Expositions 2018

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Ben Globerman – Call to Prayer (Appel à la prière)

Du 17 janvier au 14 mars 2018

Extrait du catalogue

« Tous les chemins mènent à une maison unique

d’une seule graine jaillissent mille épis de maïs. »

-Rûmî

Selon le mystique et poète persan du 13e siècle Rûmî, c’est par l’unité qu’on accède à la pluralité : différents chemins mènent à la même destination. L’objectif de Call to Prayer (Appel à la prière) est d’explorer ces différents chemins et d’en montrer l’unité par la musique. Call to Prayer (Appel à la prière) est une installation sonore immersive qui puise dans les traditions musicales juive, chrétienne et musulmane. Les voix de trois vocalistes locaux (en ordre d’apparence : Daniel Benlolo, Terri-Lynn Mitchell et Mona Bahumaid), qui se font d’abord entendre distinctement, s’emmêlent graduellement, formant un tissu tonal qui tire son harmonie de ses différences.

Biographie

Ben Globerman est un musicien, concepteur sonore et artiste multimédia établi à Ottawa. Il a obtenu à l’Université Carleton un baccalauréat en études religieuses et une maîtrise ès arts en études européennes, dans le cadre de laquelle il s’est spécialisé dans la question de la migration. Il est également diplômé de la Red Bull Music Academy de New York. Il s’intéresse particulièrement à la traduction sonore d’idées conceptuelles. Ben Globerman a composé de la musique pour des films, des pièces de théâtre et des installations artistiques. Il a réalisé des projets dans différents contextes, comme la santé, la mode et les services publics. Sous le pseudonyme Cabaal, il s’est produit partout en Amérique du Nord et a fait paraître quatre albums. Ses installations explorent les thèmes du pluralisme religieux, les technologies ultra-émergentes et les vertus thérapeutiques du son.

Ben Globerman tient à remercier la Ville d’Ottawa et le Conseil des arts de l’Ontario de leur appui.

Jordan Seal – Wealth of the Eternal Garden (La richesse du jardin éternel)

Du 22 mars au 23 mai 2018

Vernissage : le jeudi 26 avril, de 17 h 30 à 19 h 30
Ouverture commune avec la Galerie Karsh-Masson.

Causerie avec l’artiste (en anglais) : le dimanche 25 mars à 14 h

Jordan Seal, Helone Yahbixellis, 2017, acrylique, alcool éthylique, aquarelle, cire, bâton à l’huile et pastel à l’huile sur papier, 46 x 61 cm.

Un exemple d’une œuvre d’art conçue par Jordan Seal

Jordan Seal, Aycha Nurilo, 2018, aquarelle sur papier, 43 x 30 cm. Gracieuseté de l’artiste.

Un exemple d’une œuvre d’art conçue par Jordan Seal

Extrait de la déclaration de l’artiste

Je veux créer un jardin pour vous. Il est envahi par la végétation, vivant et grouillant de plantes et d’insectes. La faune et la flore d’un monde secret, un univers intangible. Je souhaite exprimer les principes du divin grâce à une pléthore d’abstractions organiques. Je m’efforce de construire des créations reposant à l’extérieur de notre univers tout en y étant parallèles. La nature renaît dans l’isolement. Je fuis les mesures, les croquis, les références et la géométrie stricte. Je dénonce la vulgarité brutale de la ligne droite et du carré. Je pars de rien et je construis frénétiquement. Je me fais le champion de la courbe, je cède aux textures sensuelles. Je crois en la beauté et en la pureté esthétique.

Biographie

Jordan Seal a grandi à Ottawa, où il a d’ailleurs passé la majeure partie de sa vie. Il se souvient très bien d’avoir dessiné dès le plus jeune âge. L’art lui a permis de conserver et de nourrir le sens de l’émerveillement et la jubilation créative qu’il éprouvait, enfant. Aux arts visuels, il ajoute la poésie, l’écriture, la musique, la danse et le spectacle. Il fut un temps où il organisait lui-même ses expositions et spectacles. L’autonomie est son credo. Il croit aussi à l’échange œuvre d’art contre don. Diplômé de l’École d’art d’Ottawa, où il s’est senti accepté et membre à part entière d’une communauté, Jordan est cofondateur d’Art of the Uncarved Block, une étiquette qui plaît aux amateurs et créateurs de musique punk et indie et aux électrons libres. Une grande part de sa production artistique est associée à la scène musicale. Pour Jordan Seal, l’art est une activité spirituelle et culturelle qui enrichit la société. Il existe un royaume étrange et brillant et il s’emploie à s’en rapprocher.

Anna Eyler et Nicolas Lapointe – void loop()

Du 31 mai au 8 août 2018

Extrait du catalogue

Exploration d’oasis étrangement définis dans l’univers virtuel, commentaire sur la nature spéculative des écrans, et exploitation de la capacité de la technologie à susciter la crédulité, void loop() est une méditation contemporaine sur la spiritualité, chargée de mises en garde sur la précarité de notre époque. Si ces œuvres représentent seulement une petite partie de l’exploration plus large d’Eyler et de Lapointe dans les enchevêtrements de la technologie, de la transcendance et des phénomènes occultes, elles illustrent notre besoin de complétude et de sens face au vide immatériel, des vastes étendues de l’empyrée jusqu’au vide d’un moniteur.

- Laura Demers

Biographies

Anna Eyler est titulaire d’un baccalauréat en études religieuses et histoire de l’art de l’Université Carleton (2010) et d’un baccalauréat en beaux-arts de l’Université d’Ottawa (2015). Parmi ses distinctions récentes, mentionnons l’Artengine New Media Award (2015), le Spark Box Residency Award (2016) et une bourse du Programme de bourses d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier (2017). Son travail a été présenté à FILE – Electronic Language International Festival, à São Paulo, au Brésil (2017). Eyler est candidate à la maîtrise en beaux-arts à l’Université Concordia, où elle se spécialise en sculpture.

Nicolas Lapointe est un artiste multidisciplinaire établi à Montréal, au Québec. Il est titulaire d’un diplôme d’études collégiales en arts visuels du Cégep de l’Outaouais (2010) et d’un baccalauréat en beaux-arts de l’Université d’Ottawa (2015). Lapointe a reçu plusieurs distinctions, dont la bourse Dale and Nick Tedeschi Studio Arts Fellowship. Il est candidat à la maîtrise en beaux-arts à l’Université Concordia, où il se spécialise en sculpture.

Pierre Richardson - What's Big and Small at the Same Time? (Qu’est-ce qui est à la fois gros et petit?)

University of Ottawa MFA candidate – Thesis exhibition

August 16 to September 23, 2018

As a supplement to our regular programming, City Hall Art Gallery is pleased to partner with the University of Ottawa’s Department of Visual Arts to provide a valuable mentorship and professional development opportunity.

Pierre Richardson, Between Cats and Dogs, 2018, installation, variable dimensions. Courtesy of the artist.

An example of the type of work that will be included in the exhibition.

Pierre Richardson, Between Cats and Dogs, 2018, installation, variable dimensions. Courtesy of the artist.

An example of the kind of work included in this exhibition

The work displayed in this space is a large-scale evolutionary improvisational installation that explores narrative, trauma and mental health. Different media create an overwhelming space, which viewers can explore to discover links between various examples of witticisms, gallows humour, photography, paintings, doodles and videos. Richardson’s work tries to capture the experiential feeling of his everyday existence, one wrought with struggle and strife. The arrangement of the paintings is somewhat architectural; they have a structure, but one that seems as if it could collapse at any moment. Themes of war, darkness and desperation are not presented in a negative light, but as a means of achieving growth.

-Artist statement excerpt

An Ottawa-based multidisciplinary artist, Pierre Richardson holds a BFA (2016) and is currently pursuing an MFA (2018) from the University of Ottawa. As a person who copes with mental health issues, he explores the dark spaces of the mind. He also seeks out narrative where none is evident as a way of communicating with the subconscious and with viewers of his works.

Cheryl Pagurek – Fragile

Du 11 octobre au 27 novembre 2018

Les vidéos et les photographies de la série Tea Cups explorent la précarité du monde contemporain. Projections d’images de l’actualité internationale dans de délicates tasses à thé antiques, ces œuvres, par lesquelles les événements internationaux nous touchent de plus près, évoquent la fragilité humaine, l’éclatement des notions ténues de paix et de démocratie sociale, ainsi que la vulnérabilité de la Terre elle-même aux catastrophes naturelles.

Extrait du catalogue

La magie du travail de Cheryl Pagurek tient en ceci : elle s’implique, affronte, va au cœur du problème ; et dans le même temps s’écarte comme un peintre de sa toile le pinceau à la main. C’est à ce va-et-vient qu’elle nous invite. Dans ce mouvement, logent la pensée et la colère, cette énergie qui peut faire de chacun de nous des fabricants de passeports.

- Marc Mercier

Biographie

Depuis l’obtention de sa maîtrise en arts visuels de l’Université Victoria, Cheryl Pagurek a maintes fois exposé ses œuvres dans des galeries ou à l’occasion d’événements d’art public et de festivals de films ou de vidéos, y compris à la MSVU Art Gallery, à la galerie Patrick Mikhail, dans le cadre du Mois de la Photo à Montréal, à la VU Photo, à la Gallery 44, à la Carleton University Art Gallery, à la Galerie d’art d’Ottawa ainsi qu’à l’occasion de projections au Canada, en France, au Brésil, en Colombie, au Maroc, en Égypte et aux États-Unis. En 2011, elle a installé une présentation vidéo permanente commandée dans une station de transport en commun d’Ottawa. Ses œuvres, qui ont fait l’objet de critiques dans des publications canadiennes, américaines et britanniques, se retrouvent dans de nombreuses collections publiques et privées.

Cheryl Pagurek tient à remercier la Ville d’Ottawa et le Conseil des arts de l’Ontario pour leur soutien financier.

Kaléidoscope - Ajouts 2018 à la Collection d’art de la Ville d’Ottawa

Du 6 décembre 2018 au 30 janvier 2019

Vernissage : le jeudi 13 décembre, de 17 h 30 à 19 h 30

Nadia Myre, Slit, 2017, épreuve numérique sur papier, 98 x 139 cm, 2018-0030

Philip Rose, (Un)Stills, 2018, vidéo numérique, 52 mins, 2018-0041

Un exemple du genre de travail qui fera partie de l’exposition

Komi Seshie, L’Horizon, 2018, pigment sur toile, 113 x 90 cm, 2018-0045

Un exemple du genre de travail qui fera partie de l’exposition

Jim Logan, Life Goes On…, 1994, acrylique sur toile, 41 x 51 cm, 2018-0024

Un exemple du genre de travail qui fera partie de l’exposition

Kaléidoscope met l’accent sur les œuvres qui ont été ajoutées à la Collection d’art de la Ville d’Ottawa en 2018. À l’issue d’un processus d’évaluation par les pairs, cette collection s’enrichit chaque année de nouvelles œuvres grâce à des achats, des dons ou des commandes passées à des artistes. Cette année, la Ville a acheté 56 œuvres de 33 artistes différents, a reçu 11 œuvres à titre de don et a commandé 1 œuvre d’art public permanente destinée à un site particulier.

Le kaléidoscope symbolise les possibilités et les potentialités. Il défie quiconque d’adapter sa propre perspective lors de l’interprétation et de la réinterprétation de ce qui est perçu à chaque changement subtil de la lentille. Il nous encourage à élargir notre conscience tout en favorisant une perception visuelle active et engagée. L’éventail d’œuvres réunies dans cette exposition décrit des interprétations distinctes de thèmes communs, tels que l’identité et le lieu. Chaque œuvre est toutefois unique, produite au sein de circonstances singulières et complexes. Kaléidoscope représente et expose diverses optiques étonnantes et toute une richesse visuelle.

En 2018, le Programme d’art public de la Ville d’Ottawa a entrepris un projet pilote en réponse aux appels à l’action lancés par la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Un agent de liaison pour les Autochtones a été recruté pour travailler avec des artistes des communautés algonquines, métisses et inuites afin d’encourager les artistes autochtones à présenter davantage de demandes au Programme. La Collection d’art de la Ville d’Ottawa a alors observé une nette augmentation du nombre de demandes présentées par des artistes autochtones. D’ailleurs, 30 % des œuvres d’art achetées par la Ville en 2018 ont été produites par des Autochtones.

Les œuvres d’art de cette collection itinérante sont exposées dans plus de 160 lieux publics et édifices municipaux afin que les résidents et les visiteurs de la ville puissent les admirer et en profiter. Depuis plus de 30 ans, la Ville d’Ottawa et les diverses municipalités qu’elle regroupe aujourd’hui collectionnent diligemment des œuvres signées par des artistes professionnels. Ainsi, la Collection d’art de la Ville d’Ottawa réunit désormais plus de 2 800 œuvres réalisées par plus de 750 artistes. Les personnes qui participent à cette exposition ne représentent qu’une petite fraction d’une communauté d’artistes visuels beaucoup plus vaste qui englobe dans la région de multiples talents.

Liste des ajouts récents à la Collection d'art de la Ville d'Ottawa

Achats

Tiffany April, Untitled (Plant), 2017, acrylique et huile sur toile, 122 x 152 cm, 2018-0008

Shahla Bahrami, Censure IV, 2017, papier, 33 x 44 cm, 2018-0009

Shahla Bahrami, Censure V, 2017, papier, 33 x 44 cm, 2018-0010

Shahla Bahrami, Censure VI, 2017 papier, 32 x 44 cm, 2018-0011

Shahla Bahrami, Censure VII, papier, 33 x 44 cm, 2018-0012

Craig Commanda, The Weight, 2013, vidéo numérique, 4 min 02 sec, 2018-0013

Kristina Corre, Oceans Between Us, 2017, technique mixte sur papier, 41 x 51 cm, 2018-0014

Lynda Cronin, Blow, 2018, technique mixte sur papier, 53 x 76 cm, 2018-0015

Josée Desjardins, Les nouvelles alliances 9, 2015, technique mixte, 215 x 182 x 13 cm, 2018-0016

Sarah Fuller, Big Pine on the Highway on the Way to Temagami, 2018, épreuve numérique sur papier, 112 x 90 cm, 2018-0017

Sarah Fuller, The Path, 2018, épreuve numérique sur papier, 112 x 90 cm, 2018-0018

David Kaarsemaker, EB Eddy Mill 6, 2017, huile et acrylique sur toile, 62 x 77 cm, 2018-0019

Claude Latour, Nishna and the Offering, 2018, épreuve numérique sur papier, 51 x 114 cm, 2018-0020

Claude Latour, Four Kings, 2018, épreuve numérique sur papier, 33 x 48 cm, 2018-0021

Jim Logan, The Letter, 1993, acrylique sur toile, 77 x 61 cm, 2018-0022

Jim Logan, Loneliness, 1993, acrylique sur toile, 76 x 61 cm, 2018-0023

Jim Logan, Life Goes On…, 1994, acrylique sur toile, 41 x 51 cm, 2018-0024

Drew Mosley, Catch and Release, 2017, acrylique sur toile, 102 x 192 cm, 2018-0025

Drew Mosley, Mosely Manor, 2017, acrylique sur toile, 91 x 122 cm, 2018-0026

Marie-Jeanne Musiol, Plant Cosmos no. 5 (Leaf), 2018, épreuve numérique sur papier, 84 x 64 cm, 2018-0027

Marie-Jeanne Musiol, Plant Cosmos no. 6 (Fern), 2018, épreuve numérique sur papier, 84 x 64 cm, 2018-0028

Mélanie Myers, Sans-titre (sapin-folder), 2014, crayon de couleur sur papier, 107 x 147 cm, 2018-0029

Nadia Myre, Slit, 2017, épreuve numérique sur papier, 98 x 139 cm, 2018-0030

Jay Odjick, Mushkiki, 2018, acrylique sur toile, 76 x 102, 2018-0031

Annie Pootoogook, Having Some Tea, 2006, crayon de couleur sur papier, 51 x 66 cm, 2018-0032

Annie Pootoogook, Composition (Listening to the Radio with Coffee), 2005, crayon de couleur sur papier, 76 x 105 cm, 2018-0033

Annie Pootoogook, Family Home, 2001, encre sur papier, 51 x 66 cm, 2018-0034

Barry Pottle, Culture Passed On, 2017, épreuve numérique sur papier, 40 x 50 cm, 2018-0035

Barry Pottle, Preparation, 2017, épreuve numérique sur papier, 40 x 50 cm, 2018-0036

Barry Pottle, Silverspoon I, 2017, épreuve numérique sur papier, 40 x 50 cm, 2018-0037

Barry Pottle, Silverspoon II, 2017, épreuve numérique sur papier, 40 x 50 cm, 2018-0038

Ramona Ramlochand, unfallen (boys), 2014, épreuve numérique sur papier, 76 x 114, 2018-0039

Leslie Reid, Resolute I (Cornwallis Island), 2015, huile et graphite sur toile, 83 x 128 cm, 2018-0040

Philip Rose, (Un)Stills, 2018, vidéo numérique, 52 mins, 2018-0041

Mana Rouholamini, zigzager le fleuve to zigzag the river, 2018, épreuve numérique sur polypropylène, 50 x 233 cm, 2018-0042

Mana Rouholamini, adorer le flux to adore the flux, 2018, épreuve numérique sur polypropylène, 50 x 233 cm, 2018-0043

Vera Saltzman, Lansdowne Park, 2012, photographie sur papier, 18 x 18 cm, 2018-0044

Komi Seshie, L’Horizon, 2018, pigment sur toile, 113 x 90 cm, 2018-0045

Meredith Snider, reused, 2018, technique mixte, 32 x 29 x 18 cm, 2018-0046

Meredith Snider, preserved, 2018, technique mixte, 28 x 10 x 20 cm, 2018-0047

Svetlana Swinimer, Life of an Actor, 2016, acrylique et huile sur toile, 132 x 170 cm, 2018-0048

Tafui, Shield, 2018, technique mixte sur bois, 61 x 51 cm, 2018-0049

Tafui, Fragile, 2018, technique mixte sur bois, 71 x 61 cm, 2018-0050

Katherine Takpannie, Why are you wearing that stupid man suit, 2016, épreuve numérique sur papier, 44 x 61cm, 2018-0051

Katherine Takpannie, Moments to reflect, I can take a few, 2017, épreuve numérique sur papier, 68 x 97 cm, 2018-0052

Katherine Takpannie, Pushing Through, 2016, digital print on, 68 x 97 cm, 2018-0053

John Tenasco, Armoured Figure, 2017, acrylique sur toile, 51 x 41 cm, 2018-0054

John Tenasco, Transforming Shaman, 2005, acrylique sur toile, 81 x 104 cm, 2018-0055

Anne Wanda Tessier, Building Blocks, 2018, linogravure sur papier, 120 x 90 cm, 2018-0056

Douglas Walker, A-545, 2009, huile sur panneau, 111 x 81 cm, 2018-0057

Colin White, Yen Fung Ding, 2017, encre sur papier, 36 x 28 cm, 2018-0058

Colin White, Co Châm, 2017, encre sur papier, 36 x 28 cm, 2018-0059

Anna Williams, Leaden, 2017, plomb et bois, 10 x 25 x 20 cm x 2018-0060

Anna Williams, Leaden, 2017, plomb et bois, 10 x 25 x 20 cm x 2018-0061

Anna Williams, Leaden, 2017, plomb et bois, 10 x 25 x 20 cm x 2018-0062

Andrew Wright, Untitled Photographic Picture #5, 2015, épreuve numérique sur papier, 149 x 224 cm, 2018-0063

Membres du comité d’évaluation par les pairs dans le cadre du Programme d’achats directs de 2017

Heather Campbell, Neven Lochhead, Natasha Mazurka, Carl Stewart, Melanie Yugo

Dons

Tony Fouhse, Guy’s Mom, 2005, épreuve numérique sur papier, 38 x 38 cm, 2017-0072

Tony Fouhse, Murial, 2008, épreuve numérique sur papier, 70 x 56 cm, 2017-0073

Tony Fouhse, Rose, 2008, épreuve numérique sur papier, 64 x 43 cm, 2017-0074

IAMRURIK, untitled, 2005, technique mixte sur toile, 122 x 122 cm, 2018-0002

En Masse, EM x Arboretum, 2014, technique mixte sur panneau, 51 x 173 cm, 2018-0003

Hayden Menzies, Dunderhead, 2008, technique mixte sur toile, 61 x 61 cm, 2018-0004

Theo Pelmus, Double Self Portrait, 2005, acrylique sur toile, 122 x 122 cm, 2018-0005

Tavi Weisz, Remember Yesterday, 2016, huile sur papier, 52 x 52 cm, 2018-0006

James Boyd, Rupture in Cosmic Egg, 1979, technique mixte sur papier, 99 x 67 cm, 2018-0064

Laurence Hyde, Mechano Time Machine, 1980, huile sur toile, 74 x 64 cm, 2018-0065

Bhat Boy, Updraught, 2017, acrylique sur panneau, 122 x 91 cm, 2018-0066

Commandes

Patinoire Sénateurs Jim Tubman Chevrolet

Christopher Griffin, Le long de la bande, 2018, acier inoxydable, 2018-0001, commandée pour le projet de Patinoire Canterbury – 2185 rue Arch