelques questions de plus au fur et à mesure qu’elles arrivent. Mais en fait, nous sommes à deux minutes de l’heure de fin prévue et je me suis engagé à terminer à temps pour que ne pas trop monopoliser les gens. Merci beaucoup d’avoir partagé votre temps de déjeuner avec nous. Nous essaierons de répondre à d’autres questions, vous pouvez peut-être communiquer avec moi ou Justin, si vous avez des questions supplémentaires ou si vous êtes l’une des personnes qui ont dit qu’elles voulaient faire analyser leur bâtiment.

00:28:54:17 - 00:29:32:12
Inconnu
Justin est là pour essayer de vous soutenir et de faire en sorte que les choses avancent. Je souhaitais vraiment recueillir les réactions des 49 participants à notre webinaire d’aujourd’hui et leur demander ce qu’ils pensaient que nous devrions faire pour le webinaire de décembre, car nous organisons habituellement une session mensuelle, pour décider si nous devrions avoir une session technique ou si les gens sont plus orientés vers le partage ou le réseautage sur le thème des mesures d’économie d’énergie, telles que s’assurer de communiquer aux locataires de ne pas éteindre complètement leurs systèmes de chauffage, et de ne pas laisser leurs portes et leurs fenêtres ouvertes.

00:29:32:20 - 00:30:02:10
Inconnu
Si c’est le cas, nous pourrions l’organiser avec un côté technique et ajouté un côté orienté un peu plus réseautage et social, tout le monde participerait et s’impliquerait activement, ou nous pourrions sauter le mois de décembre parce que nous sommes tous très occupés. Cela m’aide à planifier de nouveaux événements de réseautage, de formation et d’éducation au fur et à mesure que nous avançons. Merci beaucoup d’avoir voté. Merci beaucoup, Justin Kim, d’être venu aujourd’hui et d’avoir fait cette présentation.

00:30:02:10 - 00:30:29:00
Inconnu
Nous publierons ce rapport sur la page web d’ici un mois environ. J’ai hâte que tout le monde se plonge dans les détails et pose à Justin les toutes dernières questions sur les éléments techniques de ce rapport. C’était formidable de pouvoir se faire une idée des 190, 191 bâtiments. Je sais que nous avons parlé de chiffres différents à différents moments de la présentation et de l’état de ces bâtiments.

00:30:29:03 - 00:30:36:03
Inconnu
Merci beaucoup pour le temps que vous nous avez consacré. Merci, Justin. Bonne journée à tous. Merci beaucoup.